Chapitre 54

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أثناء هذا الوقت

De retour à la chambre, je me rafraîchis pour me changer de nouveau afin de faire mes prières

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De retour à la chambre, je me rafraîchis pour me changer de nouveau afin de faire mes prières. Entre temps, Sultan dormait toujours aussi profondément

Étrangement, cela m'inquiète et me pousse quelque peu à me rapprocher de lui dans le lit pour vérifier qu'il vit toujours et heureusement pour moi, c'était le cas. Ainsi je décide de le laisser se reposer lorsque je le sens me retenir par la main dans son sommeil.

(ainsi donc il n'était pas profondément endormi)

Petit à petit, il ouvre dès lors très lentement les yeux sur mon visage :


- Sultan : tu en a mis du temps. D'où viens - tu ?

(signes)



- Sultan : où est - ce que tu étais dis moi pendant que mon cœur te cherchais ?

(signes)



Face à cette question, je baisse les yeux pour éviter son regard.

(Je demeure tout aussi muette qu'une tombe par culpabilité et par honte. J'étais incapable en effet de lui dire que j'ai été cuisiner avec son père).



- Sultan : tu ne veux pas me répondre ?




(ainsi donc il me tire brusquement par la main en dessous de lui sur le lit pour se mettre à me fixer longuement et profondément dans les yeux).

Dans ses bras, à quelques centimètres de son torse nu et à sa merci, mon cœur commence dès lors à battre la chamade au point de vouloir sortir de ma poitrine. L'atmosphère de la pièce change et la pression augmente dans l'air face au désir brulant dans ses yeux qui s'exprime à travers son souffle chaud sur ma poitrine et qui ne demande qu'à être assouvi.

Je ferme aussitôt les yeux, toute tremblante tandis qu'il parcourait tendrement mes seins juvéniles et mon corps en maniant avec délicatesse mon cou et mes zones sensibles. Passionnément, il fait glisser ma petite robe pour me découvir en humant le parfum du shampooing dans ma chevelure encore frisée et mouillée après mon bain. Mon corps tremble au contact de sa peau et de ses attouchements autour de mes tétons qui se font plus insistantes, précises et intenses sous les draps (il aime bien les sucer et jouer avec ). A travers une petite caresse le long de ma jambe, sa main virile voyage alors sur ma peau pour descendre sur mon intimité. Je frémis aussitôt de plaisir avant de l'interrompre.


- Moi : ne fais pas ça s'il te plaît ...

(signes)

Il s'arrête dès lors pour me fixer passionnément en l'espace d'un court instant.


- Moi : s'il te plaît...



- Moi : c'est la seconde fois et Saeed va me tuer !

(signes)


Muette comme une tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant