Chapitre 107

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Pendant ce temps de l'autre côté du mur

Deux jours plus tard, la porte de la chambre s'ouvre et il passe le salam avant de s'avancer en silence vers l'intérieur de la pièce.


- Saeed : السلام عليكم



- Sultan : ... وعليكم السلام

(ainsi il s'asseye calmement à son chevet pour s'enquérir de son état de santé)


(ainsi il s'asseye calmement à son chevet pour s'enquérir de son état de santé)

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- Sultan : comment tu te sens aujourd'hui ?



- Sultan : alhamdoulilah, je rends grâce à Allah d'être encore en vie même si tu te doutes bien que je ne peux pas être tranquille couché dans ce lit en sachant que mes enfants courrent un grand danger !



- Saeed : tu t'inquiète donc encore à ce sujet ? Je pensais t'avoir déjà dis pourtant que je les aïs pris avec moi et que je m'occupais d'eux.



- Saeed : je les aïs déposé à l'école avant de venir et ils vont tous bien alhamdoulilah alors pourquoi te faire autant de tracas ?



- Saeed : tu n'éprouves donc aucune compassion pour ta propre condition ?



- Sultan : tu ne peux pas comprendre ce que je redoute Saeed ...



- Saeed : et qu'est - ce que tu redoutes tant et que tu ne me dis pas Sultan ?




- Sultan : j'ai peur ...




- Sultan : je crains que ceux qui ont assassiné aussi lâchement ce pauvre homme et qui ont voulu en finir avec ma vie, ne reviennent pour s'en prendre à eux.



- Sultan : raison pour laquelle, il me faut sortir très vite de ce lit à tout prix afin de les protéger.



- Saeed : dans ta condition tu ne peux même pas te protéger toi même alors comment espérer que tu puisses protéger ces enfants ?



- Saeed : tu dois parvenir à te rétablir d'abord c'est ce qui urge pour le moment. En ce qui concerne les enfants je m'en occupe comme je viens de te le dire.



- Saeed : ou alors tu n'as plus confiance en moi non plus ?




- Saeed : je n'ai qu'une seule parole et tu le sais parfaitement !




- Sultan : tu ne me comprends toujours pas de ce que je vois ...




- Sultan : j'ai peur pour toi et pour eux y compris car cette fusillade était loin d'être un règlement de compte comme le pense la police.



- Sultan : bien au contraire, ils ont voulu le reduire en silence raison pour laquelle il me faut sortir de ce lit d'hôpital au plus vite pour chercher ma femme.



Muette comme une tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant