Anime X Reader { Tome I }

Kōtarō Bokuto x reader

Tu venais de sortir de tous tes examens et tu attendais gentiment qu'on t'annonce les mauvaises nouvelles. Quelques minutes après une infirmière s'approchent de toi et à sa tête, tu sais déjà que les choses ne se sont pas amélioré. Tu pars les larmes aux yeux dans ta " chambre ". Tu sors ton ordinateur et tu appelles ton meilleur ami pour lui annoncer les nouvelles et pour qu'il te rassure comme il le faisait avant. Tu attends mais aucune réponse, tu ressayes mais toujours rien. Tu éteignis ton ordinateur et tu t'allonges dans ton lit, des larmes coulent à flots sur ton visage mais tu es incapable de les retenir. Une auxiliaire de puériculture passe dans ta " chambre ", elle allait frapper mais elle entre dès quel entendent tes sanglots. Celle-ci s'assoit sur ton lit et elle caresse tes cheveux. Tu lèves la tête et tu la sers dans tes bras. Elle pose son menton sur ta tête et elle te dit. 

" Je viens de voir tes résultats... Je suis là ! On va se battre toutes les deux. "

Tu la sers encore un peu plus puis tu lui fais un petit signe de la tête. Vous parlez encore un peu puis le sujet de Bokuto vient sur la table, elle te demande si tu lui as annoncé la nouvelle et tu lui réponds.

 " Non, il ne m'a même pas répondu... Je crois qu'il a un rendez-vous avec une autre fille. " 

Tu dis ça d'une voix assez faible, tu sens tes yeux te piquaient mais tu te retiens. Tu devrais être heureuse pour lui et ne pas être tristesse pourtant dans ton coeur tu avais comme une gêne. Tu remercies Sanaé d'être passé. Tu regardes le plafond comme ci c'était la plus belle chose au monde, tu prends une grande inspiration puis tu appelles tes parents pour leur annoncer que ton coeur à encore ralentit. Tu tombes sur la messagerie ce qui ne t'étonne pas, tu leur laisse un message, puis tu ressors ton ordinateur au même moment tu vois un appel de Bokuto. Tu souris et tu réponds tout de suite. Quand tu vois son sourire, le tien se fait encore plus grand qu'il ne les déjà. Vous vous observez en silence, puis Bokuto est le premier à parler. 

" Je suis si heureux de te voir ça fait bientôt 1 mois qu'on ne s'était pas parlé. " 

Tu fais un petit signe de la tête puis tu le laisses continuer. Il te raconte ce qui se passe dans son club puis dans son lycée et d'un coup un silence étrange se fait entendre. Tu fixes un point dernier Bokuto, alors que lui il regarde ses mains. Il pousse un long soupir et il te lâche d'un seul coup la bombe.

 " Je suis en couple, ce qui signifie qu'on pourra plus se parler autant. " 

Tu ne dis rien, tu lui fais juste un faible sourire et un signe de la tête puis vous raccrochez. Aucune larme ne coule sur tes joues mais tu avais une douleur affreuse à la poitrine, tu avais du mal à respirer. Tu commençais à voir trouble, tu attrapes la sonnette et tu appuies dessus en continue pour que quelqu'un vienne le plus vite possible. Tu tombes lourdement sur ton lit et tu entends la voix inquiète de Sanae. Elle court vers toi puis tout devient noir autour de toi.

[ Quelques heures plus tard ] 

Tu rouvres les yeux, et un mal de tête se fait sentir. Tu essayes de te mettre assises mais ta tête commence à tourner. Au même moment Sanae entre, elle vient vers toi et elle te demande comment tu vas et c'est seulement à ce moment-là que tu remarques que tu portes un masque pour respirer. Sanaé te l'enlève et tu essayes de prendre une respiration calme et posée mais c'est plutôt une respiration bruyante alors Sanae te remet le masque. Elle reste un peu avec toi, elle te dit ce qui s'est passé et qu'ils attendent les résultats des tests qu'ils viennent de te faire. Tu lui souris puis tu te tournes vers la fenêtre. Tu es réveillé par des cris dans le couloir. Tu tends l'oreille quand tu reconnais la voix de Sanaé. 

" Comment ça ? Vous voulez là laisser mourir ? Elle n'a que 18 ans, il lui reste tellement de chose à vivre... Vous ne pouvez pas faire passer quelqu'un d'autre devant elle pour la greffe surtout après avoir remarqué que son coeur avait encore diminué en moins de 24H.... " 

Tu sens une boule se former dans ta poitrine, tu savais qu'il parle de toi-même s'ils n'ont pas prononcé ton prénom. Tu t'engouffres sous ta couette et tu fermes les yeux pour essayer de te remémorer des souvenirs joyeux. Tu entends la porte de ton box s'ouvrir, tu sors un peu la tête de sous la couette pour voir qui sait, tu fais un faible sourire à Sanaé. Elles font en larmes devant toi, tu te lèves et tu l'as pris dans tes bras et tu pleures avec elle. Elle s'excuse une bonne centaine de fois puis elle finit par t'annoncer ce que tu avais entendu dans le couloir. Tu lui souris et tu lui dis que c'est comme ça. Elle allait partir mais tu l'as retenu et tu lui dis. 

