Ténèbres du sort [Riren]

Chapitre 13: Lune de miel (4)

- Je vas voir ce que je peux faire...

Il prend une grande respiration comme pour se reprendre et m'attrape les épaules. Il passe une ses mains derrière mon dos et l'autre derrière mes cuisses.

Il me porte "comme une princesse" en nous faisant sortir de l'eau. Je ne dis rien en me collant à lui, appréhendant un peu ce qu'il va suivre.

Je commence à avoir froid.
Il marche dans le sable alors que je passe mes bras autour de ses épaules et frémis. Il tique et accélère.
J'aperçois nos habits qui trainaient sur le sable. J'ouvre la bouche avant de la refermer.
Je n'ai pas envie d'en parler.

Je veux juste qu'il m'emmène très vite dans notre chambre. Je rougis et enfouie ma tête contre son torse. J'entends son cœur battre, étrange car il n'est pas nécessaire qu'il batte pour qu'il vive.

Il rentre dans la maison, encore trempé, et m'emmène à droite, dans un couloir caché derrière le salon. Je me sens léger comme une plume tellement il me porte avec facilité. Sa force est incroyable.

Il ouvre avec difficulté une très grande porte qui mène à une énorme pièce vitrée, peu sombre grâce à la lune.

Il me pose près du lit, debout. Je reste un peu ballant avant qu'il passe ses mains dans mon dos et m'embrasse.

J'ai peur... Mais je me demande comment je fais pour être aussi...

Il rentre son muscle rose dans ma bouche. Je gémis.

...excité.

Je commence à avoir chaud, même si nous sommes trempés. Ses mains montent sur mes omoplates. Il sépare sa bouche de la mienne sans lâcher mon muscle rose.

Ce petit espace libre me permet de laisser un petit gémissement qui le fit frémir.

Il m'embrassa la mâchoire puis mon cou. Mes jambes se frôlaient inconsciemment. Je sentais, je sentais sa chaleur contre ma peau.

J'avais presque déjà des étoiles dans les yeux. Livai descendit encore sur mon torse, frôla doucement mes deux petites pointes. Ce sont celles-ci d'abord qui me trahis sur mon excitation.

Je sentis Livai sourir quand il les sentis. Mais il a dû se rendre compte que je tremblais à chaque fois qu'il me touchait. J'étais envoûté. Peu importe ce qu'il me ferait, j'aimerai ça.

Sa bouche se pose sur mon ventre, l'obligeant à s'accroupir pour arriver à son niveau. Cela devient dangereux. Je commence à stresser. Ses mains descendent aussi. Je les retiens inconsciemment avec les miennes, ayant peur qu'elles descendent plus.