L'agréable et puissante sensation qui culmine avec chaleur dans mon bas-ventre se propage jusqu'à me faire trembler de bonheur, et voit son intensité atteindre des sommets irrésistibles par les mouvements et frottements sensuels que j'effectue contre lui. Mon corps agit pour être intimement proche de lui, m'appuyant sur lui et remuant avec une passion fébrile. J'ai trop envie de lui enlever le pantalon. S'il est plutôt soumis je vais le faire pour aller plus loin. Je vais pas avoir honte de mon désir.
Je recule la bouche et presse mon buste contre son torse musclé en renvoyant la tête en arrière, exprimant tout mon amour sur mes lèvres balbutiantes :
— Je t'aime...
Je l'enlace de mes bras et me presse contre lui ; il n'a jamais vu un tel désir, et il est encore trop haletant après ce que je lui ai fait sur les pectoraux. Je monte et redescends contre lui, gémis de plaisir en sentant le bout de mes seins frotter contre son torse. Mes cuisses se contractent autour de lui au gré de mes mouvements, ce qui provoque en moi des frissons de plaisir explosifs à mesure que je sens mon bas-ventre frotter répétitivement contre lui. Il m'embrasse mon épaule, puis poursuit en la bécotant sensuellement, et en descendant jusqu'à ma poitrine. Je gémis en sentant la douceur de ses lèvres, des baisers remplis d'amour. Je remue les hanches tandis qu'il me lèche les seins. Il me prend délicatement les mamelons entre les lèvres et j'en gémis d'autant plus. J'ai les tétons devenus chauds et sensibles sous l'effet de l'excitation, ils ont durcis et se sont raffermis, ils sont brûlants d'amour. Je sens les lèvres tièdes et humides naviguer autour. Elles les font tendrement rouler entre elles, ça me fait presque crier de plaisir. Plus il suce les bouts, plus je pousse des longs gémissements de jouissance comme je tombe en état de pâmoison charnelle. Ça me procure de violentes sensations dont le plaisir est si grand que j'accélère mes mouvements et les pressions de mon corps contre le sien. Des gestes endiablés d'amour, passionnels et incontrôlables. J'ai besoin d'être encore plus proche de lui et de le sentir plus. Par des gestes exaltés, je me retire le pantalon en me contorsionnant un peu les jambes, tandis qu'il me tète délicatement ; je parviens finalement à l'enlever, et me retrouve en culotte. Je serre encore plus mes cuisses autour de lui. Je coule tellement à force de mouiller, esclave de mon désir, de mes ressentis et de lui. Je plaque mon bassin presque humide contre lui, avec volupté. Ça me rend folle quand il me tète en faisant rouler mon téton devenu dur et très sensible au creux de sa langue. Mes hanches remuent contre les siennes, je n'en peux plus, les gémissements s'échappent de ma bouche sans en avoir le moindre contrôle. Mon pubis tape contre lui, on est seulement séparés par ma fine culotte, ça me provoque d'incommensurables sensations dans la zone. Ce plaisir intense absorbe tout mon être et c'est une pression trop forte mais extrêmement agréable qui m'envahit, requérant d'être satisfaite ; un besoin tactile que j'essaie d'obtenir en me laissant aller contre son corps musclé et si excitant, nos êtres se mêlant dans un amour enflammé, nos corps en osmose, se conjuguant parfaitement.
Je ressens un besoin impérieux de retirer ma culotte, d'être encore plus proche de lui. Je commence, mais m'arrête en gémissant, pantelante. Je sais qu'il ne faut pas que j'aille trop loin, même s'il me rend folle de désir. J'ai tellement envie pourtant. Je l'embrasse avec effusion, incapable de viser correctement ses lèvres et mes baisers tombent souvent sur les bords de sa bouche. Nos corps remuent ensemble, de plus en plus. Je suis totalement envahie par l'ivresse érotique et par le plaisir qui me transporte. Je bégaie, en proie au vertige amoureux, la voix entrecoupée d'un souffle discontinu et transporté :
— Faut... faut pas qu'on aille trop loin... mon... mon amour...
Anhélant, j'ajoute :
— T'as... pas de préservatifs ?
Il a également du mal à reprendre sa respiration :
— Pourquoi ?
Je pouffe faiblement de rire, trop emportée par ma propre ardeur.
— Pour nous...
Le souffle court, je précise :
— Pour pas tomber enceinte.
— T'as pas envie qu'on se marie avant, qu'on se prouve qu'on sera toujours là l'un pour l'autre ?
Je glousse.
— T'es cinglé... et trop, trop mignon... t'épouser j'te jure ce serait un rêve.
Je lui passe les mains autour du visage et l'embrasse tendrement, le cœur battant. Je lui souris, plongée dans son regard irrésistible. Puis je me lève en le prenant par les mains. J'ai du mal à tenir debout, l'excitation est forte, mais l'amour me guide. J'ai envie d'aller profiter de cette immense villa, d'aller dans une autre chambre.
Je l'attire lentement dans la pièce la plus proche. En souriant, et en le regardant très souvent, je l'amène dans une autre salle, car insuffisamment satisfaite de celle-ci. On passe une porte ouverte, et on se retrouve dans une nouvelle chambre, avec vue sur la mer.
Je me rapproche de lui, me colle contre lui, et dépose tendrement mes lèvres sur son cou.
— Ça te dirait ? lui susurré-je au creux de l'oreille.
J'appuie ma proposition avec de longs et sensuels baisers le long de son cou.
Il n'y est pas indifférent, je le perçois dans sa respiration pour mon plus grand plaisir, même s'il tente encore un peu de me résister.
— Pas peur d'être accro ma belle colombe ?
— Oh oui et toi accro à moi... chuchoté-je.
Mes lèvres se déplacent sur son cou, lentement et avec gourmandise, vénérant avec un désir brûlant chaque centimètre parcouru. Je lui caresse les bras, fais glisser le dos de la main sur son torse, sur les beaux abdominaux de son ventre, dont les formes et la douceur me rendent dingue de désir.
— Tu voudrais que je sois plus dominante, combative ? susurré-je d'une voix joueuse.
— Hummm essaie donc de me dominer, essaie de m'immobiliser ma colombe...
Je pose les mains sur ses pectoraux en le regardant dans les yeux, on échange un air de défi brûlant, puis soudain je le repousse et le fait tomber à la reverse sur le lit, juste derrière nous. Je grimpe sur lui et lui retient les mains contre le lit. J'abaisse le visage jusqu'au sien, la bouche jusqu'à ses lèvres, et l'embrasse sensuellement. Cet enivrant plaisir m'envahit complètement, sa bouche qu'il est si agréable d'embrasser, et c'est très excitant en l'immobilisant comme ça.
Je lui presse les mains contre les draps. Je le tiens, en enfonçant un peu les ongles dans sa peau. Fougueusement. Gorgée d'amour et de désir. Nos doigts sont presque enlacés, mais c'est moi qui le bloque. C'est clair qu'il se laisse faire, mais c'est quand même particulièrement excitant.
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La Panthère de Lumière
RomanceQui est ce jeune homme rebelle et mystérieux, qui parcourt la ville sur sa moto noire pour y faire régner sa loi ? Pourquoi m'a-t-il sauvé la vie ? Et pourquoi repousse-t-il toutes mes tentatives pour essayer de le connaître ? Pourquoi est-il à la f...