.Rafaël.
Lorsque René et Ralf m'aidèrent à sortir de l'eau sous le regard de mes parents, de notre cousin Jim, d'Isabelle et d'Issa ; je restai tête baissée. Je ne pouvais pas supporter d'ascensionner la tête et de rencontrer leurs yeux. J'étais accablé de mortification et la douleur agonisante de ma jambe, l'empêchait de soutenir le poids de mon corps, ce qui ne me laissait pas d'autres choix que de m'aggriper au bras de Ralf ! Je reprenais à peine mon souffle que mon frère me relâcha de gestes imprévisibles !!
- Non,non,non.... Ne me lâchez.....p.......
Le temps que je termine ma phrase, je perdis l'équilibre et retombai dans la piscine ! Cette bastonnade m'avait coûté une jambe, je ne la sentais même plus...
- Sacrebleu ! Entendis-je mère crier. Rafaël !! Que t'es-t-il arrivé à la jambe Rafaël pour que tu ne tienne plus dessus ???
Ralf roula des yeux .
- Rassurez-moi mère, je ne vais pas devoir le sortir de l'eau une deuxième fois?? Reprit-il agacé .
- Aidez-moi, je me noies..ma jambe je ne ..... j....blup ne ...blup ne...ma jambe...M'écriai-je à la rescousse.
- Bon sang aide le Ralf !!! Exigea père.
Ces prochaines minutes furent extrêmement difficiles. La douleur me fit grincer des dents, comme-ci un wagon m'avait roulé dessus. Mon frère s'accroupi et aidé par Jim cette fois, ils me soustrairent du pool. Brusquement, je fus envahi d'une chaleur intense, j'entendais la voix de ma génitrice s'excuser auprès de la fiancée de Ralf et de son futur beau-frère du charivari causé. Au fur et à mesure, elle se fit lointaine, comme-ci je perdais tout le monde de vue et en moins de quelques seconde, syncope réflexe, je plongeai dans un profond malaise de Valgal suivi d'une inconscience totale.
Quelques heures plus tard...
Mes yeux s'ouvrirent pour croiser directement la dentition refaite de Ralf.
- Bon retour parmi nous petit frère . Il se réveil le petit violeur Mère.
Je roulai des yeux, la tête lourde et les membres courbaturés.
- Par pitié Ralf ! Détiens-toi. Et si on nous entendait. Remarqua notre génitrice.
Plus, je revenais à moi, plus je faisais la connaissance des lieux. C'était une chambre dotée de divers agréments : Lumière naturelle abondante, vues sur les jardins et autres espaces verts, mobilier et options de rangement flexibles se fondaient dans des tons blancs, crème et bleus. À la reconnaissance des écrans tactiles installés à mon chevet permettant de communiquer avec la famille, de commander et de planifier des repas, de la télécommande destinée à contrôler l'éclairage et la température et de sélectionner des programmes TV à la demande, je compris que je n'étais pas chez moi, mais dans un hôpital ! Au plafond, l'air conditionné frigorifiait mes orteils. Mère s'approcha de moi, en rangeant ses mèches de cheveux ondulés blonds qui colonisaient une coupe courte l'arrivant jusqu'à la nuque.
- Rafaël, que diable as-tu fait pour te retrouver dans une telle situation ? Le médecin nous à fait un rapport, il dit que ces coups et blessures sont sérieux. Quelle "Chose" qui t'as causé ces préjudices Rafaël ?
-.....
- Qui t'as amoché à ce point.
Je scellai mes molaires supérieures aux inférieures, comme-ci elle risquait de me forcer à cracher le morceau.
- Qui Rafaël !!! Insista-t-elle
-.......
- Rafaël qui??
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.Antrav.
RomanceSelon Soraya la plupart des hommes sont des connards, mais les femmes ... hm .. les femmes, elles ? Elles sont mille fois pires.... Soraya,n'a jamais été amoureuse, pourtant elle n'a de yeux que pour son mari...Tout par et pour son Rafaël....