Chapitre 128

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Quelques heures plus tard après l'heure de dohr


Quelques heures plus tard après l'heure de dohr

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Après s'être rafraichie, elle se fait belle et se parfum délicatement pour le retour de son mari et uniquement pour le plaisir de ses yeux avant de poser le voile sur son visage ❤️

A l'instant la sonnerie retentit à la porte et elle se rends compte que ses invités étaient arrivé à destination.

Elle sourit dès lors et descends les marches pour les accueillir chaleureusement.

la porte s'ouvre ainsi derrière les hommes qui passent le salam [...]



- Humeira : وعليكم السلام

(autant vous dire que les yeux de Saeed l'ont parcourus très vite de la tête au pieds : il l'a dévorait du regard)



- Humeira : bienvenu mon mari, entrez donc je vous en prie. Vous arrivez juste à temps pour le plat préféré.




- ........ .......

(Le groupe d'homme sourit dès lors et tous baissent leur regard face à la pudeur car elle était désormais l'épouse de leur imam)




- Saeed : merci ... bismillah !

(il fut donc le premier à mettre les pieds dans sa propre maison et les autres suivent derrière lui).


A l'instant, une odeur de mêts particulier provenant de la salle à manger leur éffleure le nez et les dix sept se retournent pour se regarder entre eux quelque peu surpris et étonné.

Saeed encore plus car il n'avait pas le souvenir de lui avoir dit qu'il préférerait l'agneau encore moins qu'il serait accompagné par des invités au retour.

Quoiqu'il en soit il sourit discrètement mais ne dit rien pour autant [...]

..........................

La maison était plus que propre au point où l'on pouvait presque se mirrer sur le sol et l'air était imprégnée d'une senteur des plus spéciale (parfum) s'élèvait du pot d'encens.

Ils se sauraient cru au paradis sans doute s'il ne savaient pas qu'ils étaient encore en vie [...].

Avant son retour, Saeed les invite autant à prendre place et elle apporte
le thé et les dattes pour les servir généreusement.

Leur étonnement grandissait au fur et à mesure et encore plus lorsqu'elle s'est agenouillé tout spécialement pour servir son époux en dernier ; une soumission totale qu'elle n'a pas témoigné même à son frère au moment où elle l'a servit et Djallaedine Amir en était plus que fier.

(tous baissent alors les yeux au moment où la tension dans l'air était à son comble car aucun d'entre eux n'a jamais reçu un tel respect et une telle affection de la part de leurs épouses).




Muette comme une tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant