Sha po lang -priest fantrad français

Chapitre 56

Chang Geng le poursuivait toujours à l'extérieur: «Yifu, attendez!»

Gu Yun était monté à cheval, le regardant d'en haut. Le cheval était aussi agité que son propriétaire. Même lorsque les rênes étaient déjà tirées, il continuait à faire des allers-retours au même endroit.

Le sang sur le visage de Chang Geng semblait avoir été collé sur sa paume et sa manche, il ressemblait à un portrait Bai Miao (1)d'un humain dessiné sur papier.

Il paraissait presque indifférent, l'expression incroyablement peinée à l'instant semblait avoir été cachée sous une couche de masque: «Au cas où l'oncle Huo ne pourrait pas réprimer le général Tan, yifu charger dans la capitale en ce moment équivaudra à vous conduire dans la flamme. "

Gu Yun haussa ses longs sourcils, il était sur le point de parler quand Chang Geng l'interrompit.

«Je sais, même si vous serez dans l'incendie, vous ne pouvez pas vous permettre de ne pas aller dans la capitale car les gardes impériaux ne pourraient pas arrêter le camp du Nord. À ce jour, à l'exception de yifu, personne ne pouvait contrôler le général Tan. Une fois que la capitale est secouée par ce changement chaotique, les conséquences sont inimaginables.

Chang Geng prit une profonde inspiration, puis lui tendit une main couverte de sang. «Au cas où l'Empereur vous emprisonnerait, les généraux de tous bords seront inévitablement plongés dans la confusion, le désastre éclatera. J'ai besoin que vous me laissiez une sorte de jeton qui puisse temporairement calmer le cœur des gens.

L'étonnement passa devant le visage de Gu Yun. L'enfant qui, plus tôt, le faisait se sentir incroyablement troublé était maintenant devenu complètement différent.

Tout le monde avait beaucoup de visages. Tout comme certaines personnes, à l'extérieur, ils étaient capables d'appeler le vent et la tempête avec un prestige renommé. Mais une fois retournés chez leurs parents, ils deviendraient un enfant ignorant qui ne comprenait pas ce qu'était la faim ou la froideur.

Bien que Chang Geng s'éloigne de plus en plus du garçon qui ne connaissait pas ses manières, l'appelant toujours '' Shiliu '', comptant toujours sur son petit yifu - mais après tout, il nourrissait toujours une admiration pour Gu Yun au plus profond de son cœur. Même au milieu de la nuit, quand son amour et son désir se manifestaient, c'était pour cette affection ressemblant à celle d'un père, d'un frère, qui lui apporterait un sentiment indescriptible de tabou.

Jusqu'à ce moment où le vent d'est a soufflé son dernier sentiment de son adolescence.

Dans les plus brefs délais, se rendant compte Chang Geng, il sera tout seul sur ce chemin sans personne qui ait compris, et personne pour accompagner.

Désormais, il n'était plus le fils ou la jeune génération de personne.

Gu Yun a sorti son propre sceau privé de l'intérieur de ses vêtements et l'a jeté à Chang Geng: «Cette chose ne pouvait pas être comparée à l'emblème du tigre, mais les personnes âgées qui me suivaient le reconnaissent toutes. Peut-être que cela pourrait être utile, juste au cas où... vous pourriez penser à un moyen d'inviter le général Zhong.

Chang Geng n'a pas du tout regardé le sceau privé, le plaçant directement à l'intérieur de sa manche, répondant avec indifférence: «Je sais, soyez rassuré.

Dès qu'il eut fini, Gu Yun avait déjà fait monter son cheval, chargeant.

Chang Geng a continué à regarder son dos jusqu'à ce que sa silhouette soit hors de portée. Il ferma soudain les yeux, chuchotant d'une voix douce: «Zi Xi...»

Le garde du manoir de l'autre côté n'a pas pu entendre clairement, il a demandé: "Qu'est-ce que Votre Altesse a dit?"

Chang Geng se retourna: «Préparez le stylo et le papier.»