" Tu pourrais faire quelques choses pour moi s'il te plaît . "

Elle te fait oui de la tête puis tu lui donnes trois lettres et tu lui donnes les consignes. Elle te promet de lire la sienne que quand tu seras sortir de l'hôpital ou que tu auras rejoint le paradis. 

[ Trois jours plus tard ]

 Sanaé te tenait la main, elle pleuré mais toi tu sourires. Tu lui serres la main et tu l'as remercié pour tout ce qu'elle a fait pour toi. Elle t'embrasse le front et puis tu t'envoles pour l'au-delà. 

Point de vue Bokuto : 

J'étais en train de revenir de mon rencard avec ma copine, quand je vois le regard triste de ma mère. Elle lève la tête quand elle me voit, elle fait un faible sourire puis elle me tend une lettre venant de l'hôpital où ( T/P) est hospitalisé. Je la prends d'une main tremblante et je monte dans ma chambre. Je m'assois sur mon lit et je parcours du regard la lettre.

Cher Bokuto,

 Je viens d'apprendre que mon coeur ralenti plus vite que prévu et on m'ont faits passer après quelqu'un d'autre pour une greffe. Je vais mourir, c'est pour bientôt j'en sur sûr mais avant que je ne parte pour l'autre monde je voulais que tu saches que je t'aime. Je suis amoureuse de toi mais à quoi bon te le dire. Je vais mourir et tu aurais été triste, et je ne voulais pas que tu sois triste à cause de moi. Maintenant quand tu regarderas les étoiles tu verras peut-être la mienne scintiller. Prend soins de toi et de ta maman. Remercie là pour moi, dis-lui que je l'aime comme ci c'était ma maman. Et dis-lui que je lui demande pardon de lui faire tant de peine. Si tu as des questions ou si tu veux parler avec quelqu'un qui me connais et qui pourras te dire tout ce que tu veux savoir va à l'hôpital et demande d'avoir l'adresse de Sanaé. Dit leur que tu viens de ma part.

Des larmes coulent à flots sur mon visage, je pose ma tête dans un oreiller et je me mets à hurler toute ma peine ma mère monte les marches quatre à quatre et elle vient me prendre dans ses bras. Je la sers de toutes mes forces et on pleure ensemble. Je n'arrête pas de répéter que je l'aime et qu'elle ne peut pas partir comme ça, qu'elle n'a pas le droit de m'abandonner, qu'elle n'a pas le droit de baisser les bras alors que moi je croyais en elle.  

Fin du point de vue. 

Point de vue Sanaé : 

Elle venait de partir, les larmes coulent en nombre sur mes joues mais je n'avas aucune envie de les retenir. Je lui embrasse le front puis rentre chez moi. Je sors la lettre qu'elle m'avait donnée il y a trois jours. J'hésite un long moment avant de l'ouvrir, je vois que dans l'enveloppe il n'y a pas qu'une lettre mais aussi un bracelet. Je souris et je le mets.

Cher Sanaé, Cher maman deux, 

Je sais que tu vas pleurer mais j'aimerais quand même que tu évites parce que sinon de là hauts je serais triste. Je te remercie d'avoir partagé tous ses mois avec moi, a m'encourager, à me remotiver quand je baisser les bras. Je t'aime fort et sens toi je n'aurais pas tenu aussi longtemps. Tu es d'une gentillesse hors du commun et tu as le coeur sur la main alors n'oublies jamais que tu as le pouvoir de redonner de l'espoir aux personnes qui n'en ont plus du tout. J'espère que mon petit cadeau t'a fait plaisir. Je me rappelle de notre rencontre comme ci c'était hier. Prend soins de toi et de toutes ses pauvres âmes en peine. Tu auras sans doute la visite de Bokuto. J'espère que vous pourrez vous aider à aller mieux. 

Je venais de finir de lire sa lettre quand j'entends quelqu'un frapper à ma porte. Je me lèves et par ouvrir. Je tombes sur un garçon assez jeunes, les larmes aux yeux puis il se présente. Je le fais entré et nous passons la soirée à parler de ( T/P ) et de tout nos bons souvenir avec elle. On avait mangé beaucoup de chocolat et on avait aussi beaucoup pleuré.  

Fin du point de vue. 

Tu souris en les voyant ainsi, tu savais que c'est deux là aller s'apporter la force et le courage nécessaire pour avancer. Tu souris malgré les larmes qui coulent sur ton doux visage.