Victor finit par s'écarter, de retourner et essuyer ses yeux. Tout le monde rigole puis la mère dit :
Mère: Bien et si on allait manger ?
Tout le monde hoche la tête et Vlad récupère ses béquilles. Il avance lentement mais rien que le fait qui se déplace seul fais plaisir à Victor.
Le grand le se sent très nostalgique, ça fais longtemps qu'il n'a pas remis un pied dans cette maison. Rien n'a changé. Ils arrivent dans la cuisine et Vlad sourit. Combien de fois ont il supplié maman de faire des crêpes. Ils s'installent ensuite à table et ce fais bizarre de manger avec sa famille et dans cette cuisine depuis si longtemps mais cela lui fais plaisirs.
Et lorsqu'ils se mirent à manger les yeux de Vlad brillèrent:Vlad: C'est trop bon !
La cuisine de sa mère lui avait manqué. Elle a fais son plat préparé pour son retour. Elle sourit :
Mère: Contente que cela te plaise.
Le repas se passa ainsi dans la bonne humeur après il fallut monter les affaires de Vlad. Le grand eu besoin d'aide pour les escalier. Il n'avait pas encore finit sa rééducation donc Victor l'accompagna lentement mais sûrement. Le grand haletant pris une pose la haut avant qu'ils se dirigent vers la chambre de Vlad. Lorsqu'ils ouvre la vue de sa chambre d'enfant réchauffe le cœur du bleuté. Le père arrive :
Père: Nous avons juste eu le temps d'installer un grand lit. Pour ce qui est du bureau et autres...
Vlad: Ne t'inquiète pas je suis déjà très content de revenir.
Le père sourit puis pose la valise. Il laisse donc les deux frère ensemble. Il se rappelle du temps qu'ils ont passé tout les deux dans cette chambre à jouer enfant, les voir grand dans cette même chambre réunis le fais sourire.
Victor: Bon ton placard n'a plus tout ses vêtement d'enfant vu que avec Aki on est passé par là. Mais bon c'est pas comme si ça t'allais encore.
Vlad hoche la tête en souriant. Ils vident le placard et mettent les vêtements de grand dedans. Puis ils se posent dans le lit.
Vlad: Ha ça fais à la fois si bizarre et en même temps je suis tellement content d'être de retour ici.
Victor: Moi aussi.
Le grand lui ébouriffe les cheveux:
Vlad: Ça me fais plaisir de te voir content comme ça.
Victor: Comment tu veux qu'il en sois autrement ?
Vlad sourit
Vlad: A mon avis tu va avoir un interrogatoire d'un certain roux.
Victor sourit, l'orangé était donc au courant.
Victor: D'accord.
Le bleuté imagine déjà le rouquin lui poser plein de question.
Vlad: Ça fais bizarre de revoir tout ces jouets. Il va y avoir du rangement.
Victor: Tu m'étonne j'ai pas fini de faire des aller retour dans le grenier moi.
Vlad: Pourquoi ne pas en faire don à l'orphelinat ?
Victor: Hum... c'est pas une mauvaise idée.
Ils parlèrent longtemps jusqu'à ce que finalement le cadet s'endort après un moment de silence apaisant pour les deux. Vlad sourit. Ça lui fais énormément plaisir de voir la joie du bleuté, et ça lui fais aussi immensément plaisir d'être enfin revenu ici. Il ferme les yeux apaisé et ne tarde pas à s'endormir aussi.
Le lendemain matin le téléphone du cadet sonne. Il grommelle et prend un temps à se rappeler ou il est. Il voit alors son frère endormi contre le mur. Ils se sont endormis. Il sourit, ça fais bien longtemps qu'il se sont endormi côte à côte, ça arrivait souvent quand ils était petit et qu'ils regardaient un film. Il se remémore pas mal de souvenir puis Vlad commence à se réveiller à son tours :
Vlad: Haaaa j'ai mal au cou.
Victor: Tu m'étonne vu comment on s'est endormi.
Vlad: Il est quel heure ?
Victor regarde sur son téléphone puis:
Victor: Mince je vais être en retard si je traîne !
Il se lève brusquement et s'apprête à courir :
Vlad: Interdiction de courir tu vient à peine d'enlever ton attelle et tes béquille.
Victor:*soupir* d'accord .
Et il repart en marchant assez vite et Vlad sourit. Il va en apprendre des côtés de son frère qu'il ne connaissait pas. Le bleuté lui se dépêche, il a clairement trop traîné. Il se dépêche de se laver... bref une fois préparer il dit au revoir à sa mère, emporte au passage une barre de céréales et sort de la cuisine, dans l'entrée il prend son sac à la volée met ses chaussures, sa veste et sort. L'orangé et la :
Victor: Salut, désolé je suis en retard.
Sol: Salut, mais il n'est pas si tard.
Victor regarde son téléphone, ha bah oui il a rattraper son retard et est parti à l'heure habituel. Sol rigole à sa surprise.
Sol: Alors ?
Victor sourit:
Victor: Je suis content.
Sol sourit, voilà bien une phrase qu'il n'aurait jamais dit avant . Tout simplement parce que dire ce qu'il ressent il n'aime pas trop. Mais là sa joie se voit dans ses yeux.
Sol: Je suis content pour vous vraiment. Vlad doit être hyper content.
Victor: Oui je crois bien que c'est ce qu'il manquait à tout le monde à la maison.
Sol hoche la tête et il avait vu juste. Victor pose une main sur sa joue et l'embrasse. Sol surpris lui rend son baiser. Autre que dans un moment de tristesse ils ne se sont jamais embrassé. Puis Victor s'écarte et sourit :
Victor: On y va ?
Sol: Oui allons y.
Sol le voit sur son visage. Quelque chose a changé. Il a l'impression de ce voir après s'être libérer de son mal. Peut être que c'est ce qu'il s'est passé pour Victor. Il marchent tout deux et Victor voyant les interrogations de l'orangé sourit et lui prend sa main :
Victor: Les monstres n'existent pas.
Sol sourit à cette phrase et ressert sa main dans celle du bleuté heureux. Ils parlent joyeusement puis devant le collège ils se lâchent là mains gêné. Ils sont quoi maintenant ? Victor se dit: « Bah je crois qu'il va falloir que je me déclare maintenant ». De son côté Sol rougit: « Qu'est ce qu'on est ? »
Il regarde le bleuté qui a un air décidé collé au visages. Celui ci le regarde et sourit :Victor: On y va ?
Sol: Oui allons y !
Et ils entrent dans le collège dans une atmosphère plus détendu pour Victor bien qu'il ne peut encore s'empêcher de scruter les regards des gens et remarquent qu'en faite personne ne fais attention à lui ce qui le fais sourire. Qu'est ce que l'esprit peu avoir de drôle d'effet et altérer la vision.
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On est plus fort à deux non ?
FanfictionDepuis quelque temps Sol ne va pas bien et ça Victor le remarque. Bien qu'il soit dans le groupe il parle peu mais l'envie de se rapprocher de l'orangé et de l'aider lui donne le courage de l'accoster. À partir de cette moment, de cette parole, de c...