Chapitre 64

237 17 0
                                    

Dans la même soirée

Dans la même soirée

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.




- Mon beau-père : ainsi tu continues donc de verser ces larmes Aydanûr ?






- Ma belle-mère : ..... .....






- Mon beau-père : n'est-ce pas que je t'ai dis de les cesser ? Cela ne sert strictement à rien et ne le fera pas guérir plus vite, pas plus qu'ils ne feront revenir cette pauvre enfant !




- Ma belle-mère : tu ne peux pas comprendre...





- Ma belle-mère : tu n'étais pas là pour le voir dans l'état dans lequel il était avant d'être drogué alors laisse - moi me libérer s'il te plait ...

(Toujours en larmes)



- Mon beau-père : qu'est- ce que je ne peux pas comprendre Aydanûr ? Que je suis impuissant et incapable de venir en aide à mon seul fils ?




- Mon beau-père : saches que je ressens cette douleur et cette impuissance autant que toi !





- Mon beau-père : pour autant je ne pleure pas parce que j'ai beau être faible, je suis conscient que cela ne m'aidera en rien !





- Mon beau-père : Allah seul sait ce qu'il fait et il n'impose à aucune âme un fardeau qu'il ne peut supporter certes !





- Mon beau-père : garde bien cela à l'esprit !





- Mon beau-père : et si dans sa bonté il a prédit qu'il se relèvera un jour, alors n'aies aucun doute sur le fait qu'il sortira de cette épreuve.




- Mon beau-père : il est sous son œil et tout comme sa femme, je les place tous les deux sous sa protection.





- Mon beau-père : ... où qu'elle soit et dans n'importe quelle situation où elle se trouve.

(ainsi inconsciemment une larme chaude lui échappe de l'œil qu'il se dépêche aussitôt d'essuyer).




- Ma belle-mère : ...... .....

(la pauvre éclate très vite en sanglots et alors il se rapproche davantage pour l'étreindre dans ses bras et la consoler).




- Mon beau-père : calme toi je t'en prie ...





- Ma belle-mère : comment me calmer quand je vois mon seul fils dans cet état...





- Mon beau-père : incha Allah tout va aller pour le mieux bien aimée de mon coeur.





- Mon beau-père : ça va aller.

(avec une petite caresse sur la joue pour la consoler)

En l'espace d'un instant, elle arrive dès lors à se maîtriser dans ses bras après un tendre baiser passionnel)




Muette comme une tombeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant