Chapitre 78

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Le jour se lève vers six (6) heures et la fraicheur des premières heures de la matinée nous trouve encore endormi affectueusement dans les bras de l'un et l'autre.

.........

Je ne tarde pas à ouvrir très lentement les yeux au milieu de ce silence matinale sans aucun souvenir de ce qui s'est passé la veille.

(la villa était calme et déserte ; sans bruits à l'horizon)

[...] Et à quelques millimètres de moi,il dormait toujours aussi profondément comme un bébé. Avec ses cheveux frisés, il était tout juste trop mignon. Je ne me lassais pas de le regarder.

Très doucement, je quitte les draps blancs et le lit sans faire de bruits pour me rendre à la salle de bain. Je retire ensuite ma couverture et détache mes cheveux avant de rentrer sous la douche fraîche.

En l'espace d'un instant d'inattention, je sens dès lors ses bras viriles me parcourir tendrement le dos par derrière. Je me retourne donc très vite pour le regarder dans les yeux.



- Moi : tu faisais donc semblant de dormir profondément ? Tu ne dormais pas sérieusement ...

(signes)




- Essam : ...... ......

(il affiche un petit sourire malicieux au coin des lèvres)




- Essam : pourquoi ? parce que tu ne ma pas suffisamment regardé ? Tu veux qu'on y retourne ? ❤️

(signes)




- Moi : ....... ......

(cette fois, c'est moi qui sourit de honte et couvre mon visage par ma chevelure).

Il explose de rire aussitôt pour se moquer de moi avant de m'emprisonner dans ses bras pour m'embrasser tendrement.



- Essam : j'aime cette subtilité que tu as de vivre tes desirs sans pour autant te trahir. Ayiee ça me rends totalement fou ❤️

(signes)




- Essam : encore plus fou d'amour...

(signes)

Pour me sauter dessus et se mettre à embrasser mon corps dans tous les sens tel un fou.



- Moi : chut ! arrête, tu es fou ...

(toute honteuse)





- Essam : nan, je t'aime !

Il se refuse dès lors à me relâcher et continue de m'embrasser follement de partout. Sans le vouloir J'explose donc de rire sous ses chatouilles tout en essayant de me libérer de ses fillets.

Il finit donc par m'embrasser dans le cou (mon point le plus sensible) en caressant centimètre par centimètre ma peau.



- Essam : sais - tu ce qui me viens à l'esprit à l'instant même ?

(signes)




- Moi : dis moi ...

(signes)




- Essam : et si nous renouvelons nos vœux de mariage ?

(signes)




- Moi : quoi ? Je ne comprends pas ce que tu veux me dire

(sur le coup de l'étonnement)

Il relève dès lors mon menton pour m'obliger à le regarder dans les yeux avant un tendre baiser sur le front


Muette comme une tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant