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- Qu'es qu'il voulait ?
Me demande Mel lorsque je fais irruption dans la chambre.

Elle est allongée sur le ventre en sous vêtements, ses cheveux rassemblés en une haute queue de cheval. Ses sous-vêtements sont en dentelles bleu électrique , ses petites fesses bombées sont bien mises en valeur grâce à son string extrêmement sexy.

J'inspire un grand coup , puis expire.
Je la couvre et elle ne peut s'empêcher d'échapper un ricanement.

Elle se découvre et me lançant un sourire charmeur , j'essaie de l'ignorer et vais prendre une douche. Lorsque je reviens elle est toujours dans la même position , scotchée sur son téléphone.

- A parles-tu ?
Lui demandais-je.

- À mon frère.

-Mais il est dans le salon !
Lui informais-je en enfilant un boxer en guise de pyjama.

N'entendant pas sa réponse je lève la tête et la vois me reluquer de la tête au pieds , ses yeux s'arrête sur la bosse dans mon sous-vêtement puis continue sur mes abdos et se stoppe sur mes lèvres.

J'ignore son regards flamboyant d'envie et vais me coucher , elle se glisse à présent à mes côtés comme je m'en aurais douter.
Elle emballe ses jambes entour de la mienne , nos pieds se touchent et son sexe est collée à ma jambe. Je sens qu'elle mouille , j'émet un grognement n'y tenant plus.
Je la repousse de l'autre côté du lit.

Elle me jette un regards vexé.
La nuit est tombée à présent, tout le petit monde est enfermé dans une pièce. J'ai envie de me transformer et aller courir des heures dans la forêt , envie que Alaric partage aussi.
Mon âme soeur , quant à elle , à ses veines noires et ses yeux sont mi marrons mi bleus.
Je la trouve encore plus incroyablement sexy.
Je sens son désir monter encore plus , alors pour essayer de calmer ses pulsions je lui confie ;

- Écoute Mélanie, commençais-je , la dernière fois que j'ai.. enfin.. la dernière fois que j'ai..fais..

Je perçois son envie disparaître un peu et je me rends compte que j'ai fais une erreur de commencer cette phrase percevant le pincement au coeur qu'elle vient d'avoir.

- Que tu as fais l'amour avec une fille lors de la pleine lune , c'est ça ?
Termine-t-elle froidement.

Sa tristesse fue remplacée par de la colère et de l'agressivité.

merde.

- Je..

- Laisse tomber.
Fait-elle en prenant une couverture et en s'apprêtant à sortir de la chambre.

Je la retiens par le poignet , sans pour autant bouger du lit et la balance à califourchon au dessus de moi.
C'est l'une des meilleure chose chez moi lors de la pleine lune , ma force est multiplier fois dix.

- J'men fous de ce que t'as fais y a quelques années avec une autre fille lors de la pleine lune , moi je veux de toi maintenant.

Je me passe une main sur le visage.

- Mais putain de merde Mélanie, ça va être violent !

- Ça va pas être violent, ça va être sauvage. Et crois-moi , je n'attends que ça.
Me chuchote-t-elle près de l'oreille.

Mon corps entier est prit de frissons , mes veines à moi aussi deviennent noires , mes yeux mi verts mi rouges.
J'émis un grognement d'excitation.

- Tu l'auras voulu.
Lui grognais-je avant de la balancer avec force sur le lit , me plaçant au dessus d'elle.

N'ayant plus aucun contrôle sur moi-même, je déchire ses sous-vêtements et engloutit l'un de ses seins dans ma bouche avec sauvagerie.
Elle pousse un petit hurlement en m'incitant à continuer ma douce torture.
Puis sentit mon désir ardent réclamer sa part , je pénètre mon âme-soeur sans prévenir. Elle pousse un hurlement, j'ignore si c'est de douleur ou de plaisir mais je commence mes vas et viens violents et je sens que ça lui plaît. Elle enfonce - littéralement - ses ongles dans mon dos en poussant de petits râles de plaisir. Je fais de même.
Je m'accroche à la barre du lit , y laissant l'empreinte de ma main sur la barre de fer. J'avais du mal à reprendre ma respiration et elle encore plus , mon âme soeur crie son plaisir tout comme moi. Elle s'accroche ensuite au moustiquaire - que Naïla nous avait installé il y a quelques jours - , je le sens ce déchirer et tomber mais je m'en soucie pas. Je m'active en faisant coulisser mon engin dans son ventre, elle m'aide en bougeant avec frénésie des hanches. Nous laissons échapper un râlement animal en même temps alors que mes coups de reins se font plus violents.
Je sens une latte du lit ce casser , puis deux.

Nos Liens D'âmes - SoeursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant