La Panthère de Lumière

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Je suis émue par ces tendres paroles, et penche le visage pour déposer un doux baiser sur ses lèvres, fébrile, éperdue, amoureuse. Un long baiser qui ne s'interrompt pas : d'abord lent, il devint langoureux. Entre deux baisers, je lui murmure des mots d'amour au creux de l'oreille mais je ne peux pas rester bien longuement sans goûter ses lèvres, et enchaîne les baisers. Il plonge la tête et pose la bouche sur le dessus de mes seins. Il me parcourt la poitrine de baisers, enchantant mon épiderme. Il câline tout particulièrement mon sein gauche, ses lèvres douces et aventureuses me rendent folle. Lorsqu'il les referme sur mon téton je pousse un long gémissement d'extase, oh que c'est bon ! Des sensations délicieuses m'envahissent, lorsqu'il le fait rouler entre ses tendres lèvres chaudes, et surtout lorsqu'il commence à le suçoter. Ma respiration s'accélère et mes gémissements emplissent rapidement la pièce, j'halète, mes mains se pressent sur lui, je le caresse de plus en plus rapidement, enfonce des doigts jouissifs et mes ongles dans sa peau. Mon visage se redresse vers le plafond et je ferme les yeux, possédée par la volupté qui m'irradie, ces puissantes sensations qui se déversent en moi depuis ma poitrine me font planer en pleine extase, transportée. Les chandeliers rayonnants scintillent au-dessus de moi, dans cette salle magnifique, oh que c'est beau, oh que c'est bon !

Je réfugie ma tête dans le cou du jeune homme, le souffle frénétique, je l'embrasse de façon endiablée, il me suce toujours le bout des seins avec douceur, passe parfois sa langue agile dessus. Une langue particulièrement joueuse. Les sensations me prennent totalement et s'emparent de mon corps dans une déferlante de plaisir. Un voile de bonheur emplit tout ce que je vois et ressens, le plaisir devient extrême et j'ai envie de mordre Ethan au cou. Je finis par le faire et le mordille très très fort, hmmm il sent si bon. Mon corps est fébrile, dirigé par cette effervescence de ressentis divins. Qui me possèdent. L'homme que j'aime m'emporte avec lui, tout contre lui, dans un univers de félicité ; oh que je l'aime. Les gémissements s'échappent de ma bouche sans que plus rien ne les retienne. Ses petits coups de langue sont une explosion de jouissance. Sa langue, coquine, vient recouvrir mon mamelon... puis tourne un petit peu autour. C'est tellement bon, et ça augmente. J'en peux plus, ce plaisir absolument intense déborde de mon être, mon corps en est parfois secoué, de légères secousses d'extase. Par la grande vitre de la salle je vois le superbe paysage extérieur qui domine toute la ville, cette villa en surplombe une partie, ainsi que la mer bleue qui s'étend au loin, c'est un paysage de rêve. La vue est magnifique. Et avoir enfin réussi à avoir un peu d'intimité avec l'homme de mes rêves ne gâche rien, ça ne pouvait se faire qu'avec une vue si magnifique. Plus il me tête avec délicatesse plus je me laisse aller et pousse des petits cris de plaisir. Il me lèche le sein en y faisant naviguer ses lèvres sensuelles, avant d'aller happer mon autre téton, un plaisir tellement fulgurant que j'en crie :

— Oh mon amour !

Ça se noie dans mes gémissements. Mes lèvres tremblantes sont déjà en état de jouissance, un ardent régal se déverse en moi. C'est un érotisme transcendant ; je ne me contrôle plus, je ne fais que subir ces délices. Le foyer de mon bas-ventre déverse un rayonnant bien-être.

Mes mains débridées s'agrippent à lui ; je tire son vêtement, pantelante. Je vieux le lui arracher.

— Laisse... laisse-moi embrasser ton torse mon amour... je t'aime trop... je t'aime trop mon amour...

Je suis bouillonnante de désir. Il redresse la tête pour m'adresser un sourire séduisant, défait quelques boutons de son veston, et étend un peu les bras pour me permettre de finir de tout lui retirer. Je ne me fais pas prier et tire fort pour tout lui enlever, très excitée. Dès que c'est fait je jette les habits à terre.

Oh qu'il est beau.

Des pectoraux solides et à l'aspect très doux qu'on aurait envie de dévorer, de très beaux abdos bien réguliers qui descendent harmonieusement jusqu'au ventre, une peau légèrement halée mais néanmoins assez claire, il est divin, sa musculature est tout en finesse, présente partout sur son corps. Ça, ça se mange, ça, c'est un véritable matelas sur lequel s'étendre. Surtout pour les coquineries.

Je ne peux pas détacher mon regard de son corps, je dévore des yeux chaque endroit. Il est absolument magnifique. Une véritable œuvre d'art par lui-même. Je savais qu'il était un homme d'action assez athlétique mais pas qu'il était un putain de dieu. Son corps paraît onctueux et on a envie d'y goûter. Sublime.

— T'es trop beau chéri !

Je souffre d'autant plus de la comparaison maintenant, il y a un corps si parfait, et moi si imparfait, j'en aurais presque honte.

— T'es si beau, moi je suis si moche, balbutié-je.

— Mais arrête, princesse, t'es plus belle que tout...

Il me caresse les cheveux, très tendre, il a un don pour me rassurer et pour être adorable quand j'ai besoin qu'il le soit.

Je le prends par la main, le cœur battant. Je me lève avec lui, et on retourne à la chambre : la vue est tout aussi belle par la baie vitrée de là-bas, et je serai plus à l'aise pour contempler son joli corps.

On s'assit sur le bord du lit.

Je tends le bras, et pose la main sur son torse. Je le lui tâte, c'est une sensation incroyable sous mes paumes et mes doigts, c'est à la fois doux et ferme, oh il a un corps qui rend folle, j'ai déjà envie de lui. Je mets l'autre main, pour caresser tous ses abdominaux, aller sur son ventre, sans pouvoir m'arrêter. Mes deux mains le parcourent de plus en plus vite. Je ne vais pas pouvoir m'empêcher de lui faire l'amour cette fois je crois, mais qui pourrait résister à ça putain.

J'essaie d'ignorer ma culotte qui commence à être trempée et à humidifier mes cuisses à force de lui caresser les muscles comme ça. Ses si jolis muscles.

J'essaie de ne pas le regarder dans les yeux sinon je vais lui sauter dessus. Son regard provocateur me fait toujours fondre.

J'approche le visage de son torse, oh je peux pas m'en empêcher, je dépose plein de baisers dessus, tout en lui caressant ardemment les abdos. J'en gémis tellement c'est bon, je le griffe et le mordille autant que je peux. Je remonte et lui attrape les tétons entre mes lèvres. J'ai le bonheur de l'entendre réagir et gémir doucement, oh il aime ça, j'aspire d'autant plus, tout en lui caressant à fond les abdominaux. J'aime les malaxer et sentir leur force, leur résistance. Tous ses muscles se dessinent gracieusement sur son corps et c'est un bonheur de le regarder et de le caresser, il est trop beau.

C'est pas possible de lui résister plus longtemps : je le pousse sur le lit et viens sur lui, je retombe de désir sur son torse et l'embrasse frénétiquement, avec ferveur. C'est super confortable d'être sur lui, et super excitant. Nos langues s'attrapent et se battent en duel, sa langue résiste, je gémis de bonheur, des sensations folles. Je le lèche, le bécote sans pouvoir m'arrêter. Et aussi ses pectoraux, son ventre, tout.

Je vais lui faire l'amour cette fois, pas moyen de faire autrement. Je sais même pas si j'ai de quoi, un préservatif et tout, non j'ai pas. Oh tant pis, je l'aime trop.