Le vert donna un coup de poing dans le métal et, à la surprise générale, mais surtout celle du jeune homme, il ne se passa rien.
Bakugo s'avanca à son tour et balanca la sauce. À part le fait qu'il soit un peu noirci le mur n'avait rien.
Un message s'afficha sur l'écran.
" C'est inutile. Ces paroit sont faite en betagel. Ils sont fait pour absorber les chocs de n'importe quel puissance et résiste à des températures extrêmes."
Le bicolore serra les poings jusqu'au sang et demanda d'une voix d'outre tombe.
- Que veux-tu ?
" Juste vous tenir éloigné le temps que la personne que j'ai embauché pour me débarrasser de l'élément perturbateur fasse son travail. C'était stupide de venir ici sans préparation. Résultat elle va mourir. "
Les explosions crépitèrent dans les mains de Bakugo qui demanda :
- Qui es-tu ?
" Enfin une bonne question ! Je suis la seule personne qui tenait véritablement à Shuvi. Celle qui ne la remplacera pas par une copie. Pas d'inquiétude je vous laisserait sortir quand j'aurais fini."
Les écrans s'éteignirent et Kirishima frappa du poing contre le mur dans un élan de rage.
Kyouka s'approcha et tapota sur le mur avec ses lobes d'oreilles.
- Ça fait plus de vingt centimètres d'épaisseur... Le betagel est beaucoup trop résistant. La force brute ne servira à rien ici... Si seulement on avait prit Mina avec nous, son acide l'aurait dissous...
Le bicolore fit un effort pour garder son sang-froid. Il devait trouver un moyen de sortir d'ici.
Il avança vers le mur en réfléchissant.
Résistant aux températures extrêmes...
C'est ce qu'on allait voir.
- Mettez vous tous au centre de la pièce. Je vais faire fondre le mur.
- Shoto. C'est résistant à la chaleur. Fit Kyouka.
- Il y a bien une température à laquelle ça doit fondre... on ne perd rien en essayant.
Les autres admirent que le bicolore avait raison et se rassemblerent au milieu de la pièce pour que le héros numéro trois les enferment dans un cocon de glace car il était le seul qui pourrait résister à la température.
Le jeune homme posa sa main contre le mur. Il fit augmenter la chaleur grâce à ses flammes tout en maintenant le cocon à une température décente pour un être humain normal.
Ses flammes rouges orangées se mirent à danser autour de lui et à tout dévorer sur leurs passages.
Bientot elle changerent de couleur et un bleu flamboyant vint remplacer le rouge carmin.
Le métal se mit à fondre une fois la température de mille trois cents degrés atteinte.
Le jeune homme ne pouvait pas réguler sa température corporelle avec sa glace pour ne pas faire baisser la chaleur et son côté gauche commençait à le brûler.
Une fois que l'ouverture dans le mur fût assez grande il s'arrêta et posa de la glace autour de lui.
Quand la température fût revenue à la normale il libéra ses amis toujours dans le cocon de glace éternelle.
- Dépêchons nous. Déclara-t-il sans se soucier de la brûlure qui lui parcourait le bras.
Mais quand les héros arrivèrent à Yuei il ne trouvèrent qu'une jeune femme brune qui était déjà maîtrisé par les héroïnes.
- OÙ EST-ELLE ?! Hurla Shoto.
Il attrapa la jeune femme brune qui le regardait avec un air haineux par le col.
- Pas là. À mon grand mécontentement.
Momo posa une main sur l'épaule du jeune homme et avant qu'elle eut le temps de dire quoi que ce soit, Shinso entra dans la pièce et reconnu la jeune femme.
- Mamoru-san !?
- Hitoshi-kun. Répondit platement la brune.
- Pourquoi ? Demanda le mauve.
La jeune femme se mit à hurler comme une possédée.
- POURQUOI ? POURQUOI ? TU OSES ME DEMANDER POURQUOI ? TU DEVRAIS FAIRE LA MÊME CHOSE QUE MOI ! CETTE FILLE N'EST QU'UNE IMPOSTEUSE ! ELLE ESSAYAIT DE REMPLACER SHUVI !
- De quoi parle-t-elle ? Demanda Deku
- Aucune idée. Répondi Momo. Elle tient le même discours depuis qu'on l'a arrêtée. Shinso, tu la connais ?
Le jeune homme serrait les poings.
- Ouais... On était dans la même classe en seconde C. Elle a quitté l'école après Kamino.
- VOUS AURIEZ DÛ FAIRE PAREIL ! JE SUIS LA SEULE À VRAIMENT TENIR À ELLE ! VOUS ESSAYEZ DE LA REMPLACER ! CE N'EST PAS SHUVI ! C'EST UN SOSIE ! UNE PÂLE COPIE !
Elle se tourna rageusement vers Shoto et continua de hurler.
- TU ES LE PIRE DE TOUS ! C'EST TOI QUI L'A TUÉE ! ET TU OSES LA REMPLACER !
Mikumo réalisa soudainement.
- Tu es la jeune fille avec qui Shuvi s'était perdue dans le métro...
La brune eu une rire hautain.
- Vous vous dites sa mère mais vous ne l'avez même pas pleurée. Vous avez même intégré cette école qui est la cause de sa mort ! Vous me débectez !
- Comment as-tu obtenu les mots de passe du système de sécurité ? Demanda la violette sans se laisser déstabiliser.
- Elle a la capacité de lire dans les pensées. répondit Shinso
La jeune femme se tourna soudainement et prit sa tête entre ses mains.
- Vos esprit... Comment...
Les pensées défilaient dans son cerveau. Le choc se lut sur son visage.
- Elle est... vivante... Mais...
- Ce n'est pas important pour l'instant ! Fit Momo
Elle tendit une enveloppe à Shoto.
- Elle est partie avec Eri un peu avant l'arrivée de cette femme. On a rien pu faire pour la retenir...
Le jeune homme saisit la lettre et la lut avant de se tourner vers la jeune femme, fou de rage.
- QU'EST-CE QUE TU LUI A FAIT !
La brune lui jetta un regard impavide.
- Je l'ai piquée avec une drogue développée ici et que j'ai volé en m'introduisant dans le lycée l'autre jour. C'est comme ça que j'ai récupéré les mots de passe du système de sécurité mais ce gamin à voulu m'arrêter. Quand je vous ai croisé à la gare. Tu lui avait mit des lunettes en aluminium, je ne pouvais pas lire son esprit... Il me restait une deuxième injection à faire pour terminer le travail... J'ai failli... J'ai failli tuer Shuvi...
Elle fixa ses mains avec horreur et le jeune homme la lâcha. Elle se laissa tomber sur le sol.
Il fit volte-face et sortit du bâtiment suivit de prêt par les autres, sauf Tenya qui se porta volontaire pour emmener la brune au poste.
- Si c'est un produit d'ici. On a forcément un antidote. Déclara-t-il.
Il n'y a pas une minute à perdre, son avion décolle dans une heure... pensa-t-il.
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OMEN {Terminé}
FanfictionLe 18 août 2061, Kyoto, Japon. La nuit était noire, le silence régnait, mais un grand fracas troubla le calme dans une maison traditionnelle au sud-ouest de Kyoto. Une petite fille de 4 ans tout juste, descendit les escaliers mais resta bloquée de...