CHAPITRE 133

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Joyeux Noël à tous !

En attendant le passage du Père Noël et entre deux cadeaux emballés à la dernière minute ( on est d'accord, on est toujours à la bourre, hein ? ) voici le mid-season de votre fanfiction préférée !

J'espère qu'il vous plaira et que j'aurais réussi à retranscrire au mieux toutes les émotions que j'ai ressenti la première fois que j'ai vu cet épisode incroyable ;)

Passez de belles fêtes avec vos proches et prenez bien soin de vous

On se retrouve le 7 Janvier pour la suite des aventures 

Et pour vous faire patienter, je vous ai préparé une petite surprise en fin de chapitre ;) 

Enjoy

Rebecca <3

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— Les gars, ça s'éclaircit de l'autre côté.

La voix de Tara s'étira doucement dans la maison silencieuse, alors qu'elle revenait vers Eugene, Rosita et Morgan, qui patientaient dans une pièce encore en travaux.

— Il faut qu'on sorte d'ici, déclara Carol en arrivant à son tour. Rick et Tonie sont passé à l'attaque.

— Comment ça ? s'enquit Morgan en se remettant sur ses pieds, son bâton à la main.

— Ils sont dehors, en train de les combattre avec Michonne et d'autres, expliqua la veuve. C'est le moment, elle ajouta en leur lançant un regard décidé. Ils sont dans la rue principale. Je vais les rejoindre.

Elle se détourna en faisant un pas vers Tara, posant une main amicale sur l'avant-bras de la jeune femme adossée au mur.

— Denise est en vie, elle déclara, avant de se reculer pour partir.

— Tu l'as vue ? demanda Tara en ouvrant des yeux remplis d'espoir et de soulagement.

— Oui, elle a réussi à rejoindre l'infirmerie, expliqua Carol, avant d'envoyer un regard noir en direction de Morgan.

Elle était encore pleine de rengaine envers le Maître Zen, pour tout ce qui s'était passé à cause de sa décision égoïste de garder un des Wolves en vie.

— Je vais aider Rick et Tonie, elle reprit enfin en détournant le regard.

— J'y vais aussi, annonça Morgan d'une voix grave.

— Je suis avec toi, enchaîna Tara, en se mettant en mouvement à la suite de Carol.

— Ouais, moi aussi, enchérit Rosita.

— Je suis juste derrière vous, continua Eugene en se redressant.

— Eugene, t'as pas à faire ça, riposta aussitôt la latino d'une voix dure, en se tournant vers son froussard d'ami.

— C'est incorrect, je dois le faire, il répondit de sa voix monocorde.

Sa respiration rapide et saccadée trahissait son angoisse et sa terreur, mais son regard et sa voix étaient emplis d'une détermination que Rosita ne lui avait jamais connu jusqu'à présent.

— Personne n'a le droit de pointer son heure de sortie, aujourd'hui, reprit Eugene, en défiant son amie du regard. Et, bordel, c'est une histoire que les gens vont raconter.

Sua SponteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant