Elmira Prête A Tout Pour Sauvé Son Frère

# Partie 19 #

# Partie 19#

Moi : Okay mais juste un peu .

Fadi : Ouais, fais moi un massage.

Moi : Bah enlève ton tee-shirt.

Je commence à lui faire son massage et il me retourne, un vrai gamin. On s'embrasse, d'un coup on entend des bruits bizarres. On s'arrête et on se regarde.

On explose de rire, je sais pas si
c'est Yassine ou Mady mais c'est des vrais porcs, Fadi n'en pouvais plus .

Fadi : Ce sont des baisés mdr, wallah ils sont fous.

Moi : Haha ils sont grave pas sérieux.

Fadi : Mdrr  .

Moi : En même temps, ils sont comme toi.

Fadi : Commence pas .

Moi : Lol c'est rien, t'as honte.

Fadi : Ferme ta gueule.

Moi : Ok mon amour

Fadi : Ma parole, je suis avec une folle.

Moi : Ooh c'est bon .

Il m'enlace, me regarde droit dans les yeux puis me fait des bisous. Moi aussi je lui fais des petits poutou poutou mdr. Il se lève, se met sur moi et m'embrasse. Ses mains sont sous mon débardeur, il attrape mon soutien-gorge le tire et le relâche, c'est trop un gamin.

Moi : Aïeuhh! ça fait mal

Fadi : Je m'en bats les couilles, embrasse moi.

Moi : Mon Dieu, dans quoi je m'embraque ?

Fadi : T'es pas contente ?

Moi : Je préfère ne pas répondre ptdr.

Je l'embrasse de nouveau; je me couche la tête étant sur son torse et on commence à parler normalement sans s'insulter.

Moi : Mon cœur, tu trouves quoi de beau chez moi?

Fadi : Mdrr ton putain de corps, et ton boule ( au fond de toi, il y'a plus Oh mytho)

Moi : T'es grave, t'es jamais sérieux même un tout petit peu.

Fadi : Tu fais trop mal à la tête toi!

Moi : Fadi, dis moi, je peux appeler mon frère?

Fadi : On verra demain.

Moi : Et je pourrais parler à ma mère?

Fadi : Nan

Moi : Pourquoi ?

Fadi : Parce que je t'ai dit nan, la vie de ma mère t'es trop relou.

Moi : Steuplait, elle me manque.

Fadi : Eh, je suis bien là, ne me casse pas les couilles.

Moi : Ok, Pfff.

Je me lève et je vais dans ma chambre, je fais mes ablutions, je prie puis je me couche sur mon lit. Je pense à ma mère, mon frère et à ma vie là-bas. Je n'en peux plus de rester dans cette maison, j'aime les gens qui m'entourent mais j'ai besoin de ma famille.

Je commence à pleurer, j'essaye de me calmer mais rien n'y fait. Samira vient dans ma chambre, je mets la couverture sur ma tête pour ne pas qu'elle me voit. Tellement je pleure, elle a entendu.

Samira : Ma chérie qu'est ce qui se passe, pourquoi tu pleures?

Moi : Y'a rien t'inquiéte.

Samira : Nan j'aime pas te voir comme ça dis moi.