Recueil os Naruto : ( Complet /ship)

🍒Madara X Hinata🍒

Nouvelle commande d'une quiquines !! La commande provient de JeonKim_JessicaFrost

Hinata à 26 ans
Madara a 34 ans.

Attention ! BDSM et dominatrice.

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Point de vue hinata :

Hinata n'aimait pas particulièrement le BDSM. Et elle n'était pas une Maîtresse professionnelle. Elle a d'abord refusé quand Itachi lui a parlé d'une connaissance qui voulait une bonne fessée. Puis ils se sont rencontrés "accidentellement" lors d'un événement. Et elle a été choquée. Uchiha Madara représentait le pouvoir. Sans le vouloir, vous étiez prêt à répondre à sa demande. Même s'il n'est indiqué que par un coup d'œil. Cela lui a coûté beaucoup de peine pour le refuser. Sa voix basse se dirigea vers les talons, coincée à l'intérieur et, s'ouvrant là, ordonna : obéis. D'autant plus étrange était sa demande.

Depuis leur première rencontre, Hinata a parcouru un tas de sites Web, rencontré deux psychologues et des dominante professionnels. Je voulais comprendre comment il est possible de combiner deux comportements opposés.

Et j'ai réalisé que je tournais en rond. C'est à Madara et rien qu'à lui qu'elle devrait posé ses questions, mais encore une fois elle laissa tombé.

Madara : C'est un plaisir de vous revoir, Miss Hyuga. Il se pencha dans sa paume.

Hinata : Je n'aime pas être touché par des gens que je ne connais pas. sans s'en rendre compte encore, elle avait commencé le jeu.

Les lèvres se figèrent à un centimètre au-dessus des doigts. Le noiraux se redressa. Il posa sa main sur sa poitrine.

Madara : Cela ne se reproduira plus. Il l'aida à s'asseoir, faisant attention de ne pas la toucher.

Madara : Tu m'intrigue, Hinata. Quand Itachi a dit que tu n'étais pas intéressé par mes souhaits, j'étais contrarié. Surtout après une rencontre en personne. Et maintenant, vous avez pris rendez-vous.

Hinata : Je suis devenu intéressée. J'ai un peu exploré le sujet. Et je veux comprendre ce qu'une personne comme toi recherche dans la soumission. Elle croisa les jambes ses talons claquant contre le sol.

Madara : Comme moi? Madara voulait clairement voir son propre visage dans ses yeux. - Qu'est-ce que cela veut dire ?

Hinata s'en fichait.

Hinata : Tu diriges la province. Il y a des milliers de personnes sous ta direction. Elle n'a pas mentionné ce qu'elle savait des entreprises qu'il possédait tacitement. Cependant, Madara n'est pas un imbécile. J'avais la conviction qu'il est difficile pour une personne dotée d'un tel niveau de pouvoir de donner le contrôle de soi à quelqu'un d'autre. Parmi ceux que j'ai observés, la plupart ont peur du moindre relâchement du contrôle.

Madara : C'est comme ça. Mais le fil ne peut pas être tiré indéfiniment. il se cassera rapidement. Tout le monde s'est défoulé. C'est mon chemin. Tu peux, bien sûr, plonger dans l'enfance, mais laissons cela à mon thérapeute. Ai-je répondu à votre question ?

Hinata : Je dirais que je suis satisfaite. En fait, il n'a rien dit à quoi elle ne s'attendait pas. Puis la deuxième question : pourquoi moi ? Il y a suffisamment de dominante professionnels avec une bonne réputation dans notre ville.

Madara : Parce qu'Itachi s'est porté garant de vous. Une personne de mon niveau ne peut pas risquer de parler à un étranger. Tous ceux dont vous parlez ont été vérifiés par moi. Et, malheureusement, ils n'inspiraient pas confiance.

Maintenant, elle était surprise. L'éthique de la domination impliquait une stricte confidentialité. Il était difficile d'imaginer qu'ils l'avaient violé.

Il lut son regard.

Madara : Chacun a son prix.

Hinata : Y compris moi. Elle sembla saisir la dernière opportunité de lui refuser.

Madara : Je suis prêt à payer, il la regarda, et voyant ce qu'il été au fond de ses yeux, Hinata dit :

Hinata : Quand te conviendrait-il de nos rencontrer ? Je veux mon prix.

Des rayures rouges gonflent sur ses fesses. Elle baisse un peu la main et Madara grimace lorsque les extrémités des lanières lui brûlent le scrotum.

Hinata : Un Chiffre d'affaires, balance un prix Salope. Quelle vue elle a ouverte !

Une silhouette étonnante : des épaules larges, des abdominaux solides et un beau membre debout. Hinata remet ses chaussures. Elle fouette le fouet sur sa poitrine, essayant de toucher les mamelons sensibles. Elle continue de les frapper, pressant sa queue contre son ventre. Rapproche le talon de la tête. Sentant comment un organe tendu commence à pulser.

Hinata : Est-ce que je t'ai laissé jour ?

Madara : N-nan, Maîtresse. Ce malheur et cette humilité dans les yeux et puis il se détend pour éviter que l'excitation ne déborde.

Hinata : Tu n'obtiens un orgasme que quand je le veux. Tu t'en souviens Madara ? Sois bon pour ta maîtresse. Un petit encouragement au son de son nom.

Il l'attrape, la regarde avec reconnaissance, expire :

Madara : Oui Maîtresse.

Hinata : Veux-tu jouir, Madara? Sa voix s'enroule autour de sa conscience comme un nœud coulant autour de son cou. Oui, il veut. Et nan, il veut que la douce torture continue. Aux doigts miniatures pour contrôler son plaisir. Pour qu'une voix douce lui dise ce qui est possible et ce qui ne l'est pas. Pour qu'il sache : quelle que soit votre résistance, la punition ne peut être évitée. Et tout de même, il a violé les accords, plongeant par la suite dans le torrent de douleur qui déployait sous lui tous les soucis et toutes les angoisses.

Hinata caressa sa poitrine, appliquant de l'huile curative.

Hinata : vas-tu rebrousser chemin ? Une question, pas une commande. Il place paresseusement son ventre sur ses genoux, plaçant ses fesses dans ses mains. Des mouvements doux apaisent la peau.

Madara : Je ne le ferais pas maîtresse.

Hinata : bien, tu es une bonne petite salope Madara.

Fin.