Chapitre 38

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Je ne pouvais pas gérer Diego Marquez, et Steph. Je soupirais essayant de choisir quel élément j'allais décider de régler. Mais Diego était devant moi, et il était plus important que l'autre nana.

Diego semblait presser de me parler. Étant donné que Scarlett n'était pas ma priorité, ce serait donc le bon moment, pour pouvoir attaquer et séquestrer l'homme devant moi. Le problème était que j'étais seul, alors je devais faire attention. J'appuyais sur mon bracelet électronique, indiquant à mes amis ma position en cas de danger.

Des hurlements se faisaient entendre dans mon oreillette. Scarlett était morte ? Non, elle ne pouvait pas l'être. Steph ne savait pas tirer. Elle avait du raté. J'essayais de me relativiser, mais j'étais effrayé à l'idée de la voir morte. J'aurais plutôt aimé qu'elle creve grâce à mes balles, et non par celles de Steph, qui avait des montés d'adrénalines.

- Salut Prero Mils, s'exclamait Diego théâtralement.
- C'est Connor Mils pour toi.
- T'en es sûr, disait-il un sourire narquois suivit d'un regard faussement triste.
- Tu veux quoi, faisais-je d'un calme surprenant, ce qui était tout le contraire de mes émotions.
- Je veux qu'on travaille ensemble, entre copains.

Nous étions au centre du couloir. J'étais immobile, alors que lui s'amusé à tourner autour de moi. J'observais sa tenue qui était ridicule. En vérité elle aurait été plus belle sur quelqu'un d'autre.

Il portait un costume rouge, trois boutons de sa chemise étaient ouverts. Laissant apparaître le début de ses nombreux tatouages, et ses discrets muscles. Ses cheveux blancs comme la neige, légèrement long, étaient rassemblés dans une queue de cheval mi-basse. Ce mec était légèrement plus petit, et plus épais.

- Pas moi.
- Et pourquoi donc ? Enfin,... suit moi et allons discuter dans un endroit plus sûr.

Je ne disais rien, et le suivais simplement. Heureusement la puce dans mon bracelet traçait mon chemin. Je savais que dans peu de temps, mon équipe aller arriver.

Nous montions des escaliers en marbre. Et c'était notre seul point commun. En même temps cette pierre était incroyablement sublime.

Nous arrivions au deuxième étage, où Diego m'informait que cet endroit était réservé pour peu de personnes, alors nous ne serions pas dérangés. Enfin ça, c'était d'après lui, j'avais hâte de voir mes potes nous interrompre, et voir la réaction de ce type. Mais je savais que j'allais craquer, donc j'allais sûrement lui foutre des léger coups.

- On est bientôt arrivé, s'exclamait-il joyeusement.

Je roulais des yeux, dépité. J'avais hâte d'en finir avec lui. Finalement, c'était plus facile que je ne le pensais. Ce mec s'était rendu à nous, innocent. Sans le vouloir, il tombait dans notre piège.

Diego et moi parcourions encore de longs couloirs. J'avais l'impression d'être dans une baraque presidencial, car les murs étaient fait de moulures dorés, c'était vachement beau. Ce mec utilisait son frique dans de la merde. Même si en réalité, ça baraque était jolie, je trouvais ça ridicule de faire tout son château en or. C'était peut-être ma jalousie qui parlait. Mais moi, jamais je ne fairais ça.

Diego se dirigeait vers une grande porte. Il la déverrouillait, laissant le bruit du bois grincé. Puis il la tenait, en me faisant un signe de tête, pour me demandant de rentrer. Ce que je faisais sans broncher. Je découvrais une pièce assez grande, mais plus petite que ma salle de bain.

Un vieux bureau en bois était au centre de la salle, des chaises étaient parfaitement installées de chaques côté. Des classeurs étaient rependus dans une bibliothèque, qui elle parcourait le mur arrière. Il y avait aussi un coin salon, où des fauteuils et des poufs étaient installés. C'était resemblable à mon bureau, mais aussi complètement différent. Comparer à moi, Diego Marquez était organisé.

Love hard Où les histoires vivent. Découvrez maintenant