Je l'entraine dans la chambre par les mains. Il me sourit tendrement avant de m'attraper les côtes et de me faire tomber brusquement sur le lit.
Je tend les bras et l'accueille avec un tendre baiser, qui s'intensifie petit à petit. Son muscle rose joue avec le mien, nos respirations perturbées se rencontrent et ses cheveux caressent mon front.
Je ferme les yeux et apprécie ses mains qui remontent sur mes côtes et sa bouche chercheuse d'endroits sensibles.
À partir de maintenant, plus rien ne peut nous arrêter. Nous avons trop pris part l'un à l'autre. Livai s'accroche à moi. Je m'amuse à faire un petit balancement entre nous. Livai s'y prend au jeu et se colle à moi.
Ma tête bascule en arrière, lui laissant mon cou pour cible. Il mordit ma pomme d'Adam doucement avant de remonter sa langue sur ma mâchoire.
Pris d'adrénaline, je le fais basculer me retrouver au dessus de lui. Je resserre mes cuisses autour de lui. Il ferme les yeux et pousse un gémissement d'aise.
- S...serais-tu impatient?
- Un peu... Et désireux aussi...
Je cherche, hasardeux, sa zone sensible. Il pose ses mains sur mes cuisses et s'installe entièrement sur le matelas, me laissant en quelque sorte les commandes.
Je lui embrasse le torse puis le cou, j'en profite pour lui laisser une petite trace violette derrière son oreille. Mais Livai est tellement absorbé que je ne suis pas sûr qu'il s'en soit rendu compte. Je fais glisser mes mains sur son épiderme, puis son aine.
Livai crispe un peu son visage mais garde les yeux fermés.
Je le sens en dessous de moi, réagir à mes tendresses. Cela me donne des puissants frissons dans le bassin qui me file la chair de poule. J'attrape la lotion qui était dans sa valise qui se trouvait encore sur le lit. Pour faire réagir mon mari et pour l'embêter je pousse la valise, ce qui l'a fait tomber au sol.
Il ouvre les yeux, stupéfait. J'en profite pour ce moment d'inattention et de ce vacarme pour ouvrir la lotion et en appliquer sur son excitation. Le contact est terriblement froid, Livai gémit et cambre sous moi.
J'adore cette vue. Livai entrouvre la bouche et laisse une douce mélodie en sortir.
- C'est froid, idiot...
Je ricane faiblement, et pour le faire taire, je resserre encore plus mes cuisses sur lui.
Ses mains se crispent encore plus sur mes hanches, voir me griffent.
Je lâche une rapide hochet de surprise et aggripe ses mains. Je me soulève et remarque qu'il profite largement de la vue.
Sa respiration hachurée m'indique qu'il prend quand même son pied.
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Ténèbres du sort [Riren]
FanficPeaux pâles, sourires rares, cheveux corbeaux... Ackerman peut rimer avec la froideur de ces lieux. Il est hanté, j'en suis certain. Je me sens angoissé et triste. Et cet endroit ne m'aide pas à me faire sentir plus heureux. Il est soit noir, soit b...