Chapitre 126

122 12 0
                                    


Le soir venu sa femme lui est donc ramené et ces dernières l'installent dans sa nouvelle chambre avant de se retirer.

(à l'exception toutefois de celle qui devait rester pour le drap de la mariée)

[...]

]

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.


Entre temps à l'extérieur

Devant la porte d'entrée, Sultan prend également congé de lui après le départ des autres en l'avisant toutefois :



- Sultan : cette femme est très avancée en âge mais tu sembles oublier qu'il s'agit de la même femme qui l'a exposé de part le passé.



- Sultan : as - tu seulement conscience que tu vas loger la plus grande commère de ce quartier dans ta maison la nuit de tes noces ?




- Saeed : je le sais bien ...





- Saeed : ne t'inquiète pas je ne l'ai pas oublié et c'est tout à fait délibérément que mon choix s'est porté sur elle à cause de sa mauvaise langue.



- Saeed : garde à l'esprit que je n'ai pas encore lavé totalement l'honneur de ma femme et je sais qu'elle ne peut pas s'empêcher d'exposer tout ce qu'elle voit partout où elle passe



- Saeed : cette nuit je compte l'honorer et par la même occasion lui prouver qu'un homme peut encore la désirer.




- Sultan : soubhan'allah...

(il rit dès lors car il voyait déjà venir le lever du jour et la nouvelle partout dans le quartier)



- Saeed : et si elle le raconte à l'extérieur c'est son problème et sa seule honte du haut de son grand âge.




- Saeed : je suis désolé pour elle ... Il en faut beaucoup pour attiser ma colère et elle y est arrivé !




- Saeed : ainsi tout comme je l'ai dis auparavant, je peux pardonner mais je n'oublie jamais !




- Sultan : dans ce cas, je te souhaite de passer une agréable nuit. Pour ma part je n'ai pas d'épouse dans les bras de qui dormir sinon mes enfants. Ils doivent m'attendre...




- Sultan : السلام عليكم





- Saeed : وعليكم السلام

(au moment où il tourne le dos)




Après son départ, il franchit de nouveau la porte d'entrée de chez lui et passe le salam auprès de la vieille femme (toujours assise)

Il s'assure dès lors que celle -ci soit bien à l'aise et qu'elle n'ait besoin de rien avant de lui souhaiter une bonne nuit et prendre congé d'elle.

Muette comme une tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant