Chapitre 67

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Après que la famille Blade ainsi que leurs protéger arrivèrent. Mme Blade se mît au fourneau tandis ce que le père déposa son bagage dans sa chambre. Ses autres arriveront dans quelques semaine. Aki tient compagnie à Mme Blade en faisant un coloriage dans la cuisine. Lorsque Liam redescendit il remarqua son fils assis sur le canapé ,les béquilles aux sol, écrivant dans un petit carnet. Il s'essaya dans un fauteuil et demanda gentiment:

Père: Qu'est ce ?

Victor: La prochaine leçon d'Aki. Quelques formule en anglais ainsi que des exercices d'écriture. J'ai favorisé les cours de lecture et de mathématique jusqu'à présent mais c'est pas suffisant.

Père: Je peux voir ?

Victor hoche la tête et lui tandis le carnet. L'adulte observa et fut très supprimé du soin et des petites astuces écrire par le bleuté. Il vit qu'avant il devait dessiner ces astuces mais que maintenant que la petite sait lire il les écrit. Il lui rend le carnet en souriant:

Père: C'est bien expliqué.

Victor: Merci.

Victor pause le carnet et ne dis rien. Il sens que son père tente d'aborder le sujet sans vraiment savoir commencer. Il décide de le faire lui même :

« Plus vite c'est, plus vite on sera tranquille »

Victor: Je suis désolé... j'ai été assez odieux. Je vous en voulais d'être parti c'est vrai. Mais j'aurais dû réfléchir avant d'agir de manière aussi détestable. J'aurais dû voir avant que ce n'étais pas réellement un abandon, juste que vous aviez mal. Alors même si... je n'approuve pas cette fuite. Je comprend.

Le père le regarde surpris:

Père: Tu... ne nous en en veux pas? Après tout tu a tout de même toute les raisons pour. Tu a grandis et on était pas vraiment présent.

Victor: Vois n'étiez pas totalement absent. Les appelle téléphoniques deux fois par semaines pour prendre des nouvelles. Les choses que vous me laissiez quand vous repartiez. C'est pas comme ci vous n'avez rien fais. Cette accident nous a tous fais agir de manière regrettable c'est vrai. Vous les premier vous alliez déjà mal après l'accident, vous culpabilisiez ce qui s'est passé, vous culpabilisiez de fuir.... c'est normal. Je ne vais pas dire que j'approuve cette fuite mais je vous pardonne.

L'adulte est émut de la maturité de son fils.

Père: Dans ce cas... permet moi de m'excuser de ne jamais t'avoir demandé comment tu allait. J'ai été lâche et je demandais à Vlad qui étais le premier à souffrir mais qui était là pour toi. Je n'imagine pas à quel point tu devais te sentir coupable, tu devais avoir mal en plus d'être en colère contre nous.

Victor: Je l'ai dis... c'est pardonné. L'important maintenant c'est la suite. Je sais que tu va revenir pour de bon et... je crois pouvoir affirmer que ça me fais... plaisir? Excuse moi c'est peut être bizarre vu que j'ai plus l'habitude. Mais tu sais j'en connais qui sera réellement heureux de te revoir en sachant que tu restera pour de bon. Et ce quelqu'un c'est Vlad.

Liam sourit. En effet. Vlad contrairement à Victor n'a jamais montré signe de colère, même si il était triste il a compris la raison de leur départ. Ce qui l'attristais c'était surtout les conséquences sur Victor.

Victor: Et puis il progresse vite dans sa rééducation, il pourra vite marcher à nouveau.

Père: Merci Victor... merci de nous pardonner. Merci d'être rester là pour Vlad.

Victor: Ce n'est rien. Je n'ai pas pus oublier que vous étiez de bon parents et que si cette accident n'avait pas eu lieu on en serait pas là. Vous ne pensiez pas à la. Merci de tes efforts, tu a eu le courage de revenir.

Père: Tu a bien grandi Victor.

Le garçon sourit légèrement. Un petit poids s'enlève de ses épaules.

« Ça fais du bien »

Mère: C'est bientôt prêt !!!

Père: On arrive.

Victor range le carnet et le père lui rend ses béquille.

Victor: Merci.

Victor se sent plus léger et il sait qu'il reste un dernière étape pour ce nouveau départ de leur famille, la visite à Vlad demain.

De son côté Sol est monté au grenier pour ouvrir quelque carton. Il y retrouve ses tout premiers livre. Il sourit nostalgique face à ses livres. L'époque où il a appris a lire, sa premier années d'école primaire. Ces histoires qu'ils dévoraient puis qu'il relisait en boucle dans les bras de sa mère. Il sourit les prend et redescend après avoir fermé le grenier.
Il a hâte de remontrer ça à sa mère. Elle est rentrées. Un samedi sur deux elle travaille le matin. Il est dans les escaliers lorsqu'il entend un :

???: Tu a intérêt à avoir ça pour la semaine prochaine !

Puis des bruits de pas et un claquement de porte. Puis des pleures qu'il reconnaît. Il laisse tomber les livres et fonce dans la cuisine.

Sol: Maman !

Il trouve sa mère en larmes comme à chaque fois que ça arrive. Elle se tourne pour que son fils évite de voir plus ses larmes. Le garçon peiné s'approche et l'entoure de ses bras.

Sol: Pardon maman, j'aurais dû être là.

Mère: Chéri arrête de t'excuser pour rien, on entend rien du grenier et tu sais très bien comment il est. Je préfère que tu ne sois pas là quand il vient.

Le garçon ne dit rien. Il se sent tellement impuissant. Elle finit par essuyer ses larmes et s'écarter. Elle sourit à son fils:

Okimi: Aller met moi la table c'est prêt. Tu a fais des progrès dis donc tu est presque capable de manger tout ce que je met dans ton assiette.

Il s'empêche de soupirer face à changement de sujet de sa mère mais elle est comme ça et il ne l'a changera pas. Il sourit donc :

Sol: Oui fait croire que mon corps commence à se réhabituer. Ho au faite j'ai retrouvé les premiers livre de lecture.

Okimi: Ho que de nostalgie, je me souviens quand je devais de faire lire Elliot à la chasse aux perles.

Ils préparent donc le repas en parlant joyeusement malgré l'incident.

On est plus fort à deux non ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant