Cette conversation devait arriver tôt ou tard. Et ça Victor le savait. Néanmoins il l'a retarda le plus possible. Néanmoins le plus gros de ses soucis était Sol dont l'état ne s'améliorait pas. Les médecins qu'il avait vu on tous dit que ce n'était que de la fatigue et on fais comme ci le garçon exagérait ce que énerve le bleuté. Deux autres semaines sont passé. Sol ne participe même plus aux entraînement. Ça ne sert à rien, il s'effondre au bout de dix minute et celui ci le sait très bien. Ce qui inquiète Victor c'est que Sol ne montre pas de frustration. Quand il lui a demandé Sol a dit :Bien sûr que si je suis frustré, énormément même mais il faut voir la réalité en face. Si je suis sure le terrain je ne suis qu'un boulet.
Victor savait qu'il n'y avait rien dire alors il avait simplement entouré son copain de ses bras et le roux avait posé sa tête sur son épaule. Toute l'équipe est inquiète et surveille Sol h24 et si ça énerve un peu ce dernier il comprend ses amis donc il ne proteste pas.
Aujourd'hui c'est vendredi soir, Victor ramène Sol chez lui comme à son habitude. Ils allaient se dire au revoir quand Victor remarque quelque chose:Victor: La porte de chez toi est entrouverte.
Sol se retourne vivement, effectivement la porte est ouverte. Son cœur martèle, combien de fois il avait dit à sa mère de fermer la porte car c'est dangereux de rester chez toi avec la porte déverrouiller. Il se précipite à l'intérieur suivit de Victor. Dans l'entrée ils entendent des voix venir de la cuisine. Ils entendent tout d'abord la voix d'Okimi tremblante:
Okimi: J-je ne peux pas te donner ce que tu veux Jérôme. J-je parviens tout juste à subvenir encore à nos besoin.
Jérôme: Ça c'est pas mon problème, je reviens dans deux semaines, y'a intérêt à ce que l'argent soit là.
Okimi: Puisque je te dis qu-
Jérôme: Tait toi !
Sol entre d'un coup dans la cuisine et se place devant sa mère:
Okimi: Sol !
Sol: Dégage, laisse ma mère tranquille.
L'homme rigole moqueur.
Jérôme: Et mais c'est que tu m'en ferais presque peur
.
Victor assez grand pour son âge s'approche de l'homme, plus petit.Victor: Vous feriez bien de partir d'ici.
Iik il fait peur, pense Sol.
En effet Victor est dans une colère froide de voir la panique de Okimi mais aussi la réaction de son copain qui montre une certaine habitude. Cette homme leur estorque de l'argent. Le regard de Victor énerver fais peur à tout le monde mais la différence de taille joue aussi. L'homme dit :L'homme: Ha ha si vous y tenez, à dans deux semaines.
Et il part. Victor va fermer la porte au genou une fois ce gars dehors. Okimi ne tient pas plus et éclate en sanglot.
Sol: Ho maman...
Il l'a prend dans ses bras. Victor prend le temps d'appeler son frère. Celui ci décroche.
Vlad: Allo Victor ?
Victor: Salut Vlad tu pourrais venir chez Sol ? Okimi... ne va pas très bien.
Pas besoin de plus pour que l'aîné dise:
Vlad: J'arrive !
Et il raccroche. Il n'a pas eu besoin de poser de question, priorité rejoindre Okimi voir comment elle va. De son côté Victor retourne dans la cuisine et trouve la mère et le fils de séparant de leur étreinte.
Victor: J'ai appelé Vlad. Je sais que vous auriez préféré éviter mais je ne peu pas laisser passer ça.
Elle soupire mais dit :
Okimi: Je comprend et je mentirais de dire que je n'aimerais pas qu'il soit là.
Sol: On va rester avec toi en attendant.
Cinq minutes plus tard Vlad était la. Ses jambes le faisaient souffrir, il n'a pas encore l'habitude de marcher aussi vite. Marcher... c'est un belle euphémisme, il a quasiment couru. Il toque et Victor vient lui ouvrir et tout deux vont dans la cuisine rapidement. Vlad débarque dans la cuisine et à peine le voit elle que Okimi ne peut s'empêcher d'éclater en sanglot. Le bleu a débarquer à la vitesse de l'éclaire pour elle, inquiet, voilà qu'elle va encore lui causer du soucis. Vlad inquiet de voir sa bien aimé ainsi la prend doucement dans ses bras en lui caressant les cheveux et lui murmurant des paroles réconfortantes.
Victor prend la main de son copain.
Victor: On devrait les laisser un peu seul.
Sol hoche la tête et le suit à l'étage. Ils vont dans la chambre de l'orangé s'assoir dans le lit.
Victor: Que ce passe t il dans ton cœur Sol ?
Cette question surprend et émeu brusquement le garçon et les larmes débordent comme celles de sa mère un peu plus tôt.
Sol: I-il se sent si impuissant.
Victor est boulversé de la triste de son copain et il le prend dans ses bras. Il les fais basculer pour qu'ils se retrouve dans la même étreinte mais allongés. Sol aime tellement la chaleur de son copain dans cette tristesse qui le submerge.
Sol: C'est à cause de moi que ce moi ci elle n'à pas pu lui donner l'argent habituelle. À cause de toute nos visites chez les médecins. Dès que je suis revenu de l'hôpital et qu'elle n'avait plus à payer les frais d'hôpitaux, Jérôme s'est mis à lui demandé encore plus. Donc elle reste dans ma même galère financière. Si j'étais pas là est ce qu'elle vivrait mieux ?
Victor: Ne dis pas ça. Elle me l'à déjà dit tu est là meilleur chose qui lui soit arrivé de toute sa vie. Elle t'aime et le pourrait pas imaginer ne pas vivre avec toi comme fils. Ce n'est pas de ta faute si tu est... malade. Rien n'est de ta faute. Je crois juste que la vie a décidé de s'acharner sur vous mais je sais que vous êtes assez fort et que vous trouverez toujours un moyen de vous en sortir. Vlad et moi on vous soutiendra de toute nos force.
Sol sourit, le bleu sait trouver les bon mots pour l'apaiser.
Sol: Merci, on a tellement de chance de vous avoir dans nos vie.
Victor: Et nous donc. Que ferait Vlad sans Okimi ? Que ferais je sans toi ?
Sol sourit doucement:
Sol: Je t'aime.
Victor: Moi aussi je t'aime.
Il caresse les cheveux du rouquin qui se sent apaisé désormais. Malgré ma situation il se retrouve apaisé par la douceur de la main de son copain caresse ses cheveux et apaisé par sa chaleur, sa présence.
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On est plus fort à deux non ?
FanfictionDepuis quelque temps Sol ne va pas bien et ça Victor le remarque. Bien qu'il soit dans le groupe il parle peu mais l'envie de se rapprocher de l'orangé et de l'aider lui donne le courage de l'accoster. À partir de cette moment, de cette parole, de c...