N'y a-t-il pas un jour où les planètes s'alignent ? Un jour où tout devient fluide. Un jour où tout devient simple. Un jour où l'amour remplace la guerre. Juste un jour où le calme remplace le chaos ? Un jour où la vie vit.
Notre histoire n'aurait...
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Aimé par k.mbappe, emiedvl et 27 autres personnes
emmacrlr Bref 🤦♀️@enzodvs @jumorin Voir les enzodvs Pourquoi t'affiches comme ça ?? 😤 jumorin 😎😎 victoirecst Y en à qu'un de potable 😏😌
-J'ai pas envie que tu partes, soufflé-je en me collant à Kylian dans notre lit.
-On se voit bientôt à Paris, tente t'il pour me faire patienter, ma tête sur son torse, nos jambes mélangées et ses bras autour de moi.
-Tu remontes quand ? Lui demandé-je en relevant la tête vers lui.
-Je sais pas encore, m'avoue t'il. Tu rentres le vingt deux toi non ? Me demande t'il en me regardant alors que je hoche la tête pour lui confirmer. Ça devrait être dans la semaine qui suis sûrement. Parce que je signe le trente et un, m'explique t'il.
-Tu veux pas venir le vingt trois direct ? Lui demandé-je légèrement suppliante.
-Tu peux pas te passer de moi hein, pouffe t'il de rire. Je vais jamais te voir en plus parce que tu vas faire tes entraînements de boxe...
-T'inquiète je m'arrangerais, lui assuré-je en me redressant sur mon coude pour mieux le voir.
-Ok alors, m'accorde t'il en rigolant après quelques secondes.
-Sérieux ?! Lui demandé-je en m'exclamant allés qu'a son tour il hoche la tête pour me répondre.
-Ouais. Mais par contre j'aurais pas la maison encore.
-On s'en fout ça. Tu restes chez moi c'est pas un problème ! Lui dis-je déjà trop contente qu'il vienne le lendemain de mon arrivée.
-Tu viendras avec moi pour la voir ? Me demande t'il ensuite alors que je suis maintenant assise devant lui.
-Si tu veux, déclaré-je avec un grand sourire. C'est quand ?
-Le vendredi qui suit. Mais mon père reçoit les photos avant. Le vendredi ça sera juste pour valider si ça me va ou pas, m'explique t'il.
-Et tu veux que je sois là ? Lui demandé-je légèrement surprise.
-Bah oui, me confirme t'il tout de suite. Tu vas bien venir chez moi, me fait-il remarquer.
-Si tu m'acceptes, rigolé-je.
-N'importe quoi, pouffe t'il. Bien sûr que je t'accepte, déclare t'il en attrapant ma main dans la sienne. Il est trop vide mon lit sans toi, ajoute t'il en tirant légèrement ma main pour m'approcher de lui, mais je résiste en entendant la fin de sa phrase.
