Chapitre 57

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Il était 00h : 00 et tard cette nuit là ...

Toutefois, l'attente paraissait long à chaque seconde, minute et heure qui défilait sous ses yeux.


Toutefois, l'attente paraissait long à chaque seconde, minute et heure qui défilait sous ses yeux

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Assis en salle d'attente à l'extérieur, il se hasarde dès lors à scruter l'heure sur sa montre au fur et à mesure que son inquiétude grandissait.

l'instant d'après, une main affectueuse se pose dès lors sur son épaule et alors il revient sur terre avant de lever les yeux vers lui.

Toutefois, il ne lui adresse aucune parole et s'invite tout seul à prendre place à côté de lui :



- Saeed : tu as l'air inquiet et désemparé et cela se lit de loin dans tes yeux.




- Saeed : je comprends dès lors que tu angoisses terriblement à l'idée de connaître la décision finale des juges et moi également.





- Sultan : certainement mais pas que !





- Saeed : dis moi ....





- Sultan : il est très tard et je commence à m'inquièter terriblement pour Hagar. je l'ai laissé derrière moi et à cette heure je ne sais même pas si elle a dîné ou si elle s'est endormi le ventre vide ...



- Sultan : retiens bien que je lui ais promis de rentrer plus tôt pour l'emmener te voir et la connaissant j'ai peur de ce qu'elle pourrait faire si elle ne me voit pas revenir.




- Sultan : j'ai un mauvais présentiment...





- Sultan : elle pourrait quitter la villa et se retrouver en danger dans la nuit.





- Saeed : n'importe quoi !





- Saeed : tu as conscience que tu ne vas pas la materner toute la vie n'est - ce pas ? c'est ta femme ou pas ?




- Saeed : c'est toi qui l'a épousé et non le contraire alors tu dois porter ton pantalon et lui poser des restrictions qu'importe si cela la blesse ou pas ; pourvu qu'elle ne t'attire pas des problèmes !



- Saeed : parce que c'est ce qui risque de t'arriver si jamais elle recroise la route de ce criminel. Un homme averti en vaut deux !




- Sultan : tu peux dire tout ce que tu veux mais tu sais parfaitement au fond de toi que je ne pourrai jamais poser la voix encore moins la main sur elle ...




- Saeed : comment ça ?





- Sultan : je n'y arrive pas je te dis !





- Sultan : elle pourrait tout faire pour me déplaire que je n'aurai jamais le courage de la disputer. Laisse moi simplement ma femme ainsi s'il te plaît.




Muette comme une tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant