Always (A Draco Malfoy Story) {Traduction française}

Enseigner une leçon

« Attends- » Je fais signe à Blaise d'arrêter de parler, « Putain qu'est-ce que tu viens de dire ?!

"Pansy et Jake disent aux gens que tu restes à la maison parce que tu es enceinte." Blaise se répète.

Le putain de culot de ces deux cafards arrogants et trop confiants.

Ma rage intense s'est rapidement transformée en un comportement calme. Je reste silencieuse un moment avant de commencer à sourire diaboliquement, « Blaise, rends service à une amie et dis-leurs qu'on a besoin d'eux dans le bureau de Rogue dans disons… 10 minutes ?

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Voldemort était assis sur une chaise ressemblant à un trône dans une pièce vide, regardant à nouveau par la fenêtre, avec Nagini à ses côtés.

Il lui parla en fourchelang :

« Notre temps est presque arrivé, Nagini. Bientôt, le monde s'effondrera dans la peur de mon nom… et je serai connu comme le plus grand sorcier qui ait jamais vécu. Voldemort regarde le serpent, dont la tête se redresse et hoche la tête, comprenant chaque mot qui a été dit.

« Maître, qu'en est-il de Joy ? » Mentionne le serpent.

"Joy sait mieux."

« Et Harry Potter n'est pas une menace pour nous, » alors qu'il fixait la manche de sa robe, « Joy sera celle qui m'aidera à la fin.

Blaise se dirigea vers les cachots, à la recherche des deux qui avaient lancé la rumeur à mon sujet. Il les trouva en train de se détendre dans la salle commune, avec Pansy assise sur les genoux de Jake.

"Parkinson. Lawrence." Blaise appelle. Ils l'admirent tous les deux.

"Rogue vous cherchent." Il désigne la porte par laquelle il vient de passer.

« Maman adolescente ou meurtrière ? » Pansy éclate de rire, tout en passant son doigt dans les cheveux de Jake.

"Tu réalises que Draco et Rosie sont une chose maintenant ? Imagine ce qu'il fera quand il découvrira que tu répands des mensonges à son sujet quand il n'est pas là," prévient-il Pansy, qui la rend nauséeuse à l'idée que Draco soit en colère contre elle. « Le bureau du directeur... semble important. Il passe devant les deux, "Peut-être que tu devrais réfléchir parfois avant de parler... cela t'évitera des ennuis."

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J'ai attendu patiemment au bureau de Rogue, assise sur sa chaise, penchée en arrière avec mes pieds croisés, reposant contre le haut de son bureau.

Quelque chose tombe au sol attirant mon attention : quelque chose à mon sujet griffonné... de la main de Dumbledore.

Je n'ai pas eu l'occasion de le lire, quand j'ai été interrompue par le son de quelqu'un frappant à la porte. Je jette le papier sur son bureau et me rassois sur ma chaise.

J'ai toujours voulu remettre les pendules à l'heure avec ces deux-là. Ils ne manquent jamais d'apprendre leurs leçons la première fois.

Je tiens à remercier les dieux sorciers de m'avoir permis cette opportunité.

J'ai tourné ma chaise pour me cacher alors qu'ils approchaient du bureau.

"Vous avez demandé à nous voir ?" Lawrence dit le premier.

Je pouvais entendre la voix impertinente de Pansy, "S'il s'agit de votre fille, je vous suggère de mieux l'informer des sorts contraceptifs dont Madame Pomfresh a informé toutes les filles."

J'ai tourné la chaise et j'ai apprécié l'horreur sur leurs visages lorsqu'ils ont réalisé qu'ils parlaient à Joy, pas à Rosie.

Je pouvais voir leurs âmes quitter leurs corps.

"S'il vous plaît," dis-je gentiment, "Asseyez-vous."

Je me dirige vers les deux chaises devant moi, leurs corps tirés avec force dans cette direction par la magie du bout de mes doigts.

Leurs yeux ne quittaient jamais le sol alors que je me levais de la chaise et me dirigeais vers eux, appuyée contre le bureau.

« Je suis sûre que vous êtes confus en ce moment… » Je commence à jouer avec ma baguette, "Pourquoi Joy demande-t-elle à nous parler ? Que fait-elle dans le bureau du directeur ?"

Ils sont restés silencieux. Je pouvais entendre leurs cœurs s'emballer, me faisant rire.

Je me redresse et me penche vers eux et murmure lentement : "La rumeur dit que vous ayez décidé de vous en prendre à Rosie." Je pouvais les voir se jeter des yeux l'un sur l'autre, refusant toujours de me regarder.

"Est-ce exact?"

J'attends une réponse, mais je ne reçois rien.

"Répondez-moi quand je vous parle !" J'aboie, les murs du bureau tremblent légèrement.

Ils sursautèrent tous les deux à la vibration de ma voix rebondissante sur les murs. "Nous-nous n'avons rien fait." Pansy gémit. Lawrence hoche la tête, d'accord avec elle.

"Tu choisis de me mentir ?" Je me moque en utilisant ma baguette pour soulever son visage pour me regarder.

Mes yeux sont devenus sombres en fixant son âme, sa bouche s'est affaissée, mes pupilles se dilatent et prennent la couleur de tout mon globe oculaire.

Je secoue la tête, "Je pensais honnêtement que tu étais plus intelligente que ça, Parkinson."

Je regarde Lawrence, "Et toi, Lawrence ?" Je rigole, "En fait, tu as été oublié pendant un moment... puis tu as décidé de te rendre pertinent pour une raison quelconque. Tu étais mieux quand personne ne se souvenait de toi."

"Rosie m'a dit ce que vous disiez à son sujet… Elle et moi sommes assez proches." Je souris en sautant sur le bureau de Rogue, croisant les jambes.

"Debout."

Leurs corps sursautèrent pour qu'ils se tiennent debout.

"Agenouillez vous !." Je montre le sol alors qu'ils tombent à genoux.

Je chuchote : "Endoloris"

Immédiatement, vous pouviez voir la vie aspirée hors de leur corps. Leurs cris atroces à l'aide étaient tout ce que vous pouviez entendre, masquant le bruit de leurs os qui craquaient à l'intérieur d'eux.

J'ai regardé les deux souffrir, tripoter les manches de mon pull pendant qu'ils mendiaient devant moi, appuyé contre le bureau.

Des larmes ont commencé à couler sur leurs joues une fois qu'ils ont atteint le paroxysme de leur douleur. "S'il te plaît! Nous sommes désolés!" Ils supplièrent tous les deux.

"Êtes-vous vraiment désolé ? Ou seulement parce que vous vous êtes fait prendre ?" Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais j'ai senti ma colère s'intensifier deux fois plus.

J'ai levé ma main, les faisant suffoquer tous les deux alors que je leur empêchais de respirer plus d'air. "Je veux que vous vous en souveniez tous les deux la prochaine fois que vous déciderez de jouer avec Rosie. Capiche ?"

Leurs corps flottaient à environ 30 cm du sol, alors qu'ils tentaient désespérément de se saisir la gorge.

J'ai ramolli ma main, les faisant tomber au sol, une fois que j'ai vu à quel point ils étaient roses tous les deux se détournant du manque d'air dans leurs poumons.

"J'ai dit..." Je me suis accroupi vers eux deux, "Capiche?" Ils hochèrent tous les deux la tête avec frénésie.

Je me lève et époussette mes vêtements et me coiffe avant de leur dire à tous les deux, "Dites à n'importe qui ce qui se passe ici et-" Je commence à rire, "-Eh bien, vous savez tous les deux ce qui va se passer, non?"

Je lève un sourcil et souris, "Le vieux Voldy aurait été fier.'