Via Crucis ( 1)

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Le sang goutta de son nez alors qu'une de ses dents vola. Harry cracha au sol.

- Bellatrix un peu de tenu. Nous ne savons même pas si c'est lui. Même si je te l'accorde notre marge d'erreur est estimé à deux pour cent.

*
- Donc vous êtes en train de me dire qu'une moldu épouse d'un sorcier, c'est retrouvé au plein coeur de l'Ecosse, dans une ruelle sombre, là où d'honnête sorciers discutaient de façon malencontreuse... ? C'est ça l'idée ?

- Oui. Oui c'est ça l'idée.

*

Lara O'Free observa les cadavres la bouche entre ouverte, désabusé. Ses yeux croisèrent ceux de Dedalus et elle y lu une profonde amertume. La dans le carré d'herbe elle y vit le médicament convoité, elle se pencha et s'en saisit. Alors que les gens sortaient de l'hoberge.

- Freya...
Murmura une sorcière bousculant tout le monde une sorcière qui ressemblait à si méprend au cadavre de la sorcière étalé devant elle.
Freya... Non Freya je t'en suplie.
Pas les enfants pas vous.
La sorcière se jeta au pied de la famille morte et tenta de tous les serrée dans ses bras. Un sorcier au bord des larme tenta par tout les moyens de l'archer a cette étreinte macabre.
Ma sœur, mes neveux, mon beau frère. Mumura la sorcière se dégageant de la poigne de ce qui semblait être son mari.
Ma sœur, mes neveux, mon beau-frère.
Un sorcier, qui devait avoir quinze ans vint aider se qui semblait être son père. Mais ils eurent énormément de mal tant le désespoir de cette sorcière était grande.
Ma sœur mes neveux mon beau-frère.
Répéta-t'elle inlassablement.

- Allez maman on ne peut plus rien pour eux de toute façon.

- On devait rejoindre le continent par la mer. La France l'Italie, j'en avais rien à foutre tant que s'était loin d'ici.

- Rodina, ma chérie c'est terminé. On...On ne peut plus rien pour eux c'est....

- Non.... Naaan. NAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN !

La tête baissé la petite fille de feu Lord Domnhall O'Free, tentait comme elle pouvait de cacher ses larmes tendis que les cries de Rodina déchiraient le ciel.
Sa mère pourrait guérir en effet. Mais à quel prix ? À quel prix ?

*

- Tuons le maintenant.

- Pourquoi Bellatrix ?

- Pour mettre un terme à cette guerre, pour garantir la réussite à notre maître et garantir la survie de son héritier légitimime, pour protéger ma famille.
Mumura la sorcière en caressant son ventre.

Pendant une mili seconde, juste le temps d'un clignement de paupière, un profond dégoût apparue sur le visage de son beau frère.
Mais cela fut si rapide que personne ne s'en était rendu compte.

- Il a le front ravagé et avec ses cheveux quasiment inexistant, je serai incapable de la reconnaître. Et si tu l'amoche plus on ne pourra pas déterminer si oui ou non c'est bien Potter.

- Un sortilège de guérison.

- De guérison ...? Sérieusement ?!
Tu serais capable de le torturer a le folie en essaillant de soigner ne serait-ce une de ses micro égranitures. Et puis la magie d'une sorcière enceinte est fluctuante. Tu risquerai de tous nous tuer. Et ce manoir est dans ma famille depuis que le dernier roi des Saxon c'est fait battre par Guillaume le bâtard, il y a de celà des siècles et des siècles. Pas mal de famille francque et normande en ont profité pour envahir l'ancien royaume Saxon. Dont la mienne. Et je refuse de voir cette héritage réduit en cendre.

Bellatrix eux un rictus de mépris qu'elle ne se força même pas à cacher.

- Les Malfoy et leurs légitimité par l'héritage. Vous êtes vraiment des gens spéciaux et ceux depuis des siècles je veux bien vous l'accorder. Seul le sang compte et uniquement sa pureté.

Dans le salon des Malfoy qui était d'une beauté époustouflante, se trouvait Lucius , Bellatrix et Harry qui attaché à une chaise avait le visage défiguré par les coup de Lady Lestrange et par les coups qu'il avait ressus dans les cellules du magnifique cite historique de Beauticaster. Le jeune sorcier était méconnaissable et cela il ne le devait pas à la magie.

- Nous avons toujours accordé une importance primordiale a l'héritage, la pureté du sang ne veux rien dire sans légitimité. Et pour des familles comme les nôtres aussi enraciné dans ce pays
la question ne ce pose même pas. Nous existons depuis des siècles, donc nous sommes.
Et notre légitimité prévôts sur toutes les familles de sang-pur illégitime arrivé ressament en Angleterre. Ne l'oublie jamais Bella.

Bellatrix soupira se redressa.

- Ou est le sac en perle de cette catin il faut que je fasse quelque chose. J'en ai marre d'attendre.

- Il est a été entreposé dans le but d'être détruit et je te l'ai dis, il faut que mon fils vienne ici pour pouvoir reconnaître ce garçon. Mais les procédures sont longues. Je suis premier ministre et dictateur et je ne peux même pas faire ce que je veux. Foutu administratif. Et dire qu'en France ils en font encore moins. Morgane m'en soit témoin tout cela n'es que temporaire et ...
Que fais-tu ?

Bellatrix s'était redressé et avait sorti sa baguette magique.

- Acio sac en perle de cette pute de sang de bourbe.

*

Pétunia hurla. Jamais elle n'avait tant souffert. Deux fois, elle venait de subir deux doloris. De la bave s'écoulait du coin de ses lèvre attaché à une chaise elle inspirait et expirait à un rythme irrégulier.
Là dans une pièce exegu elle s'était reveillé, et avait constaté qu'elle était attaché à une chaise. Elle avait crié au secours, tenté de se débattre mais rien n'y fit. Elle avait attendu plus de deux heures avant que quelqu'un, une sorcière en l'occurrence vienne. La pièce était insonorisée et grise de la tête au pied. La sorcière était assez jolie malgré son âge mûr très jolie pour dire la vérité.
Dans une main elle tenait un porte document qu'elle avait ouvert et elle lui avait alors lu tout ce qui s'était passé. Et pour l'instant Pétunia avait sut tenir sa langue. Elle était une moldu et son mari était un sorcier voilà pourquoi elle en savait tant sur le monde de la magie. Elle était Mrs Landobery épouse de Horace Landobery. Un sang-mêlé comme parmi tant d'autres.
Alors que sa bourreau levait sa baguette pour la troisième fois, Mrs Dursley, dernière de la fratrie Evans, épouse d'un homme detestant la magie, retint un sourire.
Comment en était-elle arrivé là.
Perdu au fin fond de l'Écosse. Comment... A quel moment dans sa chienne de vie, elle qui avait toujours désiré être parfaitement normal, elle se retrouvait a être torturé par une partisane de Lord Voldemort ?
La magie, cette putain de magie. Oui c'était cette pute, cette salope. Tout revenait à la magie. Et si j'avais accepté ma sœur comme elle était, si j'avais tenté de la comprendre est-ce que....

- ENDOLORIS.
Pour la troisième fois consécutive Pétunia Dursley recevait le sortilège de torture. Et elle hurla... Hurla. Hurla...
Si seulement j'avais sut la comprendre si seulement. Après tout....
Elle était ma sœur.

She was my sister Où les histoires vivent. Découvrez maintenant