Chapitre 70

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Après l'apparition des premiers rayons de soleil, j'ouvre doucement les yeux pour me rendre compte que je m'étais assoupie pendant la lecture, en l'espace d'un instant.

Et comme à l'habitude, de la nourriture et de l'eau fraîche avait été déposé sur la commode [...].

Je me relève dès lors au milieu du calme et du silence sinitre qui régnait toujours pour me rapprocher de la couche sur lequel il était.

(Il dormait toujours)

Je m'inquiert ainsi de son état de santé et touche son front d'un geste affectueux pour tâter sa température qui semblait être revenu (presque) à la normal. Soulagée, j'accepte de le quitter des yeux quelques minutes pour aller me rafraîchir le visage.

A mon retour, il n'avait toujours pas bougé dans son sommeil. Je le tape alors un peu sur le bras pour qu'il se lève mais il ne se réveille toujours pas.

A court de solution, je me rapproche dès lors de plus près pour essayer de relever sa tête.

- Bismillah...

(ainsi je pose sa tête sur mes genoux et lui ouvre la bouche pour lui donner de l'eau).

Celle - ci lui est passé à travers la gorge et il la bu difficilement dans son sommeil bien que inconsciemment car il était fortement déshydraté après cette forte fièvre.

Cela m'encourage davantage à lui donner à manger ce qui était assez liquide et facile à avaler.

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C'est dans ces conditions que la porte s'ouvre brusquement derrière son ami qui rentre comme une furie dans la pièce ; attitude qui m'a effrayé et fait sursauté de peur.

(la petite cuillère m'échappe de la main et tombe).

Ainsi il le surprends couché dans un sommeil profond sur le sol (la tête sur mes genoux) et me foudroie d'une telle manière que je tremble sur moi.

Toutefois pour l'heure, il ne dit rien et s'en va de suite comme il était venu en claquant la porte derrière lui.

(Au bout de quelques instants, j'arrive donc à rassembler toutes mes forces pour ramasser de nouveau la cuillère et continuer de le nourrir dans le calme).


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Malheureusement c'est la garde posté à l'extérieure de la porte qui a payé lourdement les frais de sa colère à ma place

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Malheureusement c'est la garde posté à l'extérieure de la porte qui a payé lourdement les frais de sa colère à ma place.

Après un coup des plus violemment et presque mortel dans le ventre, le pauvre tombe instantanément accroupi sur le sol et se tort de douleur.

(Ainsi il le saisit par sa vilaine tête pour lui chuchoter deux mots à l'oreille).



- Khamis : est - ce que tu pourrai m'expliquer ce qui s'est passé exactement dans cette pièce pour qu'il soit couché au sol comme un vulgaire déchet et le nom du bâtard qui a autorisé cette attardé mentale à accéder à cette pièce et à lui pour le maltraiter de la sorte ?

(à l'oreille)


- Khamis : déjà comment est - elle sorti de sa putain de chambre !





- Idris : ..... .....
(Il se tords de douleurs)





- Khamis : est - ce que tu vas me répondre ta mère ? Ou je dois te niquer ta race définitivement !






- Idris : je l'ignore ...






- Idris : je l'ai simplement retrouvé dans cet état en prenant mon tour de garde !




- Khamis : ET OÙ ÉTAIT L'IMBÉCILE QUI ÉTAT CENSÉ VEILLER SUR SON ÉTAT DE SANTÉ PENDANT CE TEMPS ? (Amine)





- Idris : je n'ai pas la réponse à cette question chef !

(ainsi cette réponse lui déplaît fortement et il lui redonne un deuxième coup des plus violent dans le ventre qui a eu l'effet de le faire perdre connaissance sur le sol nu).

Il se relève et tourne donc le dos mais avant de partir il adresse deux mots au deuxième qui était posté à quelques mètres.



- Khamis : surveiller le en permanence désormais et que personne ne quitte son poste même pas pour uriner !




- Khamis : car si elle le tue, je vous nique tous vos races !





- Ader : à vos ordres chef !






- Khamis : vous avez intérêt !





- Khamis : pour l'instant allez me remettre ces putains de perfusions dans le bon ordre tout de suite !





- Ader : ...... ......

(Il n'attend pas qu'il le lui redise une seconde fois et court dès lors s'exécuter avant de terminer comme l'autre au sol).

Ainsi donc dans les minutes la porte s'ouvre de nouveau brusquement derrière le garde qui rentre. Cette fois ma peur a été telle que je me suis levée en sursaut pour m'écarter plus loin. Sauf qu'il n'était nullement venu pour me faire du mal comme je le pensais vraiment.

Il s'avance simplement vers le malade couché pour retirer les cathéters que j'avais placé n'importe comment sur sa jambe et son bras. Ils les rechange dès lors pour les lui remettre à la veine aux bras avant de s'en aller.

(Il quitte la pièce en silence comme il était rentré).

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De nouveau seule, je me rapproche alors de nouveau pour reprendre place près de lui et continuer de m'en occuper.

[Après cette épisode leur comportement à tous étaient devenus assez étrange].

La moindre chose et le moindre petit bruit les alertaient (ils accourent dans la seconde près pour vérifier que tout va bien) et même ce dont je le nourrissais était contrôlé avant qu'il ne puisse lui être donné.

(Nous étions comme dans une prison)

Muette comme une tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant