Victor resta une heure avant que Sol lui fit remarquer l'heure.
Sol: Vic' va falloir que t'y aille t'a cours demain.
Victor gromelle les bras croisés :
Victor: J'ai pas envie.
Sol: Moi aussi mais c'est pas raisonnable.
Victor: Tsk tu me chasse ?
Sol: Hummmm peut être.
Victor gonfle des joues ce qui fait rire l'orangé.
Sol: Tu a pris ma manie de gonfler les joues comme un enfant.
Victor: Je ressemble à un enfant ?
Sol: Oui parfois.
Victor rapproche tout près de son copain:
Victor: Hum t'en est sûr ?
Il est prêt, pense le roux rougissant
Sol: Ou-
On toque à la porte et Victor descend du lit pour s'asseoir sur une chaise.
Sol: Entrez.
La porte s'ouvre sur le médecin que Sol avait consulté avant d'atterrir à l'hôpital. Victor avait déjà accompagné plusieurs fois le roux donc il le reconnu immédiatement et se lève alors en colère. Sol comprend immédiatement:
Sol: Vi-
Victor: Qu'est ce que vous faite la ?
Médecin: Voir Sol.
Victor: Vous n'avez pas honte de venir le voir alors que c'est de votre faute si il a faillit y passer ?!
Sol: Victor !
Le bleu trop énervé n'entend pas son copain:
Médecin: Oui on m'a raconté ma-
Victor: Alors qu'est ce que vous foutez la ?! Sol a failli crever à cause de votre jugement minimaliste. Dégagez et changez de métier j-
Sol: Victor ça suffit !
La voix autoritaire de son copain stoppe le bleuté. Il l'a rarement entendu parler ainsi.
Sol: Victor je comprend ton énervement je suis moi même un peu énervé mais il y a forcément une raison à ses agissement. J'aimerais entendre ses explication. Va faire un tour et reviens quand tu te sera calmé s'il te plaît .
Victor soupire frustré et hoche la tête. Il embrasse son copain et sort.
Ho je comprend mieux, c'est son copain, comprend le médecin.
Sol: Je vous prie de l'excuser il a ses raison d'agir ainsi.
Sol ne veut pas expliquer que Victor a assister à la scène assez traumatisante.
Médecin: Ce n'est rien je comprend cette réactions vrai dire.
Sol: Pouvez vous m'expliquer pourquoi vous ne m'avez pas envoyé à l'hôpital plus tôt.
Médecin: Bien sûr. En faite ton sang ne relevait jusqu'à peu aucune trace de la maladie et sans preuve je ne pouvais t'envoyer ici car tout ce que tu présentais était malheureusement des signes de fatigue en apparence.
Sol: Comment ça jusqu'à peu ?
Médecin: Le jour ou c'est arrivé et que t'a mère avait pris un autre rendez vous j'ai reçut juste après tes analyses de ta prise de sang et c'est la que des anomalies sont apparu. J'ai voulu rappelé ta mère pour lui demander de passer prendre mes recommandations pourquoi t'envoyer faire des analyses plus poussées à l'hôpital mais je n'au pas réussi à la contacter de la journée.
Sol comprend mieux. Le médecin a suivit la procédure parce qu'il n'avait pas d'autre choix.
Sol: Je vous, merci de vos explications je comprend mieux.
Médecin: Alors que t'a ton dit sur ton état ?
Sol: Que la maladie réapparaissait doucement mais que elle n'est pas encore trop développé et donc ils m'ont remis sous traitement. Il agit plus rapidement vu que la maladie est moins développée que la première fois. Ils ont dit qu'ils vont faire attention et me garder encore bien deux semaines après la fin du traitement avant de me lâcher. Mais je devrais quand même suivre des rendez vous régulier pendant un temps.
Médecin: Je vois. Tu n'a jamais été complètement guéris et elle est donc réapparu.
Sol: Oui mais les docteur ont dit que cette fois ci il n'y pas de doute face à ma guérison. Et je pourrais peut être même rejouer comme les autres.
L'homme sourit, ça fait des années qu'il est le médecin traitant de leur famille et Mme Daystar parlait beaucoup de son fils. L'homme s'était aussi prit d'affection pour le garçon dès tout petit, avant qu'il n'arrive à l'hôpital et ils ont gardé contact. Le garçon le cachait mais ne pas pouvoir être comme les autres et ne pas pouvoir jouer à ce qui le fait rêver lui faisait beaucoup de mal toute ces années.
Médecin: Je suis content, je viendrais à tes match.
Sol: Ha ha merci Singit, vous avez intérêt à tenir promesse.
Singit: T'a toujours du mal avec le tutoiment hein ? Même au bout de dix ans.
Sol: Ha ha mais tu à les cheveux grisonnant, ça me fais rire de te vouvoyer. Après tout on respecte ses ainés non ?
L'homme sourit:
Singit: Sale gosse.
Sol: Hé hé je sais.
On toque à la porte.
Sol: Entre Victor.
Y'a que lui pour toquer que un coup.
Le bleu entre hésitant puis referme la porte derrière lui. Il s'incline ensuite devant le médecin :
Victor: Je vous pris de m'excuser pour mon comportement, je me suis laissé gagner par ma colère.
Le médecin reste un instant silencieux. « Il a ses raison » lui a dit Sol. Même si c'est son copain n'y a t il pas autre chose ? Il aperçoit les poings crispés du garçon.
Un jeune garçon proche du patient malheureusement vu toute la scène.
Au souvenirs des paroles de l'infirmière il comprend:
Médecin: Tu étais là ce soir là.
Les deux garçon le regarde surprit.
Victor: ...oui.
Médecin: Je vois, je suis désolé que tu ai dû voir ça.
Victor ne dit rien , le médecin voit qu'il attend ses explications.
Sol: Assied toi Vic'.
Le bleuté hoche la tête et prend une chaise qu'il déplie puis s'installe. Le médecin raconte donc la même chose au bleuté qui comprend, l'homme a été obligé le respecter le protocole. En plus lorsqu'un patient insiste autant à venir plusieurs fois en consultation pour un simple coup de fatigue, le médecin a le droit de refuser. Or l'homme mal grès la douzaine de visite a continué à le recevoir. L'homme semble beaucoup se soucier de l'orangé. Le bleuté s'en veux un peu de l'avoir traité ainsi et ça le médecin le remarque:
Singit: Aller va ta réaction étais compréhensible surtout après ce que tu à du voir. Je ne t'en veux pas.
Victor: Merci Monsieur.
Singit: Ho non pitié pas de Monsieur, appelle moi Singit.
Le bleu hoche la tête et le médecin resta encore trente minutes avant de devoir partir en consultation à domicile. Victor resta aussi un peu avant de partir sous l'il inquiet de son copain qui n'aime pas le savoir seul avec ces images en tête.
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On est plus fort à deux non ?
FanfictionDepuis quelque temps Sol ne va pas bien et ça Victor le remarque. Bien qu'il soit dans le groupe il parle peu mais l'envie de se rapprocher de l'orangé et de l'aider lui donne le courage de l'accoster. À partir de cette moment, de cette parole, de c...