Chapitre 6

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BONNE LECTURE

PDV PP

Je suis arrivée à la maison assez fière de moi de ne pas m'être perdue. J'ai envoyé un message à Léane pour ne pas qu'elle s'inquiète et envoie tout le FBI à ma recherche.

Je me suis endormie dans mon nouveau lit mais cela n'a pourtant pas empêché les cauchemars de revenir.

Je me réveille le lendemain, on est vendredi et je compte bien me bouger le cul et chercher un travail. Je prends une douche rapide et essaye de m'habiller assez correctement pour au moins faire bonne figure devant les personnes, surtout qu'on est dans la capitale de la mode.

Je souris de nostalgie en me regardant dans le miroir, une grande moitié de ma tenue appartenait à ma mère et je suis très fière de les porter

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Je souris de nostalgie en me regardant dans le miroir, une grande moitié de ma tenue appartenait à ma mère et je suis très fière de les porter.

Je vais ensuite regarder dans les placards ce que je pourrais manger et décide de me faire un cappuccino ainsi que manger quelques gâteaux.

Après mon petit déjeuner je me maquille très légèrement d'un mascara et d'un rouge à lèvres nude.

Je décide de quand même avant de défaire mes petits cartons, ainsi qu'un très gros. Dans Le premier carton j'ai mis tous les petits trucs comme des bijoux, une boite avec des souvenirs ainsi qu'une autre avec toutes les lettres de Hayes ainsi que quelques habits . Je range tout cela sur des étagères du salon ainsi que tous les livres du grand carton que je mets sur la grande étagère près du balcon.

Je n'ai pas ramené grand chose car le peu de choses que je possède suffisent à me rendre heureuse.

Enfin fini, je regarde mon téléphone pour être sûre que blondie ne m'a rien envoyé et sors de l'appartement pour découvrir moi même la ville sans oublier mon CV écrit en anglais.

Je comprends bien vite que mon quartier fait partie de la catégorie riche, le premier arrondissement.

Je regarde un peu tout autour de moi sans empêcher de sourire comme une conne, même le froid ne peut pas m'enlever ce sentiment que je ressens au fond de moi.

Je m'approche d'une boulangerie et lutte de toutes mes forces pour ne pas acheter un croissant, j'ai toujours rêvé d'en goûter un, j'ai fini par céder.

J'ai cherché toute la matinée un travail mais les gens ne semblent pas disposés à m'aider, la seule justification

Vous n'avez que le bac, vous devriez faire des études supérieurs pour avoir un très bon travail à la place.

Mais ce qu'ils ne comprennent pas c'est que j'ai besoin d'argent, j'en ai besoin, puis en soit il faut de l'argent pour s'inscrire à la fac. Mais bien sur dans les quartiers de riches ils ne le comprennent pas.

Je souffle après mon centième non de la matinée et prends mon téléphone qui sonne depuis plusieurs secondes et décroche.

- Oui ?

Under PressureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant