- Oh Livai!!
Je saute dans ses bras, oubliant que nous n'étions pas habillé.
Il m'acceuille dedans et me serre tellement fort que je crois presque qu'il veut m'étouffer.
Nous tombons sur le sol en bois. Mais Livai a raison. Son corps n'est plus froid. Il est accessivement chaud.
- Que c'est bon...de te sentir Eren...
- Et que c'est agréable d'être au chaud dans tes bras.
Mais ce moment intime et interrompu pas mon ventre quémandeur qui se met à grogner dans mes entrailles.
Je rougis, gêné. Livai s'éloigne de moi et me relève.
Il passe le drap autour de mes épaules et embrasse ma tête.- Va vite te doucher, je vais faire à manger.
J'acquiece et vais vers la salle de bain alors que Livai ouvre sa valise.
Je reste ébahie devant la grande baignoire qui prend la moitié de la pièce. Une grande douche ouverte était à gauche, avec un tas de serviette. Et dire que Livai m'offrait cette maison. C'est beaucoup trop.
Je rentre dans la douche. Je passe ma main dans mon dos. Je dois avouer que la nuit dernière m'a laissé quelques séquelles.
Je nettoie les endroits qui sont encore témoin de nos ébats d'hier en rougissant. L'eau chaude me fait du bien et m'aide à me détendre. Cela me fait du bien de prendre une douche, depuis trop longtemps maintenant que je prend des bains.
Je sors et je m'essuis le visage avec une serviette. Je me regarde dans le grand miroir sur le mur.
Mon corps assez faible était rempli de petites traces mauves par-ci par-là. Principalement sur le cou et le torse.
Je soupire et enfile un t-shirt et un sous vêtement puis me dirige vers la cuisine.
Livai était de dos, en sous vêtement aussi, mais torse nu. En des mois de cohabitation, je ne le voyais qu'en costume et puis juste un jour après notre mariage, monsieur se balade en tenue légère. Je rigole à ma réflexion douteuse.
Livai se retourne avec un poêle rempli de pain perdu. Il en pose deux dans chaque assiette et m'en tend une. Je le remercie et passe dessus du sucre vanillé posé sur la table.
Il s'assoit en face de moi avec son assiette et un verre rempli de jus de tomate... Je déglutis, ce n'est pas de la tomate.
Livai me regarde un instant, voyant mon expression interrogative.
- Désolé, si tu veux je ne boirais plus ça devant toi.
- Non c'est bon ça ne me gêne pas.
Je dois vous avouer que pendant quelques instants, j'avais oublié sa véritable nature. Je frissonne.
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Ténèbres du sort [Riren]
FanficPeaux pâles, sourires rares, cheveux corbeaux... Ackerman peut rimer avec la froideur de ces lieux. Il est hanté, j'en suis certain. Je me sens angoissé et triste. Et cet endroit ne m'aide pas à me faire sentir plus heureux. Il est soit noir, soit b...