18 - L'examen des baguettes

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Le lundi, Salazar retrouva ses camarades au petit déjeuner. Les élèves de Serdaigle et surtout de Poufsouffle le bousculèrent un peu lorsqu'il entra dans la grande salle. Il fit comme s'il n'avait rein vu ou entendu et mangea avec ses trois amis. Au moins, les élèves de sa maison étaient autour de lui, et lui demandaient souvent s'il allait bien. La nouvelle de la mort de sa mère avait atteint les oreilles des élèves de Poudlard, et après sa nomination, ses camarades s'inquiétaient vraiment pour lui.

A son premier cours, de soins au créature qui se faisait avec les Gryffondor et les quelques Serdaigles qui avaient pris cette option. Salazar sentit que les rouges et or n'allait pas le laisser tranquille. Un élève tenta même de l'enfermer dans une des caisses où il y avait de la nourriture pour les différentes bêtes de Hagrid. Orion empêcha l'accident et ce fut finalement un Gryffondor à l'infirmerie avec des ongles qui poussaient.

« C'est Auron qui me l'a montré, expliqua Orion. J'en connais un autre sympa qui fait cracher des limaces. Malefoy.

Salazar donna une tape dans le dos de son ami, le remerciant de protéger ses arrières. Il aurait été dommage d'utiliser les Ombres contre cet élève.

Les quelques jours qui suivirent, Salazar remarqua que c'était surtout Potter qui s'en prenait le plus. Salazar ne restait jamais seul, et parfois des élèves plus âgé l'accompagnaient en classe. Les Serdaigles avaient l'air d'avoir plus facilement accepté Salazar que le Gryffondor et le laissait un peu plus tranquille. Sûrement qu'être amis avec les Serpentard les plus âgé et surtout un préfet de septième année, aidait. Enfin, Salazar avec sa bande se retrouvaient dans la Chambre des Secrets, cherchant à trouver ce que cette première tâche pouvait être.

Après une semaine tendu, où Hilda essayait de passer un peu de temps avec Salazar sans être trop vu par ses camarades, ce qui était parfois compliqué. Drago Malefoy montra un matin, sa nouvelle invention : un badge qui indiquait : « Vive Cedric Diggory et Salazar Belmort, les vrais champion de Poudlard ! Et lorsqu'on appuyait dessus cela se transformait en un « A bas Potter ». Orion pouffa de rire, mais se clama immédiatement quand il vit que ça ne faisait pas rire Salazar.

« Je n'ai pas mit mon nom dans cette coupe, dit Salazar d'une voix glaciale. J'aimerais qu'on arrête de me rappeler que je participe contre mon grès à ce stupide tournoi, Malefoy. Et Potter est dans la même situation que moi. Il n'a pas mit son nom, ni le mien comme j'ai pu l'entendre. Je sais quand on ment. Il n'a pas menti à Dumbledore.

Salazar bouscula Malefoy qui d'un haussement d'épaule en proposa à ses camarades. Un groupe assez important en demandèrent.

A la table, Orion s'amusait avec le badge ;

« Quoi ? s'exclama t-il. Je trouve ça marrant, moi. Tu ne devrais pas protéger, Potter, tu sais. C'est un Gryffondor et en plus c'est l'attrapeur de leur équipe de Quidditch. A cause de lui on perd à chaque fois.

« C'est peut-être parce que le nôtre est mauvais, répliqua Salazar.

Stiles hocha la tête, un peu gêné.

« C'est pas faux, avoua Indra. Bah, on aura peut-être une meilleur équipe l'année prochaine. Il y en a pas mal qui parte.

« J'aimerais trop devenir batteur, murmura Orion en lâchant le badge dans son bol. Mince...

Ils se levèrent pour rejoindre leur cours de métamorphose. Salazar était devant, pressé de pouvoir faire deux heures de cours. Il s'installa avec Stiles devant, laissant la table de derrière pour Orion et Indra. Salazar attendit un instant et leva la main. McGonagall l'interrogea.

Le Maitre des Ombres et la Coupe de FeuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant