Chapitre 73

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Plusueurs heures plus tard au milieu de la nuit


Plusueurs heures plus tard au milieu de la nuit

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J'étais couché dans mon lit au milieu de la chambre mais j'étais loin d'être bien. Je ressentais un mal de ventre des plus terrible et désagréable en effet qui interrompt mon sommeil.

Je ne tarde donc pas à ouvrir les yeux toute transpirante sous les draps au milieu de la nuit (un silence de mort règnait dans la villa).

Ainsi je me relève avec peine (sous l'effet des vertiges) pour me rendre aux toilettes pour y vomir pendant un court moment car je saignais un peu (J'étais brûlante de fièvre ). Je me nettoie ensuite convenablement pour me rechanger plus proprement.

Il était presque l'aube à cette heure là[...]

Je me rallonge alors sur le lit pour me reposer car je n'étais plus apte à faire la prière avant les jours à venir (étant impure).

Mais à peine ais - je fermé les yeux qu'une violente nausée me surprends de nouveau. Je cours alors de nouveau à toutes jambes aux toilettes pour me libérer avant de pouvoir revenir au lit une dizaine de minutes plus tard.

Cette fois, je n'ai pas pu refermer les yeux jusqu'à l'apparition des premiers rayons du soleil.



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Un peu faible et sans grandes forces, je suis donc restée allongé au lit tout au long de la journée jusqu'à ce que je finisse par être emporté par le sommeil que je n'ai pas pu trouver dans la nuit.

[...] les heures passent et défilent pour ainsi dire jusqu'à très tard dans la journée (le soleil était au zénith) et jusqu'à ce que je sente une main se poser près pour me carresser tendrement le visage.

J'ouvre alors très lentement les yeux (car mon sommeil n'était pas solide) et croise son regard et ses doigts délicats qui tâte la température sur mon front.

Muette comme une tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant