quatre-vingt-treize.

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Justin

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Justin.

Je voulais passer la soirée avec Maia mais elle a refusé parce qu'elle va manger au restaurant avec les filles. Quelle chiante celle-là.

Maia a été faire des tests dans l'après-midi, pour qu'on puisse continuer de coucher ensemble sans capote, c'était affreusement bon dans sa baignoire et je ne veux plus foutre de merde entre nous sérieux. Elle aura les résultats demain, dans l'après-midi et j'ai été en faire autant après le travail. La nana m'a dit que je recevrais un mail dans la journée, j'ai déjà prévenu Maia qu'elle a intérêt à m'attendre sagement dans son lit après ma journée de travail parce que je ne vais pas la lâcher. Elle m'a répondu:

« Dégage abruti. »

Trop aimable de sa part.

J'attrape mon téléphone et lui envoie un message pour lui dire que je rentre chez moi, que j'ai faits les tests. Son emoji avec son air coquin me fait rire, cette petite peste n'a pas voulu enfiler une de ses tenues sexy hier soir, au moment d'aller au lit parce qu'on s'est mis d'accord juste avant de ne plus rien faire sans les résultats des tests mais moi, j'avais envie d'elle. Encore. Je voulais la voir dans un de ces bodys, elle a intérêt à en foutre un sur le dos demain soir. Je l'attache au lit et je m'occupe de son cas sinon.

Elle a tellement aimé ça la dernière fois qu'elle serait capable de ne pas s'en plaindre. Même pas drôle.

Je devrais plutôt la menacer d'acheter un fouet pour m'en servir contre elle? Ça devrait marcher pour l'effrayer ça non?

J'arrive à la maison et j'attrape mon téléphone qui vibre, c'est Maia.

« Vivement demain soir qu'on s'endorme sagement dans mon lit dis donc. »

« Ne t'inquiète pas beauté, je n'ai pas besoin de ton lit pour te faire jouir. »

« Bien sûr, je vais arrêter de t'envoyer des messages maintenant parce que les filles me regardent de travers. »

« Quelle bande de casse-couilles ces nanas. »

Je suis sûr qu'elle roule des yeux. Je glisse mon téléphone dans ma poche quand je sors de la voiture et j'avance jusqu'à ma porte quand je l'ai verrouillé.

Mon téléphone vibre encore dans ma poche, c'est un message de mon petit frère cette fois.

« On peut se voir ce soir? Pour manger si tu n'as pas de plan? »

« Ouais ok si tu veux, à quelle heure? »

« Dans une heure chez toi? »

J'accepte et grogne quand j'entends sonner alors que je voulais aller me laver. J'ouvre et je me mets à rire nerveusement quand je vois mon père, putain de merde.

Ce connard a trouvé ma nouvelle adresse. En quoi suis-je étonné? J'aurais même pensé qu'il allait la trouver plus rapidement.

— Qu'est-ce que tu veux toi?

When Two Worlds CollideOù les histoires vivent. Découvrez maintenant