-190- Puisqu'il faut le faire

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Nous étions toujours autour de Nairobi, arme en main, braquer chacun sur l'un d'être nous, nous étions en pleine guerre, mais une guerre qui compromettrait à coup sûr le plan, une guerre contre nous même, c'était l'une des option d'un braquages comme celui ci, après tout, enfermer des êtres humains dans une banque durant des jours et des jours n'était pas une bonne idée, la tension était vite monter entre nous, c'était prévisible, surtout lorsque l'on traverser une période de crise comme celle-ci.
Je visait alors Denver, avec l'intention de ne jamais tirer, j'avais même laisser le crans de sécurité, je n'aurais jamais pu le tuer, comme il n'aurait jamais pu tuer Tokyo, par contre Bogotá lui, pouvez très bien tuer Denver, rien ne les relier, tout comme Tokyo et Palerme qui se jauger du regard.

''Vous êtes tous devenue dingue ou
quoi?'' Demanda Stockholm en nous regardant effarés par la situation

''Je...je le jure sur la tête de mon fils'' Dit Nairobi la voix aussi tremblante qu'une feuille au vent ''Que je ne dirais rien à personne, rien d tout'' Dit-elle en fermant les yeux, trop fatigué par la douleur

''Aujourd'hui tu est sûr que non'' Dit Rio qui se tenez presque à l'écart ''Mais sous la torture ce n'est plus pareille'' Dit Rio en sortant son arme la pointant vers moi

Je le regarda assez surprise de cet acte, lui aussi sembler surpris, il me regardait presque avec effrois, il faut dire que je devait lui lançais un regard assez cruel.

''Je m'en branle de tout sa'' Dit Tokyo ''Elle sort d'ici''

Et alors que la tension était palpable, que Nairobi soufrer, nous faisions face au plus grand retournement de situation de la journée, Rio qui me pointer de son arme, enleva le cran de sécurité et tourna son arme vers Tokyo, Helsinki et moi échangions un regard étonné par le geste de Rio.

''Je crois pas non'' Dit Rio en fixant Tokyo

Et alors que tout sembler nous échapper, Palerme se mis à rire aux éclats.

''Vous trouvez que c'est un bon moment pour jouer les rebelles hein? Une de nos camarades et en train de crever alors arrêter de faire chier!'' Dit Palerme en nous fusillant du regard

Je fut la première à baisser mon arme, on devait s'avouer vaincue, même si on donnait Nairobi au flic comme elle nous le demander, le temps l'emporterez et c'était une option qui n'était pas envisageable.

''Palerme à raison, on a pas le temps de faire toute ses conneries'' Dis-je en rangeant mon arme '' Nairobi'' Dis-je en me penchant vers elle ''Je sais que tu a peur, mais on a pas d'autre choix'' Je regarda les autres, avant de regarder Palerme

Nairobi devait se faire opérer, tout de suite, pas dans cinq minutes, pas dans une heure, maintenant, alors il était bon de faire croire aux autres que les flics qui étaient dehors étaient près au pire.

''Palerme, il faut leurs dire'' Dis-je en le regardant

Il hocha la tête, tendis que tout le monde me regarder ne comprenant pas ce qu'il se passer, nous n'étions pas sûr que Lisbonne était morte, au contraire j'étais persuader qu'elle ne l'était pas, mais pour le bien du groupe, on devait mettre nos croyance de côté.

''Qu'est ce qui ce passe?'' Demanda alors Denver en me regardant

''C'est Lisbonne'' Dis-je avant de laisser Palerme finir

''Ils ont exécuté Lisbonne il y a une demi heure'' Dit-il en rangeant son arme

Les yeux de Nairobi s'ouvrirent en grand, absolument tout le monde baissait son armes, tout le monde était choqué et bien-sûr attristé par cette nouvelle.

''Alors je pourrais faire preuve de magnanimité démocratique et soumettre sa sorti au vote populaire, mais je signerait son arrêt de
mort'' Dit Palerme nous ramenant tous à la dur réalité ''Lisbonne à était exécuter à genoux, désarmer, Nairobi, ils ont fait venir ton fils avec son ours en peluche, juste pour te coller une balle dans le crâne, vous croyez que ce sont les bonne sœur de la croix rouge qui vous attende dehors, alors arrêter tes conneries, surtout toi Pripiat, par-ce que tu le savais autant que moi!''

Il y eut un silence dans la pièce.

''Palerme à raison'' Dit Helsinki

''Vous aller devoir m'ouvrir la poitrine'' Dit Nairobi en sanglotant ''Et récupérais la balle...et peut-être m'enlever un poumon au passage et tout sa, sans que je perde tout mon sang, vous aller me tuer, vous aller me tuer'' Dit Nairobi en stressant ''Helsinki! Vous n'êtes pas des docteurs , écouter vous n'avais pas le niveau, emmenez moi dehors, faite pas les cons'' Disait-elle en pleurant

Je me décalais pour laisser Helsinki prendre la main de Nairobi, la voir dans un telle état me fonder le cœur en deux, je préférais détourner le regard.

''Je t'en pris, non' Continuais de dire Nairobi

''Ça va aller, n'est pas peur'' Dit Helsinki avant de laisser la perfusions faire son job

Tokyo qui était venue près de moi, ne voulant pas non plus assister à ce moment douloureux, on se regarda avant de se prendre toutes les deux dans nos bras, je sentais les larmes me venir au yeux, tout comme Tokyo devait sentir les siennes.
Nous avions peur, peur pour Nairobi, peur de ce qui allait suivre, c'était un moment difficile, nous allions peut-être perdre notre seule Nairobi.

''Pripiat'' Me dit Tokyo en chuchotant ''Il faut que tu reprenne le pouvoir'' Me dit-elle en sanglotant

''J'y réfléchi depuis un moment'' Lui répondis-je en lâchant Tokyo

Elle hocha la tête et parti au près de Nairobi tendis que mon regard tombait sur Palerme, sa main qui tenez son arme trembler comme si il était stressé ou énervé, ses nerfs étaient à vif, et ce depuis la mort de Berlin, quoi de pire que de donner les commande à un pervers narcissique, dérangé mentalement qui de plus à le cœur briser? Il n'y avais pas plus mauvaise idée, Palerme était une bombe à retardement qui ne demandait qu'à exploser.

...
Bonjour, Bonsoir mes petits Dalí 🔫
Voilà pour ce chapitre !!!!
La grosse bise 😘

Le casse du siècle [Part 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant