| Sâhih al-Bukhâri - صحيح البخاري |

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﷽

• السلام عليكم •

hadith 193

sanad: 'Abdallah Ibn Yoûsouf (at-Tinnîsî) nous a rapporté disant que l'imam Mâlik nous a informés selon Nâfi' (l'affranchi d'Ibn 'Omar) selon 'Abdallah Ibn 'Omar (Ibn al- Khattâb) qui dit :

matn: Du vivant du Prophète (‎ﷺ) hommes et femmes faisaient leurs ablutions du même vase.

(bâb 43: Faire les ablutions avec son épouse en même temps et du même vase.
Le livre des ablutions)

hadith  194

sanad: Aboû al-Walîd (Hichâm Ibn 'Abd al-Malik) nous a rapporté disant que Chou'ba (Ibn al-Hajjâj al-Wâsitî al-Basrî) nous a rapporté selon Mohammad Ibn al-Mounkadir (at-Taymî al-Qourachî) qui dit : j'ai entendu Jâbir Ibn 'Abdallah al-Ansârî dire:

matn: Le Prophète (‎ﷺ) me rendit visite. J'étais malade inconscient. Il fit ses ablutions puis versa de l'eau qui en restait sur moi. Je repris connaissance et lui dis : « Envoyé d'Allah ! A qui laisser mon héritage ? Je n'ai que des héritiers indirects ! » Alors Allah a révélé le verset de l'héritage.*

* Allah le Très Haut dit: « Si un homme vient à mourir sans parenté, ne laissant qu'une sæur, celle- ci aura droit à la moitié de sa succession. Si c'est elle qui décède sans laisser d'enfants, son frère en sera l'unique héritier. Si le défunt sans héritier direct laisse deux sæurs, celles-ci auront droit aux deux tiers de l'héritage. S'il laisse enfin des frères et des sæurs, la succession sera répartie de telle sorte qu'un frère aura une part double de celle d'une sæur. Allah vous expose clairement ces détails, vous épargnant ainsi toute erreur. Dieu est bien Informé de toute chose... » (Sourate 4, an-Nisâ', verset 176).

(bâb 44: Le Prophète (‎ﷺ) versa l'eau qui restait de ses ablutions sur un homme évanoui.
Le livre des ablutions)

hadith 198

sanad: Aboû al-Yamân (al-Hakam Ibn Nâfi al-Houmsî) nous a rapporté disant que Chou'ayb (Ibn Abî Hamza al-Houmsî) nous a informé selon (Ibn Chihâb) az-Zouhrî (Mohammad Ibn Mouslim) qui dit : 'Oubaydallah Ibn 'Abdallah Ibn 'Otba (Ibn Mas'oûd) m'a informé disant que 'Â'icha (la mère des croyants) dit :

matn: Quand la santé du Prophète (‎ﷺ) déclina et que sa souffrance devint plus aiguë, il demanda à ses épouses la permission de se faire soigner chez moi. Elles l'autorisèrent. Le Prophète (‎ﷺ) sortit, traînant les pieds, soutenu par deux personnes : 'Abbâs et un autre.
  'Oubaydallah dit : J'ai rapporté ce hadîth à 'Abbâs, il me dit : « Sais-tu qui était l'autre homme ? - Non ! répondis-je. – C'était 'Alî (Ibn Abî Tâlib) ! dit- il.
  'Â'icha, relatant ce fait, dit : Lorsque le Prophète (‎ﷺ) s'installa chez moi, et que son mal s'aggrava, il dit : « Versez-moi de l'eau de sept outres qui n'ont pas été ouvertes, peut-être pourrais-je donner mes instructions aux gens ! » On le fit asseoir dans une bassine appartenant à Hafsa, l'épouse du Prophète (‎ﷺ), et nous versâmes dessus de l'eau de ces outres jusqu'à ce qu'il fît signe d'arrêter. Le Prophète (‎ﷺ) sortit ensuite voir les gens.

(bâb 45: Lavage du corps et ablutions avec une eau contenue dans une bassine, dans un vase en métal, en bois ou en pierre.
Le livre des ablutions)

• paix •