Tome 2: Chapitre 7

933 41 2
                                    

Sofi de la Torre: Flex your way out

BONNE LECTURE
PDV Layena

- Léane, tu lui as dis que tu voulais rompre ?! m'exclamais-je

- Je ... ce n'était pas ce que je voulais dire, j'étais furieuse, triste et déçue qu'il réagisse comme ça même si sincèrement je m'y attendais.

- Tout va bien se passer, laisse -le réfléchir sur tout ça,vous allez très vite vous réconcilier, vous vous aimez ce n'est qu'une question de temps.

- Comme Ken et toi ? Lya, tu es la mieux placée pour comprendre que ça ne marche pas comme ça, parfois l'amour ne suffit pas.

- Oui je sais dis-je en baissant les yeux, un an est passé et c'est très égoïste de ma part de vouloir que Ken fasse un bond en arrière juste pour moi, il a eu une vie cette dernière année et je ne peux pas lui dire de tout lâcher pour moi.

- Ces mecs nous rendent vraiment folles mais sache Lya que si j'ai réussis à te pardonner il le fera aussi, vous êtes fait l'un pour l'autre et sache aussi, que cette dernière année, pour lui était une torture.

- Je sais, que vas-tu faire maintenant ?

- Je vais rentrer à Paris, faut que je m'occupe de vos documents d'identité pour que vous puissez repartir.

- Je ne sais pas si rester avec eux soit une bonne idée.

- Lya, ils t'ont pardonné, ils ont compris et je sais aussi que tu as besoin de ma protection, je vais prendre des gardes du corps tu pourras te réinstaller dans mon appartement et tu as encore de l'argent sur ton compte en France,

- J'ai pas besoin de garde de corps dis-je en roulant des yeux en me levant suivit par elle

- Ce n'est pas discutable, ils seront discrets tu ne te rendras même pas compte de leur présence

- Ça m'étonnerait dis-je en affichant un sourire faux

- Tu pourrais juste me remercier et on en reparlera dans quelque temps

Je roule une nouvelle fois des yeux et l'aide à faire sa valise, pendant ce temps-la j'essayais de lui faire oublier ce qu'elle avait vécu ces derniers temps, elle me racontait toutes les choses qu'elle avait accomplit dans son association, elle était très fière de ce qu'elle avait accomplis et moi aussi.

- Ça te dit, de travailler dans l'association ? me demande t-elle d'un coup

- Je... je ne sais pas

- Tu feras exactement ce que tu faisais au studio des gars, tu t'occuperas des rendez -vous, agendas, factures et toutes ces choses, un boulot stable jusqu'à ce que ta situation ne revienne à la normale et que tu trouves une chose que tu aimes réellement faire, Eliane pourra aussi travailler avec nous, j'ai besoin d'une personne dans notre bâtiment d'enfants orphelins.

- Je lui en parlerai mais c'est très gentil de ta part merci, ça nous permettra d'avoir de l'argent, je crois que j'avais deux mil et quelques avant que je ne partes dans mon compte francais

- C'est déjà un bon recommencement,

- Je ... je crois que... enfin je me demandais si on ne pouvait pas venir avec toi à Paris ?

Under PressureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant