Fais honneur à ta maison ! [1]

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- Lucius voulez-vous que je vous fasse une confidence ?

Un petit garçon se trouvait face à un bureau et observait un homme plutôt grand au épaules carrés possédant une imposantes moustaches blondes, des yeux petit bleus et cruelle ainsi que de long très long cheveux blonds.

Le petit garçon acquiesça bien au'il n'osa observer son père droit dans les yeux.

- J'ai eux un frère, un grand frère... Horace Malfoy qu'il s'appelait, c'était un putain de Cracmol. Lorsqu'il s'est avéré que l'on ne pouvait rien retirer de bon de cette sous-race
mon père a fait le choix de l'abandonner. J'ai été gentil qu'il disait , en tant ordinaire j'aurais du l'égorger de mes propres mains , mais nous sommes des Malfoy qu'il disait, pas des boucher.

Se penchant un peu plus pour mieux observer son fils , le Lord eut un rictus de dégoût.

- Alors ....
Quand j'apprends par dame votre mère que mon fils unique; l'héritier des Malfoy s'amuse avec des enfants de moldu....

Il secoua de la tête et Lucius fit tout son possible pour ne pas pleurer horrifié à l'idée que l'on puisse l'abandonner un jour.

- Nos ancêtre n'ont pas fait tout ce chemin depuis la France pour que Lucius Malfoy souille le nom de notre maison en s'acoquinant avec des êtres inférieurs. Vous allez bientôt entrer à Poudlard et un Malfoy ne se comporte pas en imbéciles, me suis-je bien fait .... COMPRENDRE ????

Le petit garçon terrorisé acquiesça et alors qu'il allait partir, Lord Malfoy d'une voix de stantor s'exclama.

- LU...CIUS !!

Le petit sorcier se figea et tout tremblant se tourna vers son Lord de père.

- Oui père ?

- Va bientôt arriver votre onzième anniversaire. Vous entrerez à Serpentard comme tout digne Malfoy, si jamais il vous vient à l'idée de ne serait-ce approcher une sang-de-bourbe ou un de ces traitres de Wesley aux cheveux horriblement roux, considèrez-vous comme mort . Vous savez votre mère est encore jeune, il se pourrais bien qu'un nouveau Malfoy voit le jour et alors j'appliquerais la même technique que pour mon frère, oublier un jour que vous avez existé et souillé la maison de nos ancêtre maintenant, hors de ma vu.

Lucius soupira, en ce première août mille neuf cent quatre-vingt-dix-sept, il observa sa montre il était vingt heure. Il reajusta son costume trois pièces, il était à deux doigts de faire quelque chose qu'il ne se serait jamais cru capable de faire, s'observant dans la glace il enfonça sur son crâne un chapeau haut-de-forme et se coinça un cigar cubain entre le bec, il était un Serpentard après tout il devait au moins soigner son entrée, en un demi sourire aussi factice que ne l'était sa joie , il pencha de la tête et toucha le chapeau avec sa main gantée comme s'il saluait quelqu'un. Puis il se saisit de sa canne à pommeau magnifiquement ouvragé frappa le sol de son salon tourna sur lui même puis disparu.

She was my sister Où les histoires vivent. Découvrez maintenant