Always (A Draco Malfoy Story) {Traduction française}

Tu veux parier ?

L'année s'est terminée avec Draco et moi, maintenant incertains de nos projets d'été.

Sachant que Voldemort est revenu, nous savions tous les deux que les choses allaient changer à la maison. Ma mère a échappée à Azkaban, ainsi que la tante de Draco, Bellatrix Lestrange, et d'autres mangemorts qui adoraient impitoyablement Voldemort et nos deux pères travaillant sans relâche pour lui.

J'ai entendu la nouvelle du parrain d'Harry. Cela ne valait pas grand-chose, mais je lui ai fait hibou au début de l'été, lui offrant mes condoléances. Il n'a vraiment personne maintenant ... Je me sens vraiment mal pour lui.

Mes cauchemars ont empiré. Depuis la vision de Voldemort au Manoir Malfoy, je fais le même rêve chaque nuit de Voldemort et moi debout devant cet étrange miroir. Je me réveille toujours dans la panique, criant à quelqu'un pour m'aider. Merci Salazar pour Draco.

Il m'a réconforté pendant les nuits.

Nous avons séjourné dans la propriété de ma famille. Quand j'ai dit à Draco que ma vision montrait Voldemort au Manoir, il n'a pas tardé à demander à Narcissa s'il pouvait passer l'été avec moi, ce qu'elle a volontiers permis. Mon père est toujours parti, et je n'ai aucune idée de l'endroit où est maman. Donc c'est juste Draco, les elfes et moi.

«Binky? Je l'ai appelé.

«Oui, Miss Joy? Binky a transplané dans ma chambre.

«Pourriez-vous nous préparer un petit-déjeuner? Il hoche la tête, "Tout de suite, Miss Joy!" Binky quitta ma chambre et ferma doucement la porte derrière lui.

Draco se tourne immédiatement vers moi, "C'est comme ça qu'il parle?" J'ai soupiré, "Oui. Surpris?" Draco était confus, "Je pensais qu'ils avaient tous un problème d'élocution." J'ai commencé à faire mon lit. "Tu vois, quand yu traite quelqu'un avec gentillesse, il n'agit pas par peur." Il se moque: "Parfois, ils apprennent avec une main rapide contre-" Je lui ai coupé la parole avant qu'il ne puisse finir sa phrase. «Si tu penses même à abuser de Binky, je te jetterai un sort si fort que tu vomiras des limaces pour le reste de ta vie.

Dès que le lit fut fait, je m'assis sur le bord pendant que Draco fouinait dans ma chambre. Il demande: "Alors, que veux-tu faire aujourd'hui?" J'ai haussé les épaules et j'ai regardé par la fenêtre. Le temps était beau aujourd'hui, pas trop chaud et une belle brise fraîche bruissait contre les arbres. "Nous pouvons voler dans le jardin. Nous avons un terrain de Quidditch si tu veut jouer un match."

Draco se retourne et me regarde, "Un terrain de Quidditch? Tu ne joue pas au Quidditch." J'ai ri: "Je n'ai jamais dit que je ne l'avais pas fait." Il croisa les bras, "Tu as dit à mon père que tu faisais de la gymnastique." "Oui, quand j'étais à Beauxbâtons." Je me suis levé et j'ai commencé à marcher vers lui, "Avant cela, j'ai pris goût au Quidditch." Il haussa un sourcil d'intérêt alors que je lui prenais la main et que je le conduisais dans la cour.

"Tu veux faire un pari, alors?" Draco me crie alors que j'attrape nos balais et le souafle. Il a poursuivi: "Si je gagne, tu dois faire tout ce que je te dis pour le reste de la journée." Je lui ai tendu son balai, "Et si je gagne, tu dois faire de même." Il rit, "Premier à 50 victoires."

Nous étions tous les deux essouffler à la fin du match.

"Je suppose que c'est le jeu," sourit Draco d'un air suffisant. Je me moque, "Tu as triché." "Nous n'avons établi aucune règle à ce sujet." Il jette le Souaffle et le rattrape dans sa main, puis le glisse sous son bras pendant que nous dirigions tous les deux nos balais vers le sol en contrebas. Il m'a joyeusement rappelé: "Tu dois faire tout ce que je te dis pour le reste de la journée." Je roule des yeux, "Ouais ouais, peu importe."

La voix de Binky résonna sur le terrain de Quidditch, "Miss Joy! Le petit déjeuner est prêt!"

J'ai jeté nos balais sur le côté alors que nous regagnions tous les deux la maison.

-

"Nourris moi."

Je me renfrognai, "Sérieusement?" Il sourit, "Tu as perdu le pari." Je gémis alors que je ramassais des œufs et les portais à la bouche de Draco. Il ouvrit joyeusement la bouche alors que je poussais la fourchette dans sa bouche, le faisant un peu bâillonner. Il fronça les sourcils alors que je disais innocemment, "Oups, désolé." Je bat mes cils et lui fait un doux sourire.

Il a continué à m'ordonner de le nourrir jusqu'à ce qu'il n'ait plus faim. J'ai à peine eu le chance de manger encore, alors une fois qu'il était plein, j'ai commencé à écorcher ma nourriture.

C'était bizarre alors qu'il m'observait en train de manger, alors qu'il était juste assis là ... comme s'il admirait la vue. Je le regardai, les sourcils haussés, "Pourquoi me regardes-tu?" J'ai pris une gorgée d'eau pour tout laver. Draco tendit la main vers la table et prit un peu de crème fouettée, des gaufres qu'aucun de nous ne mangeait, sur son index. Alors que je le regardais toujours, il a amené son doigt devant moi et a demandé: "Lèche-le."

Je me suis penché et j'ai tout pris dans ma bouche. Sans rompre le contact visuel avec lui, j'ai tourné ma langue tout autour de son doigt, léchant chaque morceau de crème fouettée.

J'ai commencé à sucer lentement son doigt, me penchant de plus en plus et ouvrant légèrement mes lèvres plus large pour lécher même un peu de sa paume. La quantité de peau que je pouvais garder dans ma bouche sans un seul bâillon fit trembler légèrement la lèvre inférieure de Draco, alors qu'un faible gémissement s'échappait de sa langue.

Draco prend une de ses mains et serre mes deux joues, par ma mâchoire, et rapproche mon visage du sien. Ses yeux se fixèrent sur ma bouche, qui était encore légèrement entrouverte. Nos lèvres se frôlaient à peine, alors qu'il me chuchotait, son souffle chaud me faisant frissonner le long de ma colonne vertébrale. "Fais attention, mon amour. Tu ne veux pas commencer quelque chose et rester insatisfaite."

Je le regarde à travers mes cils, "Parle pour toi." Il lâche mon visage et commence à s'asseoir gentiment sur sa chaise. Je souris car c'était maintenant à mon tour de me pencher plus près de lui.

Je place délibérément mes deux mains sur le haut de ses cuisses pour me soutenir tout en me penchant vers lui. J'ai commencé à le masser dans la zone, ses yeux se sont rapidement posés sur mes mains puis sur moi.

Je me suis mordu la lèvre inférieure de manière séduisante, tout en lui murmurant à l'oreille: «Satisfais-moi alors.

Je me mis à grignoter doucement le lobe de son oreille, ce qui le fit gémir bas et lentement. J'ai senti ses muscles se crispaient et je continue à masser ses cuisses.

Immédiatement, il a saisi un de mes bras, s'est levé et m'a traîné dans les escaliers, directement dans ma chambre.