-69- Un dernier verre

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''Bien les amis allons dans le bureau pour boire un dernier verres'' Annonça Berlin

On monta alors tous les marches, nous n'avions plus de travaille à faire si ce n'est attendre que le prof nous appel pour nous dire de sortir les sacs, les otages était tous en bas face à la bombe Arturo qui selon les dires pouvez exploser à tout moment, nous avions bien mérité une petite pause.
Rio et Tokyo partir s'asseoir tout les deux dans le sofa, ils se prirent dans les bras se bécotant comme des adolescent, Monica et Denver s'assit à nos coté, les yeux encore gonfler, Nairobi à mes coté et Helsinki sur l'un des fauteuil.
Berlin sorti les verres et les déposa sur la table en servant tout le monde.

''Avant que l'on trinque je voudrais vous dire quelques mots'' Annonça t-il''Je suis fier de vous et de votre acharnement, même toi Tokyo'' Dit-il en la regardant ''Ensemble nous avons fait un travaille remarquable...je voudrais aussi vous soutenir Denver et Helsinki dans votre deuil mais aussi soutenir les nouvelle relation qui son née au court de se braquages'' Dit-il cet fois en me regardant droit dans les yeux ''Bien maintenant trinquons''

On souriez tous, on riait, on chanter même un peut en buvant un bon verre d'alcool, se moment était si bon, si profond de sentiments que j'aurais voulue qu'il ne s'arrête jamais, parfois on voudrais qu'une bouton marche arrêt existent pour pouvoir profiter sens aucune limite et sens fin d'un moment en particulier, mais ce bouton n'existe pas et même si il exister on ne pourrait pas échapper à la réalité.

''Alors toi et Berlin c'est sûr maintenant?'' Me demanda Nairobi

''Ouais...on verra bien ou sa nous mène''

''Attend attend sérieux?'' Me demanda Denver n'en revenant pas
''Il faut croire oui''

On se mis à rire avant que le téléphone ne sonne, le voilà, le retour à la réalité, si j'avais sue, bordel si j'avais sue, j'aurais dit à Berlin de boire un verre après j'aurais dit à Nairobi d'arrêter les machine plus tôt...si j'avais sue.
Berlin décrocha installant un vide autour de nous.

''Berlin commencer à sortir le frics, il faut partir et vite les équipe d'assaut s'apprête à entrer''

''On s'en occupe''

On se regarda tous, des équipes d'assaut? Notre chance de survies venez tout juste de s'affaissait sous son poids.

''Aller au boulot'' Nous motiva Berlin pour notre dernière lancer

On ne pris pas le temps de ranger, de toute façon a quoi bon?

''Pripiat Helsinki occuper vous des otages'' Nous ordonna Berlin

On pris nos armes et en descendis en bas tendis que tout le monde se préparer à descendre les billets, Arturo était toujours assis sur sa chaise entourer d'explosif il avais les yeux fermer et dormez comme un petit bébé mais se fut de courte durée, je sorti mon arme et tira sur le mur qui se trouver derrière Arturo, celui ci se réveilla en sursaut nous faisant rire.

''Bande d'enfoirées'' Cria t-il en tombant de s à chaise ''Bordel de merde! Vous entendrez parler de moi vous verrais''

Helsinki l'attrapa par les épaule, les pieds d'Arturo ne toucher plus la terre ferme mais sa n'avais pas l'air de le préoccuper t'en que sa, il continuer de crier des injure de toute sorte.

''Quand je sortirez d'ici je vous ferais un putain de procès à tout les deux! Pour cruauté, torture et crime contre l'humanité''

''Oui tu a raison il faut au moins le crime contre l'humanité pour nous on a était très vilains pas vrai Helsinki?''

''Oui''

''Bon Arturo tu ferme ta gueule et surtout respire'' Lui dis-je sur un ton froid

Helsinki retire violemment la fausse ceinture explosive qui était coller à la peau d'Arturo, il se mis alors à hurler de douleurs, Helsinki la laissa tomber au sol sous le regard incompris des otages.

''Arturito tu penser tout de même pas qu'on te laisserez mourir aussi bêtement? Non tu a une mission importante'' Lui dis-je

''Une mission hein vous aller faire quoi encore?''

''Seul l'avenir te le dira aller en route'' Dis-je laissant Arturo partir avec Helsinki ''Quand à vous mes petits chéris d'otages on a une dernière faveurs à vous demander, vous aller être rapide et faire attention d'accord?'' Leur demandais-je ''Aller tout le monde debout et on me suis!''

Les otages se levèrent et on parti vers la pièce remplis de billets, sur le chemin j'expliquai au otages se qu'il aller faire.

''Bon votre travaille et bientôt fini mais il reste encore une petit travaille qui est des plus important, on vas faire une grande chaîne humaine comme pour un déménagement, sauf qu'au lieu de soulever des cartons vous aller soulever des sacs de billets c'est clair?''

Ils me répondirent par un oui générales, tout le monde se plaça en chaîne, à la fin de celle ci se trouver Rio, Tokyo et les Serbes qu'avais engager le prof.
Berlin et moi en bon chef de meutes restions à les encourager.

''Aller on se bouge'' Leur crier Berlin

''On en a plus pour longtemps alors action'' Disais-je à mon tour

Il me regarda un large sourire au visage et bien que le temps nous manquer il me plaqua doucement contre le mur derrière moi.

''Alors comme sa tu a décider de me suivre?'' Me dit-il caressant ma joue

''Il faut croire que oui''

Il posa avec une certaine fougue ses lèvres contre les miennes, je sentis sa main passer dans ma nuque, une fois nos souffle suffisamment couper il lâcha mes lèvres et me regarda intensément.

''Tu sais se que sa comporte?'' Me demanda t-il sérieux

Je baissa la tête, je savais, oui je savais quand partant avec Berlin je revivrais un drame, un naufrage mais après tout Rose et Jack ne se sont aimer qu'un court temps sur le Titanic, le temps d'un week-end mais leur amour leur avais tout les deux suffit, les longue histoire ne son pas les meilleurs, celle qui sont courte mais emplis de bonheurs, d'amour et de plaisir, celle la son les meilleures, les plus sincères et les plus belles, alors si notre amour devais finir comme celui de Jack et Rose, qu'il en soit ainsi.

''Nos deux corps peuvent mourir j'en est déjà fait le deuil '' Lui dis-je avant de l'embrasser à mon tour

On se regarda un moment comme deux jeunes amoureux qui venez juste de se promettre l'éternité, sauf que notre éternité aurais une fin, une fin tragique mais avec un passer majestueux.
Mais le temps ne nous étais pas encore offert et on état toujours dans la fabrique, derrière nous la chaîne humaine continuer, les sacs voler de mains en mains sous notre regard, la lourde pile que l'on avais faite devenez de plus en plus petite ce qui nous prouvez que le travaille était bien fait.

''On y est presque'' Dis-je à Berlin en souriant franchement

''Ah nous la belle vie'' Me dit-il avec un sourire satisfait

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour se chapitre 69! Et on viens tout juste de faire les 5k!!!!
J'espère qu'il vous aura plus comme tout les autres.
La grosse bise😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant