Chapitre 64 : La vérité éclate toujours.

623 45 73
                                    

Vous avez sûrement déjà vécu cette scène, de replonger dans vos souvenirs d'enfances, en rangeant votre chambre, ou en trouvant un ancien cahier de l'école primaire ? C'est à peu près ce que je vis depuis quelques jours, dans la maison que j'ai reçu en héritage. J'avais oublier que de nombreux objets personnels se trouvaient encore dedans, notamment dans la chambre que je partageais avec ma soeur.

Depuis quelques jours, les garçons enchaînaient les affaires, et j'avais suivis sur la première, avant de comprendre dans quoi Sam nous avait embarquer. Il travaillait avec les Anglais. Et recevais les ordres de mission par texto. Quand je l'avais compris, après cette chasse de fantôme, j'avais attendu qu'on soit seul avant de lui demander des explications. Mais ça avait très vite tourné en dispute, et j'avais fini par décréter que je resterai dans mon coin, jusqu'à ce que Dean soit au courant, du moins. Oui, j'avais été trop conne pour lui promettre de ne rien dire à son frère. Malgré ses décisions de merde, je l'aimais quand même, cette tête de noeud.

Je reçu un texto de Sam, me prévenant qu'ils étaient presque rentré. Mais j'étais déprimée : après avoir rangé mes affaires dans la maison et fais le ménage, j'avais voulu faire démarrer la voiture de mon père, une Porsche 356 B coupé Karmann de 1963, de couleur rouge. C'était la voiture qu'il avait quand il avait rencontré ma mère, et elle ne roulait plus. 

En souvenir de mes parents, je voulais la conduire mais je n'arrivais pas à la redémarrer, et j'étais exaspérée, et très sale

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

En souvenir de mes parents, je voulais la conduire mais je n'arrivais pas à la redémarrer, et j'étais exaspérée, et très sale. M'essuyant le front, je récupérais mon sac et après avoir tout fermé, je me téléportais au bunker, rejoignant la bibliothèque. Les garçons venaient de rentrer, et ça puait à mort. L'explication de l'odeur fut facile à deviner : Dean était dans un état lamentable, plein de sang et de liquide non identifié.

- Dean, tu devrais prendre une douche, soupirai-je

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

- Dean, tu devrais prendre une douche, soupirai-je. C'est quoi, les morceaux de choses, sur toi, exactement ?

- Du fluide de goule, et de spectre, et des morceaux de sirènes dans les cheveux, répondit Sam, soupirant. Ah, et ajoute à ça qu'il n'a pas changé de caleçon depuis 4 jours, aussi.

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Deux frères, une nouvelle vie. #SupernaturalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant