Une fois rentrés dans le salon, nous nous apercevons qu'il est vide.
- Tom?
Je regarde bêtement dans la cuisine.
- Où est-il passé?
- Oh seigneur... Soupire Livai en regardant dehors.
Le jardin était recouvert du torrent d'eau qui avait suivi l'orage. Je louche à travers la buée et aperçois une masse qui semble être le grand père de Livai.
Livai prend un parapluie en soupirant en sort. Je le rejoins, curieux.
Tom était dans la piscine en train de piquer une tête.
- Mais?
- Coucou les garçons, vous en faites une drôle de tête. Vous devriez voir vos tronches.
J'ai l'impression d'avoir Hanji en face de moi. L'homme sortit de la piscine, complètement trempé et vint à nous.
- Tom, qu'est-ce que tu fichais dans notre piscine?
- Oh rien, j'ai toujours adoré cette création humaine. Sur ce point les humains sont très imaginatifs.
- Tom, on est pas là pour rigoler. Tu y es allé habiller!!
- Ah parce qu'il fallait élever ses vêtements... J'ai toujours fais ainsi.
- Je comprend maintenant pourquoi tu as eu des problèmes avec la police humaine.
- Mais vous êtes sorti alors qu'il pleuvait?!
- Non il ne pleuvait pas encore. Et puis je ne voulais pas vous entendre vous disputez pour vous réconciliez sur l'oreiller.
Je rougis alors que Livai rouspéta:
- Arrêtes de raconter n'importe quoi!! Viens on rentre.
On s'abrite à trois sur le parapluie pour rentrer.
Tom riait de sa bêtise mais Livai semblait moins s'amuser. Il dût lui prêter des vêtements et une chambre parce que la pluie ne voulait pas s'arrêter.
J'ai du faire à manger pour moi-même car les deux vampires ne voulaient pas manger. Tom parlait à Livai sur son enfance au château. J'arrivais à obtenir des anecdotes sur Livai.
- Tu te rappelles le jour de tes 250 ans? Tu avais reçu une sorte de grande diligence en bois et tu l'as cassé en la lançant des escaliers pour simuler un accident!! J'avais mis deux mois à tailler cette petite voiture. Sans compter que j'avais réussi à te trouver des chevaux vivants miniatures.
- Oui c'est vrai, je m'en souviens. Ma mère avait été furax et m'avait confisqué ma guillotine pour détruire les poupée vaudou de Hanji. C'était un de mes jouets préféré.
- Et tu te souviens de la fois où l'on t'a retrouvé attaché à une chaise? Hanji voulait t'électrocuter et quand on a voulu te détacher, tu as insisté qu'on te laisse tranquille juste pour voir ce que ça allait faire.
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Ténèbres du sort [Riren]
أدب الهواةPeaux pâles, sourires rares, cheveux corbeaux... Ackerman peut rimer avec la froideur de ces lieux. Il est hanté, j'en suis certain. Je me sens angoissé et triste. Et cet endroit ne m'aide pas à me faire sentir plus heureux. Il est soit noir, soit b...