125: Après la tempête

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Sur le terrain, les japonais étaient rassemblés devant leur coach, qui justement venait de leur dirent quelque chose qui les laissa perplexe.

- On ne pourra pas gagner à ce rythme ?, répéta Mark. Qu'est-ce que ça veut dire ?

- Ça ne veut pas spécialement dire quelque chose, répondit simplement le coach chinois. C'est juste exactement ce que je viens de dire. Le Japon actuel ne pourra pas gagner contre l'Italie.

- La sélection italienne, les Gardians of Queen, sont comme leur nom l'indique, une équipe formée de personnes prêtes à protéger la reine, leur expliqua Li.

La Reine ?, répéta Rhea.

- Le nom de la reine à qui ils obéissent et qu'ils protègent à tout prix est Irina, poursuivit M. Yi. C'est une personne effrayante...

Irina. Voilà donc le nom de sa véritable ennemie. Comment une femme pouvait-elle vouloir à ce point détruire la vie d'une adolescente de 15 ans ? Et pour quel but ?

- Effrayante ?, répéta Sonny.

- C'est à cause de cette reine que les ténèbres d'Orion ont commencé à surgir, dit-il la mine sombre. Car elle est la véritable commandante d'Orion !

La nouvelle surpris les joueurs. Donc cette Irina était la mère de Froy, celle qui cherchait réellement à anéantir Inazuma Japon, quel qu'en soit le prix.

- En plus d'être problématique, cette reine est extrêmement égocentrique, continua M. Yi d'un air théâtral. Elle détruit les gens pour lesquels elle ne porte pas d'intérêt ! Elle. Les. Détruits ! Moi aussi, j'ai été un de ses rats qu'elle a éliminé !

- C'était il y a dix ans, lorsqu'Oyabun a tenté de révéler les atrocités d'Orion, il s'est retrouvé exclu du monde du football à cause de cette affaire, expliqua Li, beaucoup plus sérieux.

- Irina..., répéta Heath. Il y avait un tel rideau noir derrière Bernard Girikanan...

- La rencontre entre elle et moi était fatidique, souffla le chinois. Une chose aussi banale que faire fumer ou frire un gyoza.

Gyoza = ravioli

- Oyabun, le gyoza se mange cuit !, répliqua Li.

- Je le préfère frit !

- D'ailleurs coach, vous en saviez beaucoup finalement, grogna Elliot.

- C'est vrai !, renchérit Billy. Alors que vous aviez fait semblant de ne rien savoir jusqu'à maintenant !

- J'ai fait semblant de ne rien savoir ?, demanda-t-il innocemment. Ah, je ne m'en souviens pas très bien...

- Vous êtes encore en train d'éviter..., s'énerva Billy.

- Et bien, au lieu de parler de ça, nous devrions plutôt parler du véritable ennemi que nous devons battre pour protéger notre football, sourit-il mal à l'aise. Cette effrayante reine, Irina !

- L'Italie est l'équipe personnelle de cette Irina, dit Rhea. C'est une raison suffisante pour savoir que ça ne sera pas facile.

- Donc, qu'est-ce qu'on devrait faire ?, demanda Elliot. On ne pourra pas gagner tel que nous sommes, pas vrai ?

Le sourire malicieux du coach fit tilter Sonny.

- Je vois ! Il y a un moyen, n'est-ce pas ?

Qui se ressemble... ( I.E. Fanfiction )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant