Selon Soraya la plupart des hommes sont des connards, mais les femmes ... hm .. les femmes, elles ? Elles sont mille fois pires....
Soraya,n'a jamais été amoureuse, pourtant elle n'a de yeux que pour son mari...Tout par et pour son Rafaël....
Mon mari m'accueillit les bras ouverts, tandis que Deborah se donnait à fond dans un baiser avec son compagnon du week-end Travis ! Celui de la semaine répondait au nom de Jacob...
- Mon amour ? Tu étais passé où? Enquêta Rafaël.
- J'étais sur le pont menant à zile soley! Répondis- je lointaine.
- Tu es au courant que le bar est à l'ouest du sun island ? S'enquérit Deborah .
- Oui oui....Je sais.
- Tu as une sale mine Soraya ! Sourie au moins. Tu vas faire fuire Rafaël, et la on aura droit au neuropsychologue, qui est mille fois pire ! Se moqua Deborah.
Rafaël lui toisa quelque peu.
- Quelque chose ne va pas mon amour ?
- Non, juste contrariée c'est tout ! Répondis-je d'un ton attristé.
- Tu as l'air d'une adolescente en pleine crise de personnalité ! Quoi tu es une gothique maintenant ? Continua Deborah .
Mon mari s'énerva, face aux remarques peu agréable de mon amie à mon égard !
- Deborah tout de même, au lieu de procrastiner ton tête à tête avec ton Travor, essaie donc de...
Cette dernière l'interrompit, en lui corrigeant.
- C'est Travis Rafaël, Travis.
-Peu importe! Fit-il d'un ton revêche.
Je roulai des yeux, on aurait dit des gamins. Yaël apparut suivit de Nathann et d'un serveur ayant les bras surmontés de deux plateaux de cocktails savoureux. Je me mis a fixai partout ailleurs mais pas lui, je voyais bien que Nathann essayait d'emprisonner mon regard, mais je l'ignorai du mieux que je pu. Yaël s'assit près de lui, et porta une main dans ses cheveux.
- J'adore ta coupe de cheveux ! Lui dit-elle
- Obrigado ! [ Merci]
Nos regards se croisèrent, il aggrandit discrètement ses iris, comme pour me dire quelque chose, mais de nouveau, je rompis catégoriquement le contact. Je m'étais laissée avoir ! Je lui avais confié ce qui m'était arrivé avec l'ex de ma meilleure amie, mais demandez lui, si il s'en foutait. Je soupirai. En plus quelle idée sordide que j'avais eu de vouloir secrètement quelque chose; tandis que je n'étais même pas stable... Que j'avais l'impression de devenir folle! Peut-être que cette sensation de paix, que je prétendais ressentir à ses côtés n'était que dans ma tête !
- Mon amour, allonge-toi, je vais te faire un massage. Me dit mon époux.
Oui, il avait raison. Je m'allongeai, saisis la crème solaire et le lui tendit. Nos yeux se fiancèrent, je l'ignorai. Dans tous les cas, cet homme était mon fruit défendu...
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