Le début de la fin (2)

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Le sortilège avait été fulgurant  et d"une violance....  Inouï parmis ces explosions de couleurs de cries, de corps tombants, de cervelles éclatant et de projectiles, une seul couleur dominait, l'emeraude.
Si bien que le firmament drapé de noir se  nimbait d"éclat  de vert. 

Et toutes,  toutes  ses explosions...
Ils avaient été encerclés si vite.  Tout avait si bien commencé, enfin si on partait du principe que tuer des gens étaient une chose positives, il allait de soit.

Lorsque le premier sorcier avait succombé sous ses tires, Dudley s'était arrêté dans l'intention de vomir, mais son père lui en avait empêché en lui frappent le dos avec force.

- Pas le temps pour ces conneries gamin.
Et il était reparti , vaille que vaille, le jeune Dursley avait suivit. Se cachent le plus souvant et attaquant  de façon sournoise.
Si on lui avait dit un jour qu'il en serait réduit à participer à une guerre qui n'était pas la sienne pour un peuple qui n'était pas le sien dans le but de sauver sa mère. Mais lorsque les combats s'engagèrent ils étaient en supériorité. Et avait eux l'aventage de la surprise. Pour un temps tout du moins.  De plusieurs centaines de baguettes l'ennemi était passé à  mille, puis deux milles, puis trois milles.  Le bâtiment qui ressemblait à un complexe désinfecté était rapidement devenu inateniable.

Et depuis il tentait de survivre sans qu'il n'ait vu ni son père , ni Lara , ni Hestia où Dedalus.

Se couchant parmis les cadavres ils se fofila tentent de se faire petit au possible.
Lorsqu'il le vit parmi les cadavres, la bouche grande ouverte, la main posé sur son arme.

- Papa...
Mumura Dudley.
PAPAAAAAAA.

Se redressant il voulu courir au prêt de son père mais des bras se saisir de lui.

- Tu ne peux plus rien pour lui garçon. Il faut te mettre en sécurité.
Fous de rage sans savoir à qui il avait à faire il se degagea et courut vers le cadavre qui fut un jour son père. Il avait tant à faire encore, tant a lui dire et à lui demander.  Cela ne se pouvait cela ne devait se passer.

Bravant toute sécurité jusqu'à présent scrupuleusement respecté il se précipita
s'agenouillant au prêt de son père. Plus rien ne comptait à présent.  

- Je t'en suplie papa non....
Les sortilèges fusaient tout au tour de lui,  certain le fronlant même.

S'allongent sur le corps de Vernon, Dursley serait bien resté là pour l'éternité.
Mais Dedalus n'était pas de cette avis et au moment où il s'approcha du garçon le ciel déversa sa fureur.
                                      *

- Il est parti ?

- Je le crois.

- Ou ça ?

- Qu'importent Hermione, nous sommes tout les trois en vie.

- Je n'aurait jamais dû faire ça ....

- Harry ....

- Je n'aurais jamais dû faire ça ....

- Harry....

- Si j'avais pas eux cette idée,  des vies innocente aurait été épargnés.

- Innocente, innocente....
Marmonna Ron.

- Je les ai tués tous tué.
Mumura Harry Potter.
Le trio d'or se trouvait dans une sorte de land bardé de colline ou en son centre se prélassait un lac, une immense étendu d'eau aux miriades de couleurs turquoise.
Hermione qui s'étant remise de sa baignade glacé plus vite que les deux garçons, se redressa et fit quelques choses quelle ne se serait jamais cru capable.
Elle le gifla de toute ses forces.

- Harry nous avions fait ce qui avait à faire d'accord.  Nous devons nous estimer heureux qu'aucun civil n'ait été touché.  Nous sommes en guerre Harry Potter .  En guerre, hmm.  Tu as pris une décision sous là précipitation d'accord.  Ils allaient nous tuer de toute façon. C'était eux ou nous.  Il est fini le temps où il y avait ceux pour Tu-Sais-Qui et les autres d'un côté. Il n'y a plus que nous trois. Ça toujours été nous trois, ce jusqu'à l'autre timbré ait été crevé. Alors relève toi et ressaisis toi car on a besoin de toi.

M Potter fut si surpris qu'il cessa de pleurer.
Mais qu'a fait la guerre de nous ?
Oui que faisait-elle de toute ses âmes innocentes... Il l'ignorait tout comme la direction qu'avait prise la créature.  Tout ce dont il était sur était que ces années et ces années d'incarcérations lui avait laissé un goût amer et visiblement avait la ferme intention de mettre le plus de distances entre lui et sa prison.
                                   *

Le feu ravageait le sol et beaucoup de Sorciers pris au dépourvu transplanèrent  les milliers de baguettes furent bientôt que quelques centaines sans compter les centaines de cadavres carbonisé et corps se convulsant.

Le Dragon volait haut dans le ciel  et puis se laissait tomber en piqué avant de vomir des décennies d'incarcérations, sous forme de torant de flammes.

- LARA.
Hurla Anastasia sous la forme de Peter Petigrow ce qui en un sens pouvait paraître singulièrement cocasse.
Alors qu'elle s'apprêtait à transplaner la bête  en un dernier passage rageur déversa sa haine et sa rage puis aussi soudainement qu'il était venu s'en fut dans le firmament, l'astre solaire, arassé, se couchant faisait miroiter sur ses écailles blanchâtres des miriades de perles multicolores.  Le spectacle était malgré l'horreur de la situation, époustouflant.
Et c'est là qu'elle la vit brandissant une dernière fois sa baguette magique sa sœur fonça sur l'édifice, suivit de centaines de personnes. En l'espace de dix secondes, le cours de la bataille avait radicalement changé de visage.

Et elle le vit aussi clairement que le soleil se lèverait le lendemain.  Le centre allait tomber, et cela allait se passer dans moin d'une heure. Sa sœur venait à moin de vingt ans d'entrer dans l'Histoire.  Elle était devenu aux yeux de sa communautée l'héritière légitime de feu Lord Domnhall.  Elle en était sur à présent.

Puis elle se souvint du pourquoi du comment elle se trouvait ici et fonça vers la cellule de Pétunia alors que les effets du polynectar s'estompait. S'était sans aucun doute mieux ainsi.  Songea-t'elle.
Comme précédemment elle  sortit sa baguette magique et la cellule de cette moldu s'ouvrit. Face à son air effaré Anastasia ouvrit la bouche, mais péniblement en haletant, mrs Dursley sétait redressé. 

- Il faut les sauver. Jeune fille je n'ai pas eux tes médicaments je ... Il faut les sauver.

Anastasia se précipita pour rattrapper la moldu pensent que ses mois d'incarcérations commençait à lui joué des tours.

- Tout est bientôt fini. On va transplaner et tout...

- Nooon.
Son crie fut plus un gémissement.
Ses yeux agrandi par la malnutrition l'observait ses mains tremblaient.
Je ... Je les entendu.  Il  faut les sauver les autres. Ceux qui sont encore vivant. Ils faut les sauver.
Et merde....
Songea la jeune O'free
Merde, merde meeeeeerde !

She was my sister Où les histoires vivent. Découvrez maintenant