La semaine passa, Sol ne participait plus aux entraînements, car ses jambes finissaient par ne plus répondre au bout de quelques minutes de jeu. Son état inquiétait toute l'équipe, il commençait à perdre l'appétit et se forçait à manger. Ce n'était plus du tout rare qu'il ai des vertiges ou la tête qui tourne devenant pâle. Des fois le sol tanguait sous ses pied comme si il était sur un bateau et un mal de cœur l'attaquait. Il venait se réfugier contre son copain en cachant son visage dans son cou. Le bleuté le serrait contre lui en caressant ses cheveux et Sol allait mieux après quelques minutes. Victor avait meilleur rôle que l'infirmerie se disait le roux.
Arriva enfin vendredi et Sol avait son sac de sport, qui ne lui servait plus à rien vu qu'il ne faisait plus de sport,il y avait mit ses affaires pour le week-end chez Victor. Le matin même sa mère avait stressé pour lui mais aussi stressé car elle les rencontrera aussi dimanche soir en gant récupérer le roux. Ils avaient rigoler, qui aurait crut que mère et fils aurait les mêmes beau parents ? Néanmoins elle lui avait dit : « Tu es si adorable que personne peut ne pas t'aimer, comme Aki » il avait rigolé. En parlant d'Aki elle avait sauté de joie en entendant que Sol viendrait dormir à la maison le week-end. Même si c'est pour passer du temps avec le bleuté elle voulait lui parler de tout ce qu'elle avait appris à l'école ainsi que de l'ami qu'elle s'était faite. Les parents du bleuté eux avaient ranger la maison de font en comble et tout nettoyer en se stressant à l'idée de mal paraître aux yeux de leur « gendre ». Cela avait exaspéré le bleu bien qu'il eu un petit sourire car il avait compris à quel point s'était important pour lui qu'ils rencontrent Sol.
Les deux garçons était donc en route, marchant lentement pour ne pas fatiguer Le Roux car marcher un peu trop vite lui donnait facilement des vertiges. Sa main droite dans la gauche de Victor était moite, il tripotait nerveusement la lanière de son sac de sport totalement stressé. Victor s'arrêta donc entraînant ainsi l'arrêt de son copain.
Victor: Arrête de triturer cette pauvre lanière elle ne t'a rien fais.
Sol rigole nerveux.
Sol: C'est vrai.
Victor: Hey Sol, stresse pas comme ça. Je t'assure ils vont pas te manger et je peux t'assurer qu'ils vont t'adorer.
Le roux sourit un peu rassuré et l'embrasse. Victor lui rend son baiser tendrement puis ils se sépare. Sol rassemble son courage et dit:
Sol: Allons y.
Ils se remettent donc en route et le roux observe son copain, lui aussi semble un peu stressé car il a les sourcils un peu froncés mais il est plus calme que ce qu'imaginait le roux. Sol sait aussi que cette rencontre symbolise quelque chose, maintenant qu'ils se sont retrouvé Victor veut montrer à ses parent que ça va qu'il est heureux, qu'il a le foot, ses amis et aussi un copain. Il veut les intégrer un peu plus a sa vie. Et le roux trouve ça mignon. Le bleuté ne s'exprime pas des masses sur ce qu'il ressent, bien qu'un peu plus avec lui, mais ses actes parlent pour lui. Ces pensées effacent pendant un temps son stresse. Jusqu'à ce que la maison des Blade sois en vue et qu'il se remette à stresser. Victor savait qu'il fallait que les choses passent et l'orangé finira par se sentir bête d'avoir stresser autant. Le roux est en effet quelque d'assez anxieux malgré l'aura tranquille qu'il fait toujours voir et son copain sait que quand c'est à ce point les mots ne servent pas. Avant d'entrer il demande:
Victor: Prêt ?
Il sait que non mais tente de lui donner un peu de courage.
Sol: Ha ha non mais allons y.
Le bleuté lui ébouriffe les cheveux:
Victor: Ça va bien se passer.
Le roux lui adresse un petit sourire nerveux puis le bleuté rentre à l'intérieur en l'entraînant à sa suite. Une fois dans l'entrée ils se déchaussent et pose leur sac dans un coin qui ne genre pas. Ils entrent dans le salon ou les parents sont installé dans l'un des deux canapé, le père lisant un livre, la mère regardant un film.
VOUS LISEZ
On est plus fort à deux non ?
FanfictionDepuis quelque temps Sol ne va pas bien et ça Victor le remarque. Bien qu'il soit dans le groupe il parle peu mais l'envie de se rapprocher de l'orangé et de l'aider lui donne le courage de l'accoster. À partir de cette moment, de cette parole, de c...