Les valeurs ancestrales d'une école millénaire ( 1 )

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Drago Malefoy referma le journal du quinze janvier. Il titrait...

L'AD a encore frappé.

Il expliquait en long en large et en travers comment cette organisation territoriste avait attanté a la vie du premier ministre. Bien-sûr Indésirable numéro un, deux et trois auraient été impliqué. Fort heureusement le premier ministre n'avait ressu aucun dommage , mais sa demeure susciterait des mois de réparation, sans la magie plusieurs décennies. Malgré la supériorité manifeste du nouvel ordre mondial il y avait encore et toujours des gens pour résister à l'oppression. En tant que fils du premier ministre et Dictateur, il subissait cela comme une cruelle humiliation. Un silence mortuaire régnait dans la salle. Les Carrow étaient livide et semblaint comme paralysé. Ce qui voulait dire qu'une chose, des gens allait souffrir. Sarah Al-Arkenziz avait serré les points , Chourave , Flitwick et McGonagall demeurèrent impassible même si il aurait juré voir briller pendant un bref instant dans les yeux de la directrice de Gryffondor une intense satisfaction. Severus lui brillait par son absence.

Puis contre toute attente un élève leva son verre et l'abaissa sur la table provoquant un bruit sourd. Mais le pire de tout s'était qu'il était dans sa propre maison. Tout les regards se tournèrent vers lui puis alors que les Carrow s'étaient redressé baguettes en main, un deuxième élèves leva son verre puis l'abaissa sur la table. Un Gryffondor. Un troisième élève l'imita, un Serpentard encore une fois, un autre élève  leva à son tour son verre et l'abaissa sur la table, un Serdaigle, puis un Poufsoufles,  suivit par Neville, Gynnie, Mclagen,  Sho Chang, Katie Bel, et bon nombre d'élèves.

Ce fut comme un cœur, un coeur qui battait à l'unisson.
Boum ! Boum ! Boum !
Drago en aurait presque eut des frissons, heureusement Amycus arrêta cette mascarade à temps en lançant un doloris sur le première élève venu. Le silence était revenu et tous attendaient tendu que la punition tombe, car il y en aurait une s'était certain. Tendis que deux sorcières chargé de la surveillance membres de Serpens Nigrum, emportaient le corps convulsant de la jeune sorcière, Drago s'était tourné vers l'élève a l'origine de tout ce rafus. Un Serpentard. Si au dehors le pouvoir de Voldemort se renforçait de jour en jour , ici dans l'enceinte de ce château, l'insurrection ce faisait ressentir de jour en jour et même dans sa propre maison. Pis encore, lui , préfet en chef officieusement directeur de Serpentard, perdait la main sur sa maison. Pour la première fois en mille ans le serpent était en passe de renouer les liens avec le lion, l'aigle et le blaireau. Non par intérêt , non pas par lâcheté ni opportunisme, mais par dépis, dégoût et désillusion , le dernier des Serpentard avait réussi un exploit historique s'attirer les foudres de ceux qui depuis un millénaire suivaient mot pour mot les préceptes de son ancêtre. Il avait réussi là où tant de Directeurs et Directrices avaient échoué, la réunification de l'école sous une seul et même bannière : Poudlard.
Et il aura fallu le plus terrifiant des mages, la plus noirs des folies, pour arriver à un tel miracle.

Malfoy en aurait hurlé de haine et de rage.
*

William Wallace , il se nommait William Wallace. Oui comme ce moldu qui avait un jour donné sa vie pour l'indépendance de l'Ecosse. Descendant d'une assez vieil famille de sang-pure, William avait toujours grandi dans cette idéologie puriste s'en toute fois en accorder une grande importance, certes il ne se verrait jamais épouser une sang-mêlée ou une née-moldu. Mais ne les haïssait pas pour autant. En fait pour dire vrai s'était tout juste s'il leur accordait un vague mépris. Ainsi avait toujours été là maison Wallace, adepte de la pureté du sang par principe, mais pas au point d'en faire leur credo. Aussi avait-il déjà parlé à des sangs-mêlés et même une née-moldu. Il était juste comme sa famille et ceux depuis des siècles contre le métissage, mais ne voyait aucun inconvénient que les autres le face tant que cela le concernait pas et qu'on ne l'ennuyais pas avec.

She was my sister Où les histoires vivent. Découvrez maintenant