Précédemment...
Il y a craquement et je matérialise mon épée en me retournant.
- - - - - - - -
Je reconnais la personne qui arrive à côté de moi et je baisse mon arme.
Je la dématérialisé en même temps que les lames qui flotte à côté de moi.
Je rougis.
- Bonsoir. dit-il simplement
- Bonsoir Todoroki-kun. Qu'est-ce que tu fais ici ?
- Je n'arrivais pas à dormir.
- Après là journée d'aujourd'hui c'est surprenant.
- Tu peux parler... me répond-t-il.
Je me rassied sans répondre. Que dire de toute façon ?
- Ah... soufflais-je, tu as peut être raison.
- Et toi ? Qu'est-ce que tu fais là ?
Il n'est pas aussi bavard d'habitude. Je hausse un sourcils.
- Je ne dormais pas non plus, un mauvais pressentiment ou quelques choses de ce goût là.
Il s'assied contre le rocher et dit.
- Le couple sur ce cristal... c'était tes parents je suppose.
Je fais volte face.
- Co-comment...
- Je t'ai entendu le dire.
- Pour être honnête... Ce n'est qu'un vague souvenir, je ne suis même plus certaine qu'ils ressemblaient à ça. C'est horrible hein ? Je ne sais même plus à quoi ressemble mes parents.
- Je suis désolé.
J'ai un rire nerveux.
- Pourquoi ? Tu n'y peux rien.
Il s'assied sur le rocher.
Nous sommes dos-à-dos.
- Je me souviens du soir de leur mort. Mon père est parti le premier. Il voulait protéger ma mère. Je t'épargne les détails. Ma mère à eu le temps de me dire adieu mais pas mon père.
Cette conversation est vraiment surréaliste. Mais parler avec lui m'apaise.
- Je suis désolé.
- Tu n'y es pour rien.
Tu n'étais pas né d'ailleurs, et tes grand parents non plus. Je m'abstiens de l'ajouter mais de justesse.
- Ils ont arrêté l'assassin ?
- Non il est encore dans la nature.
- Oh.
- Comme tu dis. Mais le problème sera bientôt réglé.
Oui. Bientôt ce sera fini. Je réglerai ce problème.
- C'est ça qui t'empêche de dormir ? Demande-t-il
Il est perspicace.
- Entre autres. Répondis-je
Je ne vais pas lui répondre que lui aussi il m'empêche de dormir... Mais pas pour les mêmes motifs.
- Et toi ? repris-je, Qu'est-ce qui trouble ton sommeil ?
Il se lève et se plante en face de moi avec un air sérieux et répond du bout des lèvres.
- Toi.
Je cligne des yeux, incrédule.
- P-pardon ?
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OMEN {Terminé}
FanfictionLe 18 août 2061, Kyoto, Japon. La nuit était noire, le silence régnait, mais un grand fracas troubla le calme dans une maison traditionnelle au sud-ouest de Kyoto. Une petite fille de 4 ans tout juste, descendit les escaliers mais resta bloquée de...