Chapitre 106

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Au lever du jour dans le bureau

Au lever du jour dans le bureau

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- Diesel : comment cela a t - il pu se produire et par comment est - il parvenu à rentrer !



- Khamis : parce que tu me le demande sérieusement ?




- Diesel : ...... ......




- Khamis : réponds moi ! N'est - ce pas que tu me le demande ?



- Khamis : j'ai tenté de te prévenir Diesel mais tu n'as jamais voulu décrocher ce putain de téléphone !



- Khamis : ALORS QU'EST - CE QUE TU AURAI VOULU QUE JE FASSE DIS MOI !



- Khamis : je n'ai pas eu d'autres choix que de faire ce que j'avais à faire !



- Diesel : je ne t'ai jamais demandé de le tuer Khamis !




- Khamis : ES - TU MALADE ESSAM ? DOIS - JE TE RAPPELLER PEUT- ÊTRE QUE TU A VOLÉ SA FEMME ET SA FILLE ?



- Khamis : tiens toi bien car c'est pour toi que je l'ai fais parce qu'apparemment je suis le seul à me soucier de toi !




- Diesel : ....... .......

(Il demeure donc silencieux et muet telle une tombe)



- Khamis : à l'heure qu'il est, la police est sans doute entré en possession des clichés pris de vous deux et il va te falloir te préparer en conséquence si tu ne tiens pas à la perdre !


- Diesel : je ne fuirai pas avec elle Khamis si c'est ce que tu es entrain de me suggérer !




- Khamis : et pourtant il va falloir le faire !



- Diesel : je viens de te dire que je ne le ferai pas es - tu sourd ? JE N'IRAI NULLE PART !



- Diesel : j'ai déjà gagné son coeur alors pour qu'elle raison devrais - je fuir ? S'il a suffisamment de couilles pour ça qu'il vienne la chercher ici même !


- Khamis : soubhan'allah qu'est-ce que je peine à te comprendre ! MAIS QU'ES-TU DONC DEVENU DIESEL ?




- Diesel : ce n'est nullement ton problème !




- Diesel : à présent excuse moi car j'ai mieux à faire que d'écouter tes conneries. Je dois m'occuper de la santé de ma fille !

(sauf qu'il l'arrête très vite par geste brusque de la main)


- Khamis : ELLE N'EST PAS TA FILLE ESSAM ET SON PÈRE DE SANG NE VA PAS TARDER A VENIR POUR ELLE !



- Khamis : C'EST UNE QUESTION DE TEMPS, QU'EST - CE QUE TU NE COMPRENDS PAS DANS MES PROPOS PUTAIN ?



- Diesel : je comprends parfaitement tout de tes propos mais je ne fuirai pas Khamis. c'est mon dernier mot !



- Diesel : et que ce soit bien clair dans ton esprit borné une bonne fois pour toute. je ne te le dirai pas une troisième fois !



- Diesel : en ce qui concerne ma fille, je défends à quiconque toi y compris de dire qu'elle n'est pas ma fille parce que c'est la mienne !



- Diesel : ET CE N'EST PAS LE SANG QUI COULE DANS CES VEINES QUI Y CHANGERA QUELQUE CHOSE !




- Diesel : EST - CE BIEN CLAIR KHAMIS ?




- Khamis : ...... ......

(il ne réponds pas)

Ainsi il quitte le bureau en claquant la porte derrière lui avant d'emprunter sa voiture qui démarre au quart de tour de la villa.

A ce moment, il tape violemment sur la table qui se fissure quelque peu car il avait l'air de ne pas mesurer les conséquences de ce refus.

Il ne tarde donc pas à sortir son téléphone pour ordonner à ses hommes de doubler la vigilance de la propriété et de le protéger de près dans ses mouvements à l'extérieur.

Il descends ensuite les marches et tombe sur l'enfant qui jouait joyeusement dans la salle de jour : elle lui sourit aussitôt et cours à quatre pattes dans ses bras.


- Khamis : bonjour bien aimée de tonton. soubhan'allah... qu'est - ce que tu es mignonne ❤️




- Khamis : أريد ابتلاعك




- Khamis : ماذا تفعل قل لي. ماذا تلعب في

(Il se mets dès lors à l'embrasser dans tous les sens devant ses cris de joie)

En l'espace d'un instant, il l'emporte donc dans ses bras à l'extérieur pour réccupérer le paquet à l'arrière de la voiture.

A la vue de celui - ci, elle s'excite et s'agite davantage, plus que joyeuse de pouvoir ouvrir son cadeau. Cette situation lui arrache donc un petit sourire au moment où elle le déballe car il savait dès lors qu'elle préférait les ballons de basket aux poupées.

(autant vous dire qu'elle s'acharnait sur celles - ci et qu'elles étaient toutes sans têtes parmi ses jouets)


- Khamis : tu aimes les ballons n'est - ce pas ?

Elle crit aussitôt de joie à l'idée de jouer avec et alors il sourit de la voir aussi heureuse.



- Khamis : chut ... doucement mon amour ❤️




- Khamis : doucement...

(il la tient donc quand bien même pour plus de prudence pendant qu'elle jouait)


Muette comme une tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant