Le grand projet ( 1)

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- C'est hors de question.

Pétunia  était rentré après sa rencontre avec la jeune fille et naturellement lorsqu'elle avait exposé ses propositions  tous s'étaient farouchement opposé Hestia Jones avait soulevé les risques inconsidéré d'une tel mission avec les persécutions et les contrôles qui se faisait de plus en plus présente, sans compter le gouvernement moldus qui renforçait de plus en plus sa présence militaire depuis qu'il avait décidé de reconquérir l'Irlande du Nord.
Dedalus Diggel lui avait crié au complot à la trahison et avait déjà commencée à chercher un autre endroit pour se cacher.
Dedley était resté comme à l'accoutumée en d'autres termes particulièrement silencieux.

Quant à Vernon....

- Vernon si cette jeune sorcière avait voulu me tuer elle en aurait eut largement la possibilité.

- C'est un piège.
Insista Dedalus.
Laissez moi repérer  sa cachette  et l'élimi....

- Dedalus ....
Repris Hestia en lui jetant un regard noir.

- Lui couper le bras droit pour qu'elle n'utilise pas sa ba...

- Dedalussseuh !

- Alors lui jeter un sort d'aveu...
D'accord !  d'accord !
Murmura le sorcier en jetant un bref coup d' œil  à sa comparse.

- NOUS N'ALLONS RIEN FAIRE !
Beugla Vernon tout en tournant en rond dans la grotte. Le voir postilloner en gesticulant en tout sens était habituelle autre fois et naturellement le sujet consernait souvent une seul personne :
Harry Potter. Mais le voir accoutré dans cette robe de sorcier aux couleurs ocres chaussé de bottes de cuirs étaient vraiment quelque chose de singulièrement perturbant. Songea Pétunia.

- IL EST HORS DE QUESTION QUE MA FEMME SE RETROUVE EN COMPAGNIE D'UNE SORCIÈRE INCONNU !

- Vernon je...

-  J'AI DIS....

- ... Je trouve que c'est une bonne idée.
Le silence ce fit alors dans la grotte. Dudley se trouvait la dos à l'ouverture d'un goblet remplit de café fument dans les mains. La face au paysage désolé froid et recouvert de neige qui se découpait derrière lui quiconque ayant connu un jour dans sa vie Gorges Evans n'aurait put s'empêcher de faire le parallèle tant la ressemblance était frappante. Il n'avait de Dursley que les cheveux et les yeux et pourquoi pas le front un peut moins grand.  La froideur , la rigidité le nez crochu et les lèvres inexistante, il ne le tenait pas de son père.

-  Dedalus...
Comment Hestia passablement irrité le principal intéressé se tourna vers la sorcière.

- Mais je n'ai rien...
Un seul regard , un seul suffit à lui rendre le silence.

- Dedalus a dit que cela pouvait, cela était sûrement un piège. La meilleur solution est d'ignorer cette sorcière et de ...

- ... Et bien justement.
Renchérit Dudley.   Qui n'en demordait toujours pas.
Nous avons l'aventage d'avoir deux baguettes ayant fait parti d'une organisation paramilitaire dirigé par le plus puissant sorcier de tout les temps et probablement un chef de guerre redoutable. Nous avons un aventage sur cette enfant. Nous pouvons toujours voir ce qu'il en retourne. Et si il s'agit d'un piège nous pouvons toujours agir en conséquence.
Murmura Dudley en observant Dedalus droit dans les yeux.
Mais si ce qu'elle a raconté est vrai, nous pourrons nous entourer de deux baguettes supplémentaires.

Vernon se tourna vers son fils et l'observa les sourcils froncé. Hestia le divisagea puis pendant une fraction de seconde paru comme surprise. Elle se tourna vers Dedalus et tout deux échangèrent un regard éloquent. Comme s'ils avaient tout deux pensé à la même chose. Pétunia ouvrit la bouche mais au même moment Dedalus pris parole après avoir jeté un dernier coup d'œil intrigué à Vernon.

- Cela me paraît être une idée des plus brillante.  Aidons donc cette jeune fille. Et si il s'avère que c'est un piège nous veillerons à ce qu'elle le regrette amèrement....

Vernon voulu protester mais devant le regard insistant de ces conparse il fut contraint d'abdiquer.

Ainsi fut pris la décision  d'aider la jeune fille. Soulagé Pétunia s'en était retourné vers sa chambre car Dedalus avait fini par céder lorsqu'il avait retrouvé un jour en se levant Hestia en position fœtal les lèvres bleus dans une couette rongé  au mite. Et il avait reconnu que oui user de magie pour s'octroyer le minimum du confort n'était pas un risque inconsidéré. Bien évidemment il avait interdit d'utiliser du feu ou un quelconque sortilège utilisant cette élément. Mais à présent la grotte était chaude en permanence, les duvets avaient été remplacé par des couchette sommaires  et le sol recouvert d'une moquette noir doux au touché.  Ce faisant Pétunia avait put retrouver ses habitudes et avait insisté pour faire le ménage dès qu'elle en avait le temps , ce qui voulait dire tout les jours.

La a genoux face à sa couchette qu'elle partageait  avec Vernon, elle refaisait son lit au carré pour la millième fois quand deux mains fines lui portèrent secours.
S'était Hestia.
Jetant un bref regard derrière son épaule, elle constata que les hommes enfin les sorciers s'affairaient au tour d'une table  à discuter très probablement du meilleur moyen d'agir.

- Vernon vous à-t'il déjà parlé de son passé ?
La question pris de cours Pétunia qui s'arrêta dans ses activités et se tourna vers la sorcière qui l'observait sourcil froncé l'air préoccupé.
Ce fut au tour de Pétunia de froncé des sourcils.  Jusqu'à présent la sorcière s'était jamais interressé à personne d'autre qu'elle les deux femmes enfin la femme et la sorcière ayant put briser la glace et étant les deux seul représentant du sexe féminin du groupe, il lui avait été plus facile de parler. Mais à Vernon....

Malgré sa profonde métamorphose mentale Vernon restera toujours .... Vernon. Ce qui voulait dire bougon, rustre et colérique. Mais lorsqu'il se trouvait seul en sa compagnie ou lorsqu'Harry était à Poudlard...  Alors Vernon laissait tomber son masque, Vernon devenait  son homme. Celui dont elle était tombé amoureuse jadis.  Et chose à noter en la présence d'Harry avant que la guerre ne prenne de l'empleur , ce dernier avait commencé à montré au garçon son vrai visage.  Et pourtant .... Pourtant ... Que savait-il de lui ?
La première réponse qui lui vint fit tout, tout ce qui constituait sa vie , sa maudite de soeur , sa mère et aussi et surtout son père Horace Dursley.  Mais à y réfléchir Metant bout à bout ce qu'elle savait elle se rendit compte que ce n'était pas grand chose.

Sortant de sa rêverie elle se tourna vers Hestia.

- Seulement ce qu'il à bien voulu me dire.

- Et ...

- Pas grand chose.
Et ce constat l'horrifia.

She was my sister Où les histoires vivent. Découvrez maintenant