Chapitre 66

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Au milieu du grand calme et le silence sinistre qui inondait les quatre murs de ma prison, la porte s'ouvre dès lors derrière lui et son ombre diabolique.

En voyant cet homme au visage accidenté et ses membres plâtrés , je me relève alors brusquement du lit plus que nerveuse pour m'éloigner quelque peu pendant qu'il s'avançait à pas lent vers le centre de la pièce.




- Moi : سبحان الله dites - moi où je suis. Quel est ce lieu et qu'est - ce que je fais là ?

(signes)




- Moi : et qui êtes - vous et que comptez - vous me faire ?

(signes)





- Diesel : ..... .....

[...] un grand silence retentit dès lors dans la pièce.

(comment ça qui il est ?)

Il se retourne donc instantanément pour foudroyer du regard l'imbécile derrière lui ; quelque peu étonné par cette question alors qu'il s'attendait lourdement à ce que je lui saute dessus pour le battre et lui cracher toute ma haine au visage comme le vulgaire criminel qu'il était !

Ce dernier s'enfuit littéralement hors de la pièce pour ne pas perdre sa vie et alors il comprend tout de suite ce qui était loin d'être visible.

(Je commence à pleurer dès lors car son silence me rendait encore plus instable et nerveuse)




- Moi : parlez bon sang ! Qui êtes-vous et qu'est - ce que je fais là ?

(signes)





- Moi : qui suis - je ...

(signes)





- Diesel : ..... .....

(Sans toutefois me répondre, il tente dès lors un rapprochement pour vouloir me consoler dans mes larmes mais je recule instantanément)




- Moi : NON NE VOUS APPROCHEZ PAS DE MOI !

(signes)

Ainsi je cours saisir la lampe de chevet (le premier objet qui m'est tombé dans la main) pour me défendre face à lui.




- Moi : JE NE VOUS CONNAIS PAS ET VOUS ALLEZ ME FAIRE DU MAL ALORS RESTEZ LOIN DE MOI !

(signes)




- Moi : AUTREMENT JE N'HESITERAI PAS UNE SEULE SECONDE À UTILISER CETTE LAMPE.

(signes)




- Diesel : non, surtout pas ! calme toi mon amour je t'en prie.

(signes)




- Diesel : je sais que tu es amnésique et que tu ne te souviens pas forcément de moi mais calme - toi s'il te plaît et pose doucement cet objet hagar avant de te blesser ...

(signes)




- Diesel : ... s'il te plaît.

(signes)





- Diesel : je ne suis pas là pour te faire du mal et je ne saurai te faire du mal parce que je t'aime mais pose la !

(il tente de nouveau un rapprochement)




- Moi : QUOI ?

(car je ne comprends pas le sens de ses propos)




- Moi : VOUS ÊTES QUI ET QU'EST - CE QUE VOUS ME VOULEZ. C'EST ÇA LA QUESTION !

Muette comme une tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